Jakob GUTKNECHT - La pillule amère
Worldcorruption.info
Dans son livre de 42 pages,
Gerhard ULRICH fait la
lumière sur le régime de
l’oligarchie occulte de la
franc-maçonnerie et de ses
clubs de services (Rotary,
Lions Club, Kiwanis, etc.),
qui dirigent le système
judicaire actuel et les
pouvoirs politiques.
Le citoyen qui passe à la
moulinette de la machine
judiciaire bien huilée, ressent
instinctivement qu’il est
Victime d’un complot. Mais il
est incapable de le prouver,
car le système cultive
soigneusement la non
transparence. Si une telle
personne invoque l’aide des
politiciens, on se débarrasse
d’elle sous prétexte du dogme
de la séparation des pouvoirs.
Les dogmes ont toujours
servi à asservir les peuples.
L’auteur du livre observe
depuis 16 ans le
dysfonctionnement judiciaire,
archivant systématiquement
les résultats dans sa base de
données, devenue
volumineuse. A l’opposé
d’autres critiques du régime,
il s’est montré jusqu’à
présent prudent concernant
ses attaques au sujet de la
Franc-maçonnerie. Il était
conscient que ses
connaissances de ce qui se
passe dans nos prétoires,
étaient assez modestes.
Cependant, la persévérance
et un travail continu lui
permettent aujourd’hui de
rejoindre la position de
Marc-Etienne BURDET
sur le sujet
Dans le cas du paysan
vaudois Jakob GUTKNECHT,
il est démontré comment un
innocent fut démoli pour faire
profiter un voisin Franc-Maçon,
qui encaissa CHF 2 mio
d’indemnités d’assurances,
et comment cette oligarchie
occulte manipule le peuple
suisse en ayant mis sur pied
un système de censure
d’une amplitude et d’une
sophistication inégalées dans
le monde, pour étouffer les
affaires de corruption au profit
des illuminés. Le comble de
cette situation provient du fait
que les Suisses ignorent
qu’ils sont censurés et les
journalistes mis au courant se
font complices, de peur de
perdre leurs emplois.
Pour les Victimes judiciaires,
il est peine perdue de vouloir
prouver à leurs bourreaux
qu’elles sont dans leur bon
droit... C’est seulement en
démontrant à l’Opinion
publique que les magistrats
détracteurs sont indignes et
ne sont pas légitimés à
exercer leurs fonctions que
les choses changeront !
Nous lançons un
APPEL AU PEUPLE
POUR METTRE FIN À
CETTE TYRANNIE !
Complot Maçonnique avec la
complicité de l’Etat, au service du
« Frère » Claude BUDRY
Le
livre
de
Gerhard
ULRICH
permet
d’ouvrir
les
yeux
du
Public
sur
les
effets
désastreux
de
l’oligarchie
occulte
qui
nous
tyrannise.
La
Franc
Maçonnerie
n’hésite
pas
à
détruire
des
destins
humains
pour
faire
profiter
leurs
adeptes
illuminés.
Elle
asservit
la
société
entière,
favorisant
la
corruption,
beaucoup
plus
répandue
que
la
société
ne
se
l’imagine,
en
ayant
aussi
mis
sur
pied
une
censure
d’une
amplitude
et
d’une
sophistication
inégalées
dans
le
monde,
et
ceci
à
l’insu
du
bon
peuple
suisse.
Le
système
judiciaire
actuel
est
en
dégénérescence
totale,
tolérée
par nos élus, manipulés à leur tour par le pouvoir occulte.
Index
Dé
nonciation de l’inspecteur de la Sûreté VD Daniel KOLLY et de ses
complices pour abus de pouvoir en bande organisée
L’i
n
cendie de Nonfoux VD du 31.08.2002
Le
s incohérences du dossier judiciaire
1. Les conneries avancées par KOLLY
2. Les tricheries de KOLLY deviennent des vérités procédurales
Le
s complices de KOLLY
L’e
mprise de la franc-maçonnerie en général et dans le cas d’espèce
en particulier
1. Mes contacts avec les francs-maçons
2. Le tournant: l’analyse de l’affaire scandaleuse de Jakob
GUTKNECHT
3. Omertà helvetica
4. La complicité des politiciens
L
e
crime crapuleux couvert par les francs-maçons
Co
mment venir à bout des pouvoirs occultes
I.
Dénonciation de l’inspecteur de la Sûreté VD Daniel KOLLY et de
ses complices pour abus de pouvoir en bande organisée
D
ans
son
courrier
du
2
novembre
2016
adressé
au
Procureu
r
général
vaudois
Eric
COTTIER,
Gerhard
ULRICH
dénonce
l’Inspecteur
de
la
Sûreté
vaudoise
Daniel
KOLLY
pour
sa
complicité
en
faveur
du
Franc-Maçon
Claude
BUDRY,
qui
a
conduit à l’escroquerie et à la ruine de Jakob GUTKNECHT.
