Swissleaks - HSBC
Worldcorruption.info
La
Hongkong
and
Shanghai
Banking
Corporation
(HSBC)
avait
son
siège
à
Hong
Kong
jusqu’en
1993
où
il
a
été
transféré
à
Londres.
L’expansion
de
HSBC
a
réellement
débuté
en
1992
avec
l’escroquerie
des
royalties
sur
les
brevets
de
FERRAYÉ.
Les
royalties
sur
la
vente
des
brevets
de
Joseph
FERRAYÉ
-
d’extinction
et
de
blocage
des
puits
de
pétrole
-
ont
été
réalisées
principalement
à
partir
de
la
“French
Trade
Week”
organisée
du
23
au
29
septembre
1991
à
Koweit-City
dès
la
fin
de
l’extinction
des
puits,
après
l’opération
“Tempête
du
Désert”.
Il
était
question
de
plus
de
USD
2’000
à
3’000
milliards
à
l’époque.
L’onglet
“historique”
détaille
cette
période.
Les
systèmes
avaient
également
été
présentés
lors
du
“Sommet
sur
l’environnement
et
le
Développement qui qu’était tenu du 3 au 14 juin 1992 à Rio de Janeiro.
Dans
un
premier
temps
en
1991
et
1992,
les
royalties
ont
été
escroquées
par
les
mandataires
et
les
associés
de
Joseph
FERRAYÉ,
grâce
à
la
complicité
des
membres
du
Gouvernement
français
et
de
sociétés
gouvernementales
telles
que
ELF,
FINA,
TOTAL,
FORASOL,
etc.
Rappelons
que
c’est
le
Ministre
de
l’INPI
Dominique STRAUSS-KAHN qui avait dévoilé les brevets, à l’insu de Joseph FERRAYÉ.
Des
dizaines
de
banques
sur
tous
les
Continents
ont
contribué
à
l’escroquerie
des
capitaux
concernés,
mais
nous
n’allons
reprendre
ici
que
celles
en
lien
avec
HSBC
,
parmi
lesquelles
les
plus
grandes
banques
privées
de
Suisse.
Edmond SAFRA
(ami intime de
Me Marc BONNANT
) fondateur des banques suivantes :
RNB Republic National Bank of New York
à New York
RNB Republic National Bank of New York (Suisse) SA à Zürich
inscrite en date du
1er février 1988 et radiée le 22 août 2006, sous le numéro RC CH-020.9.900.967-3.
RNB Republic National Bank of New York (Suisse) SA à Genève
inscrite en date du
3 août 1989 et radiée le 12 avril 2002, sous le numéro RC CH-660.0.102.988-2.
RNB Republic National Bank of New York (Suisse) SA à Lugano
inscrite en date du
26 février 1988 et radiée le 23 mai 2001, sous le numéro RC CH-514.9.009.030-0.
Safra SA à Genève
inscrite en date du 17 décembre 1984 et radiée le 8 décembre 2004
sous le numéro RC CH-660.0.768.984-2.
Après
la
vente
des
banques
“RNB”
citées
plus
haut
à
HSBC,
Edmond
SAFRA
est
allé
s’installer
à
MONACO
où
il
a
été assassiné le 03 décembre 1999.
Le
29
décembre
1999,
3
semaines
après
l’assassinat
de
Edmond
SAFRA,
HSBC
a
repris
la
Royal
New-york
Corp
et
la
Safra
Republic
Holdings
SA
pour
le
prix
de
USD
9.85
milliards - valeur 1999.
L’infirmier
américain
Ted
MAHER
a
été
reconnu
coupable
et
condamné
pour
le
meurtre
d’Edmond
SAFRA
et
d’avoir
été
l’auteur
de
l’incendie.
Ce
n’était
qu’une
mise
en
scène
Envers
l’Opinion
publique.
En
réalité,
le
corps
d’Edmond
SAFRA
a
été
retrouvé
avec
les
testicules
arrachés
et
fourrés
dans
la
bouche,
ce
qui
semblait
être
la
signature
de
la
mafia
russe.
De
l’ADN
masculin
non
identifié
a
du
reste
été
retrouvé
sous
les
ongles
de SAFRA.
Selon
un
témoin,
au
lendemain
de
la
mort
d'Edmond
SAFRA,
sa
fille
a
convoqué
la
gouvernante
de
ses
enfants,
pour
s'occuper
d'eux
pendant
que
la
famille
discutait
du
drame
dans
la
pièce
d’à
côté.
C'est
à
cette
occasion
que
la
Gouvernante
a
appris
que
le
corps
de
SAFRA
avait
été
retrouvé
selon
la
description
faite
plus
haut. Apparemment,
des
hommes
armés
avaient
fait
sauter
une
trappe
dans
le
toit
et
avaient
pénétré
en
moins
de
deux
minutes
dans
l'appartement.
D'après
un
autre
témoin
qui
s'était
quelque
temps
auparavant
rendu
à
la
villa
de
SAFRA,
40
agents spéciaux du MOSSAD veillaient en permanence sur la sécurité du banquier.
Il
est
avéré
que
SAFRA
vendait
des
armes
aux
indépendantistes
Tchétchènes,
probablement
pour
le
compte
d'ISRAEL
et
des
ETATS-UNIS
qui
au
lendemain
de
l'effondrement
de
l'Union
soviétique
avaient
intérêt
à
détourner l'agressivité débridée des russes dans des confits au Caucase.
Or,
la
RTS
(Télévision
Suisse
française)
qui
a
couvert
le
procès
à
MONACO,
a
rapporté
les
faits
tronqués
suivants
:
«
le
3.12.1999
vers
4
h
45,
Ted
MAHER,
infirmier
employé
par
Edmond
SAFRA
depuis
quelques
mois,
s’est
donné
plusieurs
coups
de
couteau
faisant
croire
à
l'irruption
dans
l'appartement
de
deux
agresseurs
armés
et
cagoulés
[…]
Ce
n'est
que
vers
7
h
45,
près
de
trois
heures
après
le
début
des
faits,
que
les
secours
parvinrent
jusqu'à
la
pièce
où
ils
retrouvèrent
Edmond
SAFRA
et
son
infirmière,
Viviane
TORRENTE,
morts
asphyxiés par la fumée ».
Contradiction : selon le policier Olivier JUDE, Viviane TORRENTE avait été retrouvée étranglée…
Edmond
SAFRA
était
atteint
de
la
maladie
de
Parkinson
et
dépendait
de
son
infirmier
pour
se
déplacer.
Au
moment
de
la
procédure
à
Monaco,
c’est
Me
Marc
BONNANT
qui
a
assurait
la
défense
de
SAFRA.
Avant
leur
audition,
les
témoins,
femmes
de
chambre
et
personnel
d’intendance,
avaient
été
préparé
aux
questions
qui
allaient
être
posées
et
chacun
avait
reçu
les
réponses
qu’il
devait
donner.
Des
témoins
peuvent
confirmer
ce
qui
précède.
Me
Marc
BONNANT
a
monté
tout
ce
scénario
pour
couvrir
son
complot
et
dissimuler
le
fait
qu’il
avait
utilisé
le
réseau des banquiers privés et le réseau BEN LADEN pour détourner les fonds provenant des royalties.
La
signature
des
Tchétchènes
dans
l’assassinat
d’Edmond
SAFRA
démontre
la
volonté
de
BEN
LADEN
avec
l’aide des Tchétchènes de se venger contre ceux qui avaient utilisé ses réseaux bancaires.
Comme
relevé
plus
haut,
Me
Marc
BONNANT
était
ami
intime
de
Edmond
SAFRA.
Mais
il
est
fort
probable
selon
les
investigations
bancaires,
que
BONNANT
n’a
été
au
courant
de
l’implication
de
son
ami
dans
les
détournements
opérés
depuis
1991
par
le
MOSSAD,
par
ELF
et
MOTTU
et
consorts
-
qui
s’étaient
adressés
à
la
Republic
National
Bank
of
New
York
pour
faire
transiter
les
fonds
escroqués
-
qu’après
les
séquestres
obtenus en 1996.
Rapelons
que
suite
aux
séquestres
de
janvier
1996
obtenus
par
Daniel
LEVAVASSEUR,
ex
Agent
de
la
DGSE
au
service
de
Joseph
FERRAYÉ,
sur
plainte
de
l’Inventeur
rédigée
par
Me
Marc
BONNANT
et
son
associé
Dominique
WARLUZEL,
que
les
deux
avocats
précités
de
FERRAYÉ
-
se
sont
faits
corrompre
et
que
dès
lors
Marc
BONNANT
a
déclaré
qu’il
ne
fallait
pas
que
Joseph
FERRAYÉ
touche
un
seul
dollar,
parce
qu’il
l’utiliserait
pour les faire tous mettre en prison...
Les
Présidents
George
W.