Le
dossier
ci-dessous
va
permettre
de
se
convaincre
d’un
crime
crapuleux
organisé
par
des
Fonctionnaires
de
l’Etat,
dont
deux
Commandants
de
la
Police
vaudoise,
non
seulement
au
détriment
de
la
Victime
Jakob
GUTKNECHT,
mais
aussi
au
détriment
de
biens
publics,
puisque
l’ECA
dans
le
Cant
on
de
Vaud est un établissement public !
La
complicité
s’est
étendue
jusque
dans
les
plus
hautes
sphères
de
la
hiérarchie
judiciaire,
du
Tribunal
d’Arrondissement
jusqu’à
la
Cour
Européenne
de
Justice,
en
passant par le Tribunal Cantonal vaudois et le Tribunal Fédéral.
La
gravité
de
la
situation
n’est
même
plus
étonnante
quand
l’on
voit
que
de
hauts
Fonctionnaires
n’ont
plus
aucun
scrupule
à
trahir
leurs
devoirs
de
fonctions
dans
le
cadre
d’intérêts
personnels...
Pour
preuve
le
dossier
Roland
Max
SCHNEIDER
et
le
dossier FedPol
.
II.
L’incendie de Nonfoux VD du 31.08.2002
Le
samedi
31
août
2002,
l’agriculteur
Jakob
GUTKNECHT
(né
en
1946)
a
donné
l’
alerte
au
118
(service
d’appels
d’urgence)
à
11.40
H,
signalant
l’incendie
qui
a
détruit
par
la
suite
sa
ferme
comprenant
deux
logements,
et
l’immeuble
adjacent
de
Claude
BUDRY
(né
en
1936,
ingénieur
génie
civil).
Ces
immeubles
son
sis
au
hameau de Nonfoux sur la commune d’Essertines-sur-Yverdon VD
(
2002-08-31rapport_police.pdf
).
Entendu
le
lendemain
du
sinistre,
Jakob
GUTKNECHT
a
rapporté
avoir
été
derrière
sa
maison
sous
un
toit,
lorsqu’il
a
entendu
des
craquements.
Intrigué,
il
s’est
rendu
dans
sa
grange,
où
il
a
vu
des
flammes
dans
le
canal
d’aération
de
l’écurie.
Après
avoir alerté le 118, il a sauvé son bétail, sauf 2 veaux qui ont péri.
(
2002-09-01pv_gutknecht.pdf
).
Ci-dessous
sont
reproduites
4
photos
prises
par
le
photographe
du
24
Heures
d’Yverdon-les-Bains,
à
divers
stade
de
l’incendie.
L’incendie
a
été
maîtrisé
vers
13.
3
0
H.
(
2002-09-05rapportFlueckiger.pdf
).
BernLeaks
Pendant toute la
durée de l’incendie,
l’atmosphère était
calme, puisque la
fumée montait
verticalement
comme on le voit
ci-contre
Jakob GUTKNECHT
Victime d’un crime crapuleux,
il se fait condamner pour couvrir les
abus d’autorité de fonctionnaires qui
évoluent dans le crime organisé en bande
avec le cautionnement de l’Etat
III.
Les incohérences du dossier judiciaire
Le
18
août
2003,
le
«
juge
d’instruction
»
du
Nord
vaudois,
Christian
BUFFAT
(aujourd’hui
procureur
au
Ministère
public
central
à
Renens
VD)
a
condamné
Jakob
GUTKNECHT
à
20
jours
d’emprisonnement
avec
sursis
pour
incendie
par
négligence.
Il
a
été
accusé
d’avoir
engrangé
du
foin
mal
séché
et,
par
cette
négligence,
aurait
provoqué
une
auto-ignition
suite
à
une
fermentation
du
fourrage.
Pour
s’être
opposé
à
cette
condamnation,
Jakob
GUTKNECHT
a
été
renvoyé
devant
le
Tribunal
d’
Eric
ECKERT
,
qui
a
confirmé
ladite
condamnation
par
le
jugement
du
05
mars
2004.
Outre
les
frais
de
justice
mis
à
sa
charge,
M.
GUTKNECHT
a
subi
un
dommage
matériel
énorme,
le
ruinant
financièrement,
l’ECA
(Etablissement
cantonal
d’assurance
Incendie
et
éléments
naturels) ayant retardé son dédommagement et
fortement diminué l’indemnité.
Le
sinistré,
conscient
de
son
innocence,
a
déclaré
que
l’enquête
avait
été
complètement
bâclée
et
fut
blâmé
par
ECKERT pour son « impertinence ».
A
la
page
10
in
initio
du
jugement
ECKERT
on
lit:
«
(Le
foin)
de
2002
avait
été
bottelé
les
29
mai,
14
et
15
juin.
Quant au regain, il avait été bottelé le 27 juillet, voir le 28 ou le 29.»
(
2004-03-05 jugement Eckert
).
De
souche
paysanne,
ayant
eu
une
formation
agricole
à
la
base,
ce
passage
m’a
instantanément
interpelé,
car
le
risque
de
fermentation
du
foin
n’est
élevé
que
pendant
les
2
à
3
semaines
après
l’engrangement.