BUSH
et
Bill
CLINTON
et
les
membres
des
Gouvernements
occidentaux,
France
en
tête,
ont
mis
le
feu
aux
poudres
et
enflammé
les
Peuples
Islamistes
pour
couvrir
leurs
crimes...
Pour
les
USA
et
Barack
OBAMA
la
seule
manière
de
rétablir
la
situation est d’admettre la Vérité et poursuivre les responsables.
Réseau financier d’Oussama BEN LADEN pour blanchir les royalties FERRAYÉ
Les
attentats
successifs
de
Oussama
BEN
LADEN
contre
la
HSBC
prouvent
l’implication
de
cette
banque
dans
les
détournements
des
fonds
FERRAYE.
Au
surplus,
la
procédure
engagée
entre
Jacob
SAFRA
(frère
d’Edmond)
et
l’épouse
d’Edmond
SAFRA,
dont
le
défenseur
de
l’épouse
était
à
nouveau
Marc
BONNANT,
tente
à
démontrer
qu’un
conflit
était
survenu
après
la
mort
d’Edmond
SAFRA,
concernant
l
e
partage
des
montants
escroqués
.
Au
surplus
Marc
BONNANT
était
membre
du
conseil
d’administration
de
plusieurs
des
sociétés SAFRA…
L’Opinion
publique
a
été
intoxiquée
par
la
désinformation
et
les
fausses
déclarations
en
lien
avec
les
attentats du 11 septembre 2001 aux USA.
Lors
des
perquisitions
en
Suisse
et
en
France,
dans
les
locaux
de
Yeslam
BEN
LADEN
(frère
d’Oussama)
suite
aux
attentats,
les
autorités
judiciaires
ont
établi
l’existence
d’un
compte
UBS ouvert jusqu’en 1997.
Yeslam
BEN
LADEN,
a
déclaré
que
ce
compte
représentait
l’héritage
de
leur
père
réparti
entre
les 54 enfants de feu Mohammed BEN LADEN.
Or,
comme
en
témoigne
l’extrait
ci-dessous
d’un
article
du
12
octobre
2001,
le
père
de
Yeslam
et
d’Oussama
BEN
LADEN
est
décédé
en
1968
dans
un
accident
d’hélicoptère
-
Le
Point
12.10.2001
Yeslam
BEN
LADEN
aurait
indiqué
au
magistrat
français
Renaud
VAN
RUYMBEKE
que
deux
de
ses
frères
avaient
ouvert
ce
compte
à
l'Union
de
banques
suisses
(UBS
à
Genève),
sur
lequel
il
avait
un
pouvoir,
pour
y
recueillir
l'héritage
familial.
Héritage
redistribué
ensuite
sur
autant
de
comptes
qu'il
y
avait
d'héritiers,
dont
Oussama ben Laden…
Ainsi,
l’héritage
aurait
été
distribué
plus
de
30
ans
après
le
décès
du
père…
de
qui
se
moque
t-on ?
Comme
on
le
voit
plus
bas,
ce
compte
aurait
justifié
un
solde
de
plus
de
16
mia
de
dollars.
Les
juges
genevois
ont
donc
monté
de
toute
pièce
cette
désinformation
pour
couvrir
«
leur
implication
et
leur
responsabilité
dans
les
attentats
»
et
garantir
la
sécurité
de
leur
complice
Yeslam…
En
récompense,
ce
frère
de
terroriste
a
obtenu
la
naturalisation
suisse
des
autorités genevoises…
Yeslam
BEN
LADEN
avait
expliqué
que
ce
compte
bancaire
avait
servi
à
recueillir
l'héritage
familial
avant
d'être
redistribué
entre
les
héritiers.
Il
était
entendu
comme
témoin
assisté
dans
une
enquête
ouverte
pour
«
blanchiment
»
à
Paris.
Le
juge
VAN
RUYMBEKE
était
saisi
depuis
décembre
2001
d'une
enquête
sur
des
mouvements
financiers
entre
différentes
sociétés
appartenant
à
Yeslam
BEN
LADEN,
naturalisé
suisse
pour
qu’il ne soit pas « livrable »…
Les
autorités
genevoises
ont
ainsi
protégé
leur
complice
contre
toute
extradition,
à
l’image
de
Marc
RICH
(voir
Onglet
USA)
,
le
criminel
économique
condamné
à
325
ans
de
prison
aux
Etats-Unis,
mais
grâcié
par
Bill
CLINTON
sur
simple
demande
de
Pierre
DE
WECK
de
l’UBS…
au
titre d’entraide CRIMINELLE…
Au
sein
du
Crime
organisé
étatico-bancaire
tout
va
très
vite…
La
demande
DE
WECK
a
été
adressée
au
Président
CLINTON
le
4.12.2000
et
la
grâce
présidentielle
est
intervenue
dans
le
même
mois
comme
en
témoigne
l’article
de
Presse
accessible
ICI.