En
l’espèce,
même
le
regain
avait
été
bottelé
5
semaines
avant
l’incendie.
L’hypothèse
de
l’auto-ignition
est
en
conséquence
purement académique.
Comme
pour
toutes
les
condamnations
erronées,
cette
enquête
a
été
un
désastre.
L’inspecteur
de
la
Sûreté
en
charge, Daniel KOLLY n’a rien instruit, ignorant avec entêtement les déclarations de Jakob GUTKNECHT.
KOLLY
a
rédigé
2
rapports
–
l’un
du
1er
avril
2003
(
2003-04-01
Rapport
Kolly
)
de
4
pages,
et
le
second
du
24
juin 2003
(
2003-06-24 Rapport Kolly
)
avec d’autres maigres 4 pages.
Les
«
enquêteurs
»
ont
renoncé
à
faire
appel
à
des
experts
en
la
matière.
Ils
ont
juste
envoyé
des
échantillons
de
foin
pour
analyse
au
service
scientifique
de
la
Sûreté
de
la
Ville
de
Zurich.
Nous
y
reviendrons
plus
loin.
Cependant,
aujourd’hui,
nous
disposons
entre
autres
de
deux
expertises
sérieuses,
celle
de
Pierre
AEBY
de
l’Institut
agricole
de
l’Etat
de
Fribourg
(
2005-06-28
Aeby
)
et
celle
du
Laboratoire
LAVOUÉ
F
(
2010-10-19
Expertise Lavoue
).
Si
le
lecteur
attentif
compare
les
rapports
KOLLY
avec
les
deux
expertises
précitées
émanant
de
professionnels
compétents,
il
comprendra
tout
de
suite
que
cet
inspecteur
de
la
Sûreté
Vaudoise
est
un
charlatan
en
matière
d’incendie, en tout cas en ce qui concerne les sinistres provoqués par la fermentation de foin.
1. Les sottises avancées par KOLLY
Il faut commencer par ses omissions, devenues mensonges par omission:
- Ses rapports n’ont indiqué nulle part à quelles dates le foin et le regain ont été bottelés, puis
engrangés.
- KOLLY dissimule dans ses rapports, autant qu’il le peut, les dates précises de la prise d’échantillons de
foin, envoyés pour analyse au service scientifique de la Police de la Ville de Zurich. Voir détails
ci-dessous.
- Il tait soigneusement l’existence de croquis des lieux du sinistre, à savoir, où précisément avaient été
stockés le foin et la paille par exemple.
(
2002-09-01 Esquisse Gutknecht Jean-Christophe
)
- Il ne mentionne nulle part qu’aucun habitant du hameau n’avait signalé des odeurs de fermentation,
phénomène qui n’aurait pas pu échapper aux voisins.
- Ignorant les indications de Jakob GUTKNECHT qui a signalé que le feu était parti du canal d’aération à
l’étage supérieure à l’écurie, KOLLY a omis d’examiner cet emplacement. On y reviendra plus loin.
- Des témoins ont parlé de fumée très noire, ce qui suppose un départ de feu avec un hydrocarbure.
Claude BUDRY s’est même trahi, parlant d’une explosion
(
2002-09-01 PV Budry
)
; KOLLY a
soigneusement omis de retenir ces observations dans ses rapports.
- Nulle part, les «enquêteurs » n’ont retenu le témoignage d’Amandine BÉGUELIN (aujourd’hui
PRADERVAND), âgée de 15 ans à l’époque, qui se trouvait juste derrière la grange de GUTKNECHT (à
l’est), quand l’incendie s’est déclaré. Elle avait signé une photo des immeubles GUTKNECHT / BUDRY
avant l’incendie, indiquant avec une flèche où l’incendie était parti : soit du canal d’aération de l’écurie.
Elle avait également confirmé que la première fumée fut très noire. Cette pièce a disparu du dossier.
Voir détails plus bas.
En
outre,
il
a
formulé
dans
ses
deux
rapports,
le
mensonge
selon
lequel
«
Le
témoignage
de
M.
GUTKNECHT
permet
de
situer
l’origine
du
sinistre
dans
la
grange
de
sa
ferme,
soit
à
l’étage
supérieur
du
rural
»
.
Il
ne
s’agit
que
d’une
demi-vérité
:
Claude
GUTKNECHT
a
affirmé
avec
constance
avoir
vu
les
premières
flammes
dans
le
canal d’aération à l’étage supérieur de l’écurie
(
2002-09-01 PV Gutknecht
)
Autres fourberies de KOLLY dans son premier rapport :
«
La
progression
des
flammes,
la
direction
du
vent
au
moment
du
sinistre
et
le
témoignage
des
pompiers
ont
dirigé
nos
investigations
dans
la
partie
ouest
de
la
grange
sans
pouvoir
situer
avec
plus
de
précision
l’origine
du
sinistre.
» Il a répété ce mensonge dans son deuxième rapport.
C’est
FAUX
.
Il
n’y
avait
pas
de
vent
pendant
l’incendie,
le
31
août
2002.
Pour
preuves
les
photos
prises
par
le
photographe
de
24
Heures
d’Yverdon-les-Bains
–
à
tous
les
stades
de
l’incendie.
La
fumée
montait
droit
dans
le
ciel
comme
on
le
voit
plus
haut.
KOLLY
n’a
bien
sûr
pas
cité
les
noms
des
pompiers
qui
lui
auraient
parlé
de
ce
vent imaginaire.
Il
va
de
soi
que
KOLLY
s’est
borné
à
ne
prendre
en
considération
que
la
fermentation
du
foin,
comme
origine
de
l’incendie.
Selon
KOLLY
«
L’auto-ignition
par
fermentation
exige
un
laps
de
temps
compris
entre
3
semaines
et
3
mois
environ car la température ne croît que très lentement
».
C’est
encore
FAUX
.
Les
experts
Pierre
AEBY
et
Frédéric
LAVOUÉ
affirment
que
le
risque
d’auto-ignition
n’est
que
théorique
après
6
semaines
de
stockage
du
foin,
et
que
les
dates
d’engrangement
du
foin/regain
excluent
en
l’espèce
cette
cause
d’incendie.
Quand
la
fermentation
du
foin
cause
un
incendie,
l’augmentation
de
la
température se développe assez rapidement
(question de jours, et non de mois)
.
Selon
KOLLY,
«
Sous
la
pression
des
gaz
dégagés
par
la
fermentation
d’une
part
et
à
cause
de
leur
combustion
lorsqu’ils
se
sont
enflammés
d’autre
part,
des
cheminées
se
sont
alors
creusées
depuis
le
foyer
initial
jusqu’à
l’air
libre
».
LAVOUÉ
explique
de
son
côté
la
formation
de
ces
cheminées,
par
la
propagation
du
feu
dans
les
interstices
des
balles rondes du foin, là où le feu a été attisé par la présence d’oxygène.
KOLLY
omet
au
surplus
de
préciser
dans
ses
rapports,
la
date
exacte
du
prélèvement
des
échantillons
de
foin,
qui
ont
été
analysés
ensuite.
L’expert
LAVOUÉ,
en
possession
des
pièces
essentielles
du
dossier
n’a
pas
compris
que
les
échantillons
de
foin
à
analyser
n’ont
été
prélevés
que
3
ou
4
jours
après
l’incendie.
C’est
du
reste
KOLLY
lui-même
qui
a
apporté
indirectement
le
fait
qu’il
a
prélevé
ces
échantillons
seulement
4
jours
après
l’incendie,
quand
il
cite
GUTKNECHT
à
la
page
4
de
son
deuxième
rapport,
en
faisant
état
de
ce
retard.
KOLLY
n’a
pas
contesté
avoir
prélevé
les
échantillons
avec
4
jours
de
retard,
mais
il
en
minimise
la
portée
(
2003-06-24
Rapport Kolly
)
.
Toujours
selon
le
rapport
KOLLY
du
1er
avril
2003,
«
Le
conditionnement
du
foin
et
du
regain
en
grosses
balles
cylindriques
de
plus
de
500
kg
est
relativement
récent.
»
Dans
la
réalité,
ces
balles
rondes
ne
pèsent
en
fait
qu’environ 250 kg.
A
la
fin
de
son
premier
rapport,
KOLLY
palabre
sur
½
page,
au
sujet
de
l’analyse
du
Dr.
BRÜSCHWEILER.
On
comprend
tout
de
suite
qu’il
ne
connait
rien
en
la
matière.
Et
il
conclut
avec
témérité
:
«
Le
résultat
indique
qu’un
échauffement spontané a eu lieu dans plusieurs zones du fourrage
».
Dans son deuxième rapport, KOLLY a ajouté les contre-vérités suivantes :
«…
La
couche
extérieure
de
la
balle
(ronde)
forme
ainsi
une
protection
imperméable
à
l’eau
et
à
l’air.
De
ce
fait,
si
le
foin
avait
un
taux
d’humidité
élevé
au
moment
de
la
mise
en
botte,
il
ne
va
pas
sécher,
même
si
les
balles
restent à l’extérieur plusieurs jours
».
«
[…]
Cette
compression
rend
les
balles
étanches
à
l’eau,
mais
également
à
l’air.
De
ce
fait,
si
le
foin
est
humide
au cœur de la balle, il restera humide, même en laissant la balle plusieurs semaines à l’extérieur
».
Il
est
contredit
par
l’agronome
AEBY
:
«
Les
balles
rondes
ont
été
laissées
dans
le
champ
sur
la
partie
arrondie,
ce
qui
permet
au
cœur
de
se
ressuyer,
et
de
ne
pas
surchauffer.
La
densité
élevée
pour
sa
part,
empêche
que
l’eau
de
pluie
ne
pénètre
dans
la
balle,
comme
on
peut
l’observer
avec
les
toits
de
chaume.