On
peut
être
assuré
que
si
Hillary
CLINTON
se
présente
à
l’élection
2016, elle n’aura aucune difficulté à financer sa campagne...
Les
détournements
opérés
l’ont
été
en
complicité
avec
les
Pays
pétroliers,
ABB
Vetco
Gray
(RUMSFELD
au
conseil
d’administration),
ELF,
FORASOL
(Sté
de
forage
à
Paris),
GEOSERVICE
(Sté
de
forage
appartenant
à
Jean-Christophe
MITTERAND),
PIPELINE
SERVICES,
agissant
tous
sous
couverture
de
ARAMCO
(Arabian
American
Company)
appartenant
à
l’Etat
d’
Arabie
Saoudite,
Etat
qui
ne
reconnaît
pas
à
ce
jour
le
Droit
de
propriété
intellectuelle.
Les
investigations
ont
mis
en
lumière
déjà
des
centaines
d’entreprises
en
Europe
liées
aux
détournements
et
la
liste
grandit
chaque
jour.
Toutes
seront
poursuivies
pénalement,
tout
comme
les
membres
de
leurs
conseils
d’administration
depuis
1991.
Ce
dernier
point
contribue
à
donner
la
mesure
de
la
responsabilité
financière
des
Sociétés
et
des
Etats
qui ont été complices du détournement des brevets.
Dans
un
autre
article
du
«
Réseau
Voltaire
»,
on
voit
que
Oussama
BEN
LADEN
a
touché
sa
part
du
Saudi
BEN
LADEN Group et non l’héritage prétendu par Yeslam, en 1994 pour un montant de USD 300 millions.
Si
chacun
des
54
frères
et
soeurs
de
Yeslam
BEN
LADEN
a
touché
le
même
montant
de
USD
300
millions,
ceci
représente un total de USD 16'200'000'000.-. (USD 16.2 milliards).
Or,
dans
ses
deux
déclarations
des
6
février
1996
et
3
avril
1996
,
le
Notaire
Pierre
MOTTU
auteur
des
conventions
de
transferts
des
royalties
séquestrées
a
déclaré
(03.04.1996
page
5),
que
17
milliards
de
dollars
faisaient
l’objet
des
indemnisations
qui
devaient
être
versées
à
Joseph
FERRAYE.
Le
Procureur
général
de
Genève
Bernard
BERTOSSA,
les
Avocats
BONNANT
et
WARLUZEL
et
le
Notaire
MOTTU,
semblent
avoir
alors
accordé
les
droits
consentis
par
les
commanditaires
du
complot,
(le
gouvernement
français)
à
Yeslam
BEN
LADEN,
le
nouveau
citoyen
suisse
chéri
des
genevois
grâce
au
réseau
financier
duquel
ils
ont
détourné
les
fonds pour les rendre non retraçables !
Dès
lors
la
guerre
de
Oussama
BEN
LADEN
contre
les
Etats-Unis
était
déclarée.
En
qualité
de
Musulman
pure,
Oussama
BEN
LADEN
n’a
pas
toléré
que
le
Crime
organisé
occidental
ait
utilisé
son
réseau
financier.
Les
premiers
attentats
contre
le
World
Trade
Center
en
1993,
puis
ceux
contre
les
ambassades
américaines
de
Nairobi
et
de
Dar
es-Salaam
en
1998,
ceux
de
Dharan,
du
Yémen
(le
navire
USS
Cole
en
octobre
2000),
portent
sa marque, tout comme les attentats successifs partout dans le monde contre la HSBC.
C’est
probablement
ce
contexte
qui
a
donné
l’idée
au
Gouvernement
républicain
BUSH
de
commanditer
les
attentats
du
11
septembre
2001
en
faisant
porter
la
responsabilité
à
Oussama
BEN
LADEN...
Assurément,
le
Gouvernement BUSH avait sous estimé les conséquences de ses actes !
Oussama
BEN
LADEN
a
déclaré
la
guerre
aux
Etats-Unis
à
partir
du
moment
où
les
commanditaires
du
complot
ont
pillé
l’IRAK
(pays
islamique)
en
augmentant
le
coût
des
extinctions
par
2.6
selon
les
révélation
de
BERTOSSA.