Cependant
il
est
inexact,
comme
cela
est
prétendu
dans
le
rapport
de
police,
de
penser
que
ce
stockage
empêche
une
évacuation
de
l’eau
;
si
l’eau
liquide
ne
peut
effectivement
ni
sortir,
ni
pénétrer,
ce
n’est
pas
le
cas
de
l’eau
sous
forme
de
vapeur,
qui
peut
s’évacuer,
en
particulier
si
les
balles
sont
aérées.
La
chaleur
dégagée
lors
de
la
fermentation
accélère
l’évacuation
de
cette
eau
résiduelle.
Le
stockage
durant
les
trois
semaines
en
extérieur
comme
l’a
pratiqué
M.
GUTKNECHT
constitue
donc
bien
une
solution
efficace
pour
évacuer
une
grande
partie
de
l’humidité
excédentaire
présente
dans
le
foin
récemment
pressé.
Cette
démarche
n’est
pas
non
plus un signe de négligence
».
KOLLY
écrit
une
page
et
demi
sur
les
principes
de
la
fermentation
du
foin,
se
vantant
bêtement
d’être
expert
en
la matière.
Pour
contrer
l’observation
de
Jakob
GUTKNECHT
qui
avait
vu
les
premières
flammes
dans
le
canal
d’aération
de
l’écurie,
KOLLY
prétend
que
GUTKNECHT
n’aurait
pas
vu
que
les
parties
supérieures
du
tas
de
foin
avaient
été
les
premières
en
flamme,
et
il
fabule
ainsi
:
«
[…]
et
les
courants
de
convection
ont
rabattu
les
flammes
dans
la
partie
est,
où
était
entreposée
de
la
paille
et
où
se
trouvait
le
canal
d’aération
de
l’écurie.
Il
est
dès
lors
normal
que
M.
GUTKNECHT
ait
vu
des
flammes
sortir
par
ce
canal
sans
s’apercevoir
que
c’était
le
foin
entreposé
dans
la partie ouest du rural qui avait brûlé en premier
»...
Là, KOLLY a commis plusieurs erreurs de logique sur ce point :
a) LAVOUÉ le contredit : «
On notera que Monsieur GUTKNECHT déclara se trouver dans un hangar
situé à l’arrière de la propriété. Depuis cet endroit, l’agriculteur pouvait manifestement apercevoir un
pan de toiture surplombant le fourrage.
Si l’incendie avait pris à cet endroit, la toiture aurait
rapidement éclaté à son aplomb. M. GUTKNECHT aurait alors aperçu les flammes se
développer en partie haute de la grange
[…] ».
b) KOLLY ne peut pas prouver non plus que le feu ait commencé dans les parties supérieures de la
ferme. Son allégation est donc
pure spéculation
.
c) De la paille, et non pas du foin, a été stockée au-dessus du canal d’aération de l’écurie. Si la
spéculation de KOLLY était confirmée, l
e départ du feu aurait donc eu lieu dans la paille, et non
pas dans le foin.
d) Selon LAVOUÉ, le témoignage de M. GUTKNECHT est incompatible avec la thèse de KOLLY. «
Ce
phénomène tel qu’il est décrit est toutefois
impossible
dans le cas présent.
[…] Une propagation du feu de haut en bas est en outre un phénomène relativement rare, l’incendie
se propageant naturellement de bas en haut (phénomène de convexion)
».
KOLLY continue son œuvre :
Il
prétend
que
la
collecte
tardive
des
échantillons
de
foin
prélevés
après
l’incendie
et
l’arrosage
par
les
pompiers,
n’aurait aucune influence sur les résultats d’analyses.
C’est
FAUX
!
BRÜSCHWEILER
précise
:
«
[…]
la
prise
d’échantillons
doit
se
faire
aussi
vite
que
possible,
c’est
à-dire
dans
les
heures
qui
suivent
l’incendie
[…]
»
(à
cause
justement
du
risque
de
résultats
faussés),
(
traduction 1982Arch.Kriminol170_106-117, page 114
)
.
AEBY
dit
de
son
côté
sur
ce
même
sujet
à
la
page
3
de
son
expertise
:
«
Mais
dans
le
rapport
final
(de
KOLLY)
il
est
prétendu
que
le
délai
de
3
jours
entre
l’incendie
et
le
prélèvement
d’échantillons
ne
suffit
pas
pour
modifier les populations de micro-organismes, ce qui est
partiellement
FAUX
[…].
»
(
2005-06-28 Aeby
)
.
LAVOUÉ
précise
à
la
page
19
:
«
[…]
ce
type
d’analyse
ne
peut
pas
être
considéré
comme
fiable
lors
d’investigation
en
matière
d’incendie
(Sauf
dans
le
cas
où
une
partie
du
foin
a
été
totalement
épargnée
par
les
flammes
et
n’a
pas
été
humidifiée
par
les
eaux
d’extinction,
ce
qui
n’est
pas
le
cas
ici.),
…
l’utilisation
de
ces
analyses
et
l’interprétation
qui
en
est
faite
sont
inappropriées
et
abusives
»
.