En
février
1996
après
le
séquestre
des
capitaux
sur
plainte
de
Joseph
FERRAYÉ
quand
des
milliers
de
milliards
ont
été
découverts,
BEN
LADEN
a
lancé
un
appel
à
s'attaquer
aux
intérêts
américains
partout dans le monde. Il devenait dès lors l’ennemi public N°1 officiel des États Unis.
4'000
enquêtes
pénales
étaient
ouvertes
au
sein
des
tours
concernant
des
transactions
boursières
louches
et
portant
sur
le
blanchiment
d’argent.
Des
articles
parus
ont
également
confirmé
que
le
WTC
abritait
les
archives
informatiques
de
WALL
STREET…
Ainsi,
par
l’anéantissement
du
WTC,
le
gouvernement
BUSH
a
fait
disparaître
l’ensemble
des
preuves
de
son
implication
dans
le
détournement
des
quelque
USD
2’000
à
3’000
milliards des fonds encaissés pour les systèmes FERRAYE !
Etait-ce
suffisant
pour
que
le
Gouvernement
américain
commandite
un
attentat
qui
a
coûté
la
vie
à
2’977
de
ses
Citoyens
et
en
a
blessés
6’300
autres
?
L’Argent
et
la
peur
de
devoir
assumer
leurs
responsabilités
ont-ils
poussés
des dirigeants à de telles atrocités ?
Cette
période
correspond
à
la
date
de
l’utilisation
du
réseau
d’Oussama
BEN
LADEN,
par
son
frère
Yeslam
et
les
commanditaires
du
complot
–
Etat
français
et
République
et
Canton
de
Genève,
Les
Cantons
de
Vaud,
Zürich,
Argovie,
Bâle
et
Zug
en
tête
–
sont
donc
les
premiers
responsables
du
terrorisme
en
occident
.
Ont
suivi
ensuite
tous
les
Cantons
Suisses
pour
opérer
le
blanchiment
et
comme
l’a
dit
le
Conseiller
National
PDC
(Parti
des
corrompus)
fribourgeois
Dominique
DE
BUMAN
devant
la
Presse
:
“Tout
est
pourri
chez
nous
!
Si
je
révélais
ce
que
je
sais,
c’est
toute
la
Suisse
fédérale
qui
tremblerait
...”
!
C’est
peut-être
aussi
pour
ça
que
le
Président
de
la
Commission
Européenne
Jean
Claude
JUNCKER
relèche
tous
ceux
qui
le
côtoyent,
à
commencer
par
Simonetta
SOMMARUGA
,
la
Présidente
de
la
Confédération
suisse
qui
a
l’air
de
se
délecter...
Et
les
femmes
n’ont
pas
l’exclusivité
des
câlins
JUNCKER
si
l’on
en
croit
l’étreinte
faite
au
nouveau
Premier
Ministre
Grec
Alexis
TSIPRAS.
Jean
Claude
JUNCKER
était
Premier
Ministre
luxembourgeois
au moment de l’escroquerie des royalties.
En
1996,
au
moment
de
la
levée
des
séquestres
des
royalties
escroquées,
la
Chambre
de
compensation
CEDEL
sise
au
Luxembourg
avec
succursale
à
Genève,
est
devenue
CLEARSTREAM.
Elle
était
alors
dirigée
par
André
LUSSY,
ex
UBS…
CLEARSTREAM
offrait
toute
l’opacité
nécessaire
aux
trafics
menés
par
les
criminels.
Et
JUNCKER
n’a
pas
fait
que
blanchir
l’évasion
fiscale
avec
son
Gouvernement,
il
a
contribué
à
l’escroquerie
et
au
blanchiment
des
centaines
de
milliards
de
dollars
des
royalties
FERRAYÉ.
Ernest
BACKES,
complice
dans
ces
détournements
à
l’encontre
de
FERRAYE
et
cosignataire
du
livre
Révélation
$
était
employé
de
CEDEL
devenue
CLEARSTREAM.
Il
connaissait
les
rouages
et
a
été
licencié,
ce
qui
l’a
conduit
à
dénoncer.
Toutefois,
BACKES
a
voulu
négocier
ces
révélations
et
c’est
pour
cette
raison
qu’après
avoir
promis
à
FERRAYÉ
de
l’aider
et
lui
remettre
tous
les
documents
utiles,
il
a
fini
par
«vendre”
l’inventeur
et
a
donné
les
documents
au
Procureur
suisse
de
Genève
Bernard
BERTOSSA.