(
2010-10-19
Expertise
Lavoue
)
.
Pour
contrer
l’argument
de
Jakob
GUTKNECHT
qui
déclarait
qu’un
échantillon
avait
été
prélevé
dans
une
zone
où
le
foin
avait
été
engrangé
l’année
précédente,
KOLLY
a
avancé
la
spéculation
fantasque
selon
laquelle,
«
la
balle
ronde
dans
laquelle
le
prélèvement
a
été
effectué
provenait
d’une
zone
plus
au
nord,
soit
dans
la partie supérieure du tas et
qu’elle serait tombée pendant l’incendie
dans la partie plus au sud
»…
Selon
KOLLY
encore,
un
incendie
dû
à
l’auto-ignition
du
foin
produirait
«
des
gaz
de
combustion
chauds
qui
arrivent à l’air libre
» et produiraient généralement des fumées très noires…
C’est
FAUX
!
Il
est
contredit
par
LAVOUÉ
(page
14)
en
ces
termes
:
«
Cette
couleur
(noire)
de
la
fumée
peut
être
due
à
la
combustion
d’un
hydrocarbure,
d’un
solide
liquéfiable
(matériau
plastique)
ou
d’une
mauvaise
combustion
due
à
un
manque
d’oxygène.
Du
fait
du
volume
important
de
la
grange
[…]
cette
dernière
hypothèse
ne
semble
pas
plausible
».
En
fait,
en
cas
d’auto-ignition
de
foin,
la
fumée
est
blanche.
(
Lettre
Elkhazen AFEP 2009-02-18
)
.
2. Les tricheries de KOLLY deviennent des vérités procédurales
KOLLY
a
continué
de
mener
le
bal
lors
du
procès
devant
les
tables
d’
ECKERT
,
car
il
y
a
joué
le
rôle
d’accusateur.
Incroyable
mais
vrai
!
Les
trouvailles
fantasques
de
ce
«
fin
limier
»
ont
été
reprises
telles
quelles
par le « juge » écrasant sans pitié les tentatives de défense du paysan.
Evidemment,
ECKERT
ne
disposait
pas
des
expertises
utilisées
pour
l’analyse
présentée
ci-contre,
mais
il
a
tout fait pour rejeter la requête de sa victime, de mandater un expert en l’espèce
(
2004-03-05 jugement Eckert, pages 5-7
)
.
Ces
«
vérités
»
procédurales
,
une
fois
établies
en
première
instance,
ont
passé
comme
une
lettre
à
la
poste
jusqu’au
niveau
de
la
Cour
Européenne
des
Droits
de
l’Homme.
Il
est
de
rigueur
que
les
instances
supérieures
reprennent
les
dires
des
premiers
«
juges
»
par
un
«
copier
/
coller
»,
sans
jamais
réaliser
le
moindre
test de plausibilité (voir mon livre « L’Etat de droit » démasqué, éditions Samizdat 2016).
IV.
Les complices de KOLLY
Le
patron
de
KOLLY
s’appelait
à
l’époque
Eric
LEHMANN
,
Commandant
de
la
Gendarmerie
vaudoise
(ex
Directeur
de
la
TSR
(Télévision
Suisse
Romande,
Provins,
etc.).
LEHMANN
a
défendu
les
agissements
illicites
de
son
subordonné
sans
hésitation,
comme
l’a
fait
d’ailleurs
son
successeur,
Jacques
ANTENEN
,
précédemment
1er
Juge
d’Instruction
du
Canton
de
Vaud
(
Evaluation
Antenenen.pdf
)
.
Pour
preuve,
leurs
correspondances
avec
le
frère
de
Jakob,
Johann
GUTKNECHT.
KOLLY
était
également
fortement
épaulé
par
son collègue, l’IPA
FIAUX
(
2003-04-29rapport_Fiaux.pdf
)
.
Interpelé
par
un
journaliste,
ANTENEN
a
prétendu
qu’il
«
serait
illégal
et
contraire
à
toute
déontologie
»
s’il
était
intervenu
autrement
qu’en
défendant
les
tricheries
de
ses
subordonnés...
«
Vigousse
du
12.09.2014
»
.
Voir
aussi l’édition du 22 juin 2012
«
Le Poulet flambé
».
Le
«juge»
d’instruction
Christian
BUFFAT
(aujourd’hui
procureur)
a
violé
son
devoir
de
fonction,
de
façon
inexcusable.
On
s’étonne
que
«
l’enquête
»
ne
lui
ait
été
attribuée
que
deux
jours
après
l’incendie
,
soit
le
lundi
2
septembre
2002.
C’était
le
olé-olé
vaudois,
caractérisant
aussi
la
décision
de
BUFFAT
du
même
jour,
selon
laquelle «
La présente enquête est instruite en la forme sommaire
». On se fiche des détails.