Il
a
ainsi
été
corrompu
directement
par
BERTOSSA.
Les
centaines
de
milliards
escroqués
sur
les
brevets
FERRAYÉ,
sont
ainsi
directement
la
source
de
«
L’AFFAIRE
CLEARSTREAM » depuis 1992.
C'est
intéressant
de
relever
que
le
18
février
2015
,
une
perquisition
a
été
ordonnée
par
le
Procureur
général
de
Genève
Olivier
JORNOD,
au
siège
de
HSBC.
La
perquisition
s'est
faite
par
le
Procureur
général
Olivier
JORNOD
et
le
Procureur
Yves
BERTOSSA,
le
fils
de
Bernard
BERTOSSA
qui
a
contribué
à
escroquer
les
royalties
FERRAYÉ...
C'est
comme
ça
que
fonctionne
la
"justice"
genevoise
où
TOUT
EST
CORROMPU
!
Il
est
important
pour
le
Crime
organisé,
de
veiller
à
ce
qu'aucune
brèche
ne
laisse
révéler les crimes qu'ils ont commis !
CLEARSTREAM
sert
à
masquer
les
flux
financiers,
qu’ils
soient
licites
ou
criminels.
Révélation
$
de
Denis
ROBERT
et
d'Ernest
BACKES
démontre
que
«Les
motifs
de
ces
dissimulations
de
transferts
bancaires
internationaux
sont
nombreux.
Ils
peuvent
aller
de
la
simple
recherche
de
confidentialité
dans
le
cadre
d`opérations
commerciales
au
blanchiment
d`argent
sale
en
passant
par
le
délit
d`initiés,
la
corruption,
le
blanchiment
d’argent
ou
l`évasion
fiscale.»
Le
moyen
de
cette
occultation
est
la
pratique
des
«comptes
non
publiés».
CLEARSTREAM
s’est
mis
à
ouvrir
des
comptes
non
publiés
qui
se
seraient
multipliés
depuis
le
début
des
années
nonante
–
Les
détournements
des
centaines
de
milliards
de
FERRAYE
sont
survenus
dès
juillet
1991.
Au
nombre
de
1900
chez
CLEARSTREAM
en
1995,
ces
comptes
auraient
été
au
nombre
de
quelque
7500,
cinq
ans
plus
tard,
soit
l`équivalent
de
la
moitié
de
tous
les
comptes
gérés
par
la
société
du
Suisse
André
LUSSI
ex
responsable
UBS
SA…
Et
ceci
au
moment
même
où
quelque
2’000
à
3’000
milliards
de
dollars
(cours
de
l’époque)
étaient
escroqués...
La
vidéo
ci-dessous
est
significatife
du
mode
de
fonctionnement
de
HSBC
dans ces transactions.
Compte
tenu
des
rendements
des
capitaux
pendant
20
ans,
ce
montant
peut
avoir
été
multiplié
par
10,
sans
compter les dommages et intérêts.
Une
étude
de
Christian
CHAVAGNEUX,
auteur
de
«
Economie
et
politique
internationale
»
titrait
dans
le
journal
« Alternatives économiques » N° 194 de juillet 2001
« 4000 milliards d'euros d'argent sale »
« L'affaire CLEARSTREAM a bouleversé les estimations réalisées jusqu'à présent
du montant d'argent sale circulant dans le monde.
L'histoire
commence
en
février
dernier,
quand
sort
le
livre
de
Denis
ROBERT
et
d'Ernest
BACKES,
Révélation
$
(éd.
Les
Arènes).
Il
explique
comment
la
société
privée
CLEARSTREAM
organise
une
comptabilité
parallèle
(des comptes « non publiés ») qui enregistre des transferts financiers internationaux en partie douteux
Bernard SABRIER
fondateur des banques suivantes rachetées par les banques SAFRA :
Outre
le
fait
que
Bernard
SABRIER
a
été
administrateur
des
trois
banques
“RNB”
d’Edmond
SAFRA
citées
plus
haut,
il
a
été
également
le
fondateur
des
banques
“
UNIGESTION
”
dont
l’une
a
été
rachetée
par
RNB
Republic
National
Bank
of
New
York
d’Edmond
SAFRA
après
la
levée
des séquestres. S’agissait-il d’effacer toute trace de la complicité dans l’escroquerie des royalties ?