Le
4
septembre
2002
déjà,
l’inspecteur
FIAUX
a
mis
en
place
les
aiguillages
permettant
de
poursuivre
l’itinéraire
à
suivre
en
sens
unique
pour
que
seule
soit
suivie
:
«
[…]
l’hypothèse
la
plus
vraisemblable,
soit
celle
d’un
incendie consécutif à la fermentation
». A ce moment-là, il n’y avait
aucun indice
autorisant une telle hypothèse.
Mais
il
y
a
pire
:
BUFFAT
a
ignoré
l’appel
téléphonique
du
5
septembre
2002
enregistré
au
dossier
selon
les
termes
suivants
:
«
Jakob
GUTKNECHT
a
téléphoné
au
juge
pour
lui
faire
part
de
son
mécontentement
par
rapport
au
travail
des
enquêteurs.
Il
se
déclare
convaincu
que
l’hypothèse
de
la
fermentation
devait
être
écartée
[…].
Il
reproche
aux
policiers
d’avoir
négligé
les
témoignages
faisant
état
d’une
explosion
dans
le
rural,
à
l’opposé
de
l’endroit
où
le
fourrage
était
entreposé.
Le
juge
prend
acte
de
ce
qui
précède.
[…]
».
Pour
quelles
raisons,
ce
«
juge
»
a-t-il
commis
la
faute
fatale
de
ne
pas
faire
poursuivre
cette
piste
?
(
2002-09-02
PV
operations
)
.
Sur
le
conseil
du
directeur
de
l’organisation
paysanne
VD
Prometerre,
Daniel
GAY
(Franc-Maçon
présumé),
Jakob
GUTKNECHT
a
mandaté
l’avocat
Paul
MARVILLE
pour
sa
défense.
L’hôpital
se
foutait
de
la
charité:
le
Franc-Maçon
MARVILLE
a
été
de
son
vivant
le
champion
dans
la
trahison
de
ses
clients
et
a
terminé
ses
jours par «
la pilule des francs-maçons
».
Le
«
juge
»
Eric
ECKERT
est
évidemment
un
magouilleur
clé
dans
cette
affaire,
ayant
sciemment
fermé
les
yeux
pour laisser KOLLY réaliser son jeu de tricheur.
Hélas,
le
who
is
who
de
la
magistrature
vaudoise
s’est
associé
pour
corroborer
la
condamnation
parjure
de
Jakob GUTKNECHT :
Par
arrêt
du
12
mai
2004,
les
«
juges
»
cantonaux
Laurent
DE
MESTRAL
(12
références
négatives
dans
notre
base
de
données),
Bernard
ABRECHT
(4
références
négatives)
et
François
DE
MONTMOLLIN
(23
références
négatives) ont confirmé le jugement de première instance.
(
2004-05-12 Rejet-recours TC
).
Le
12
janvier
2005,
le
Tribunal
cantonal,
sous
la
présidence
du
Vénérable
François
JOMINI
(33
références
négatives
dans
notre
base
de
données),
avec
la
collaboration
de
deux
autres
juges
cantonaux,
Jean-Luc
COLOMBINI
(7
références
négatives)
et
Blaise
BATTISTOLO
,
a
rejeté
la
première
requête
en
révision
de
GUTKNECHT.
Par
ordonnance
du
11
septembre
2009,
le
«
juge
»
d’instruction
de
la
Broye
et
du
Nord
vaudois
C
hristian
BUFFAT
(aujourd’hui
procureur)
a
refusé
de
suivre
une
plainte
de
Jakob
GUTKNECHT,
soutenu
ensuite
par
les
«
juges » cantonaux
Jean-François MEYLAN
,
Joël KRIEGER
et
Bertrand SAUTEREL
.
(
2009-10-29 Refus Plainte
)
.
Par
arrêt
du
10
février
2010,
les
«
juges
»
cantonaux
Pierre
HACK
(5
références
négatives),
Sylvie
GIROUD
WALTHER
(1
référence
négative)
et
Fabienne
BYRDE
(3
références
négatives)
ont
rejeté
dans
un
délai
record,
la
requête
de
révision
du
29.01.2010
.
HACK
et
consorts
se
ridiculisent
en
prétendant
que
les
experts
invoqués
par
GUTKNECHT,
Messieurs
LAVOUÉ
et
ELKHAZEN
seraient
des
nullités
en
comparaison
de
l’inspecteur
KOLLY,
disposant
«
d’une
longue
expérience
et
d’une
formation
particulière
en
matière
d’incendie
»
(page
6,
2002-02-10
Rejet
Révision).
En
fait,
KOLLY
disposait
à
l’époque
déjà,
de
22
années
d’expérience
dans
l’art
de
tricher
et
de
magouiller.
D’ailleurs,
il
a
aussi
œuvré
de
façon
désastreuse
dans
l’affaire
SÉGALAT
(voir mon livre « L’Etat de droit » démasqué. Editions Samizdat, 2016).
De
connivence
avec
le
juge
d’instruction
cantonal
Jacques
ANTENEN
à
cette
époque-là,
HACK
et
consorts
ont
refusé
la
requête
de
GUTKNECHT
selon
laquelle
la
témoin
Amandine
BÉGUELIN
(PRADERVAND
après
mariage)
soit
enfin
entendue.
Elle
s’était
trouvée
juste
derrière
la
grange
de
GUTKNECHT
au
moment
où
l’incendie
s’est
déclaré,
et
avait
signé
une
photo
des
immeubles
détruits,
avec
l’indication
où
le
feu
avait
commencé.
2008-04-21
Béguelin
Amandine
.
Cette
preuve
a
disparu
du
dossier,
et
elle
n’avait
pas
pu
être
entendue
au
procès
de
mars
2004,
suite
à
une
absence
à
l’étranger.
Cette
témoin
aurait
aussi
pu
confirmer
que
la
première
fumée
fut
noire.
Dès
lors,
les
«
juges
»
ANTENEN
et
HACK
ont
manifestement
entravé
la
justice,
en refusant d’entendre ce témoin.
Les
«
juges
»
cantonaux
Pierre-Henri
WINZAP,
Yasmina
BENDANI
,
Philippe
COLELOUGH
(ces
deux
derniers
étant
liés
par
une
relation
intime)
ont
prêté
main
forte
pour
étouffer
une
nouvelle
requête
en
révision,
par
arrêt
du
20.08.2012
(
2012-08-20 TC VD rejet demande révision
).
Malheureusement,
Jakob
GUTKNECHT
a
constaté
trop
tard
qu’il
avait
confié
sa
demande
en
révision
à
un
avocat
Franc-Maçon,
en
la
personne
de
Stefan
DISCH
(voir
mon
livre:
«
L’Etat
de
droit
»
démasqué,
éditions
Samizdat, 2016).
Finalement,
la
correspondance
de
Johann
GUTKNECHT
(frère
de
la
victime)
fait
clairement
apparaître
que
les
magistrats vaudois suivants sont également complices de ce crime judiciaire :
Eric COTTIER
, Procureur général vaudois
Béatrice MÉTRAUX, Conseillère d’Etat VD
(
2016-06-17 Guknecht_à Metraux
)
Pierre-Yves MAILLARD, Président du Conseil d’Etat
(
2016-09-17 Guknecht à Maillard
)
Ces 2 politiciens ont participé passivement, en ne donnant aucune suite à leurs interpellations.
Sur
le
plan
fédéral,
les
«
juges
»
fédéraux
Hans
MATHYS
,
Laura
JACQUEMOUD-ROSSARI
et
Christian
DENYS
se sont mouillés par leur ATF 6B_601/2012 du 29.01.2013
(
2013-01-29ATF6B_601-2012.pdf
)
.
Et
finalement,
le
Procureur
général
de
la
Confédération,
Michael
LAUBER
,
ingénieur
en
chef
de
la
corruption
dans ce pays, a également toléré ce crime judiciaire
(
2016-08-27 Gutknecht Lauber.pdf
)
.
A
la
Cour
Européenne
des
Droits
de
l’Homme,
l
e
«
juge
»
du
Monténégro
Nebojša
VUČINIĆ
a
livré
le
module
de
texte
standard
pour
prétendue
l’irrecevabilité,
violant
comme
d’habitude
l’obligation
de
motiver
les
décisions.
2013-09-23CEDH.pdf
Pour
terminer
ce
chapitre,
précisons
que
3
avocats
ont
tenté
de
faire
un
travail
honnête
en
l’espèce.
Il
s’agit
de
Madame
Malek
BUFFAT,
Donovan
THÉSAURY
et
Me
Samuel
THÉTAZ
qui
avaient
pris
le
relais
après
«
Maître
Magouille
»
(
Paul
MARVILLE
);
BUFFAT,
ayant
compris
l’influence
de
la
Franc-Maçonnerie
a
déclaré
qu’on
ne
pouvait
plus
rien
faire.
Donovan
TÉSAURY,
(
2010-01-29
Requête
révision
Tesaury
)
qui
avait
formulé
une
requête
en
révision
valable,
fut
neutralisé
:
on
lui
offrit
une
prébende
comme
procureur
du
Nord
vaudois.
Et
THÉTAZ
abandonna
à
bout
des
nerfs.
Pour
finir,
deux
autres
avocats
renoncèrent
à
reprendre
le
combat,
ayant
compris
la
situation
après
étude
du
dossier,
et
après
avoir
discuté
l’affaire
lors
des
réunions
de
l’Ordre
des
Avocats Vaudois.
Gerhard ULRICH
La nouvelle construction
offerte à BUDRY
par l’ECA
Décédé 14.12.2019
La propriété de Claude BUDRY en feu – habitation et rural, vue de l’est. Seuls
le rural et le grenier ont brûlé. L’appartement était encore habitable.
A gauche le rural de BUDRY en feu – à droite celui de Jakob GUTKNECHT
Les pompiers en action devant la propriété de Jakob GUTKNECHT,
vue de l’ouest
Vue de l’est – fin de l’incendie