Banque Unigestion SA
inscrite en date du 3 juin 1971 et radiée le 22 mars 2000, sous le numéro
RC CH-020.9.900.967-3. Actifs repris par RNB Republic National Bank of New York (Suisse) SA à Genève
Unigestion Holding SA
inscrite en date du 11 août 1988 sous le numéro RC CH-660.0.627.988-7
Liens avec les protagonistes qui ont initié l’escroquerie des royalties
Ce
qu’il
est
intéressant
d’observer
dans
le
cadre
des
deux
banquiers
(SAFRA
plus
haut
et
SABRIER),
ce
sont
les
intervenants
administrateurs
de
ces
banques,
qui
sont
directement
liés
aux
protagonistes
qui
ont
initié
l’escroquerie des royalties FERRAYÉ.
Le
fichier
pdf
accessible
par
ce
lien
(143
pages)
donne
une
idée
de
l’ampleur
du
réseau
de
blanchiment
SAFRA
et
Consorts,
sans
prendre
en
compte
les
sociétés
propres
à
HSBC
que
nous
verrons
plus
loin.
Mais
le
plus
grave
est
que
toutes
ces
informations
ont
été
fournies
aux
Autorités
pénales
fédérales
suisses
qui
n’ont
constaté
aucun
soupçon
d’irrégularités...
De
multiples
sociétés
avec
le
même
nom,
créées
sous
des
N°
RC
différents
ne
semble
intéresser
aucun
procureur...
Est-ce
parce
que
des
homonymes
de
ces
procureurs
figurent
en
nombre
dans
notre
BD
du
blanchiment
?
Ceci
dénote
en
tout
cas
le
niveau
de
corruption
des
institutions
suisses
jusqu’au
sommet
de
l’Êtat,
tout
comme
pour
la
France
du
reste...
L’Etat
de
Droit
a
été
cédé
sa
place
au
Crime Organisé !
La
vidéo
ci-contre
“comprendre
en
3
minutes
le
fonctionnement
de
HSBC”
donne
une
idée
concrète
sur
la
manière
par
laquelle
tous
les
membres
de
cette
organisation
gigantesque
du
crime
organisé
échappent à des poursuites pénales.
Mais
au-delà
et
grâce
à
la
Presse,
comment
ils
vont,
avec
l’aide
des
gouvernements
corrompus,
mettre
en
place
une
nouvelle
stratégie
pour
blanchir
définitivement
les
capitaux
escroqués,
qui
se
calculent
en
milliers
de
milliards
d’Euros,
de
USD
ou
de
CHF,
etc.
Cette
stratégie
doit
permettre
aux
détenteurs
des
royalties
escroquées
(Personnes
physiques
ou
morales)
de
devenir
officiellement
titulaire
des
capitaux
cachés
(escroqués),
moyennant
une
petite
amende
substantielle
pour
laisser
croire
au
bon
Peuple
que
la
“justice”
fait
son travail...
C’est
bien
pour
cette
raison
que
dans
aucun
Pays,
pour
aucun
des
cas
dénoncés
dans
la
Presse,
les
Ministères
publics
ou
autres
organes
de
“justice”
ne
recherchent
ou
plutôt
ne
veulent
enquêter
sur
la
provenance
des
capitaux qui ont ainsi échappé au fisc.
HSBC est-elle la machine à laver l’argent sale de CREDIT SUISSE et d’UBS ?
Prenons l’exemple de “
HSBC Private Bank (Suisse) SA à Genève
RC CH-660.0.074.001-4” créée le 09.01.2001
3 Admin. lors de la création :
Junod Charles-André, de Sainte-Croix, à Chêne-Bougeries, adm. président
Jacquemoud Jean-Pierre, de Genève, à Genève, adm. vice-président
Marcos Ezra, de Genève, à Genève, adm. secrétaire
Les
liens
qui
ressortent
du
présent
fichier
pdf
(469
pages)
démontrent
comment
une
poignée
d’individus
se
sont
organisés
-
après
avoir
escroqué
des
milliers
de
milliards
de
royalties
-
pour
prendre
le
contrôle
de
l’économie
mondiale.
On
y
croise
bien
sûr
les
noms
de
Marc
BONNANT,
Pierre
MOTTU,
Alexandre
ZELLER
qui
a
suivi
les
fonds
depuis
leur
escroquerie
(CREDIT
SUISSE,
BCV,
HSBC),
Jean-Paul
AESCHIMANN,
Anton
AFFENTRANGER (UBS) de nombreux francs-maçons, politiciens, banquiers, etc.
Devons-nous
alors
nous
étonner
des
dérives
de
l’économie
lorsque
celle-ci
est
en
mains
d’individus
sans
aucune
morale,
qui
ignorent
l’éthique
et
sont
sans
aucun
scrupule,
sachant
que
les
politiciens
qui
cherchent
à
se
faire
élire,
ne
le
font
que
pour
bénéficier
des
retombées
que
le
Crime
organisé
dispense
pour ne pas être inquété ?
Les “petits copains” de la place de Genève, contrôlent la finance européenne
Le
lien
pdf
ci-dessus
nous
a
présenté
quelques-uns
des
“petits
copains”
genevois
qui
ont
totalement
perdu
la
tête
lorsque
la
manne
financière
de
centaines
de
milliards
de
dollars
a
été
mise
entre
leurs
mains...
Ils
ont
cru
prendre
le
contrôle
du
Monde
et
aujourd’hui
le
boomerang
revient
à
eu.
Il
est
temps
de
construire
de
nouvelles
prisons.
Selon
contrat
de
fusion
du
10.04.2001
HSBC
Privat
Bank
(Suisse)
SA
Genève
(CH-660.0.074.001)
créée
le
9
janvier
2001
a
repris
les
actifs
de
HSBC
Republic
Bank
(Suisse)
SA
Genève
(Nouveau
nom
de
la
RNB
Republic
National
Bank
of
New
York
(Suisse)
SA
de
SAFRA
,
avec
des
actifs
de
CHF
24'658'630'000
et
un
passif envers les tiers de CHF 23'575'504'000, soit un actif net de CHF 1'083'126'000.
Parallèlement
(3
à
à
la
même
date
de
fusion)
les
établissements
suivants
étaient
repris
par
HSBC
Republic
Bank (Suisse) SA Genève :
•
HSBC Bank USA Singapour
CHF
89'742'000 - 10.04.2001
•
HSBC Bank USA Hong Kong
CHF
120'806'000 - 10.04.2001
•
HSBC Investment Bank Asia Ltd Hong Kong
CHF
319'273'000 - 10.04.2001
•
Crédit Commercial de France Genève
CHF
26'599'802 - 24.02.2003
•
HSBC Private Bank Luxembourg
CHF
124'956'000 - 05.09.2008
CHF
681’376’802
Le
but
visé
par
ces
multiples
fusions
était
assurément
de
faire
disparaître
tout
trace
de
transferts
des
fonds escroqués sur les royalties.
Cette
situation
nous
conduit
à
comprendre
que
la
RNB
Republic
National
Bank
of
New
York
(Suisse)
SA
Genève
ex
propriété
d’Edmond
SAFRA,
inscrite
sous
le
N°
RC
CH-660.0.074.001-4
détenait
4
fois
plus
de
fonds
que
l’ensemble
des
HSBC
dans
le
monde...
Et
ça
Me
Marc
BONNANT
et
son
associé
Dominique
WARLUZEL,
avocats
à
Genève
ont
dû
très
vite
s’en
rendre
compte
après
la
plainte
qu’ils
avaient
rédigées pour Joseph FERRAYÉ, qui avait conduit au séquestre des capitaux.
C’est
assurément
pour
cette
raison
que
les
deux
Avocats
genevois
BONNANT
ET
WARLUZEL
-
encensés
depuis
20
ans
par
la
Presse
et
les
télévisions
suisses
françaises
qui
sont
à
leurs
ordres
et
qui
vont
endosser
une
lourde
responsabilité
due
à
leur
désinformation
publique
-
ont
trahi
leur
Client
et
pris
le
contrôle
de
l’escroquerie,
en
complicité
avec
les
banquiers,
le
Notaire
Pierre
MOTTU,
l’Avocat
zurichois
Mark
BRUPPACHER, les Avocats et membres du Gouvernement français, etc.
CREDIT SUISSE reprend le contrôle des
“petits copains” de la place de Genève
Le
Schweizerische
Kreditanstalt,
aujourd’hui
CREDIT
SUISSE
a
été
impliqué
dès
le
début
dans
l’escroquerie
des
royalties,
par
Rainer
E.
GUT
-
fichier
pdf
(2’834
pages)
qui
en
était
le
Président
et
qui
avait
également
la
signature
dans
la
société
offshore
EVERTON
Enterprise
Ltd
aux
Iles
Vierges
britaniques
créée
pour
faire
transiter
les
royalties
escroquées.
Dans
ce
dernier
lien,
par
la
présence
de
Josef
ACKERMANN,
on
prend
conscience
de
la
corruption
et
du
blanchiment
à
l’international,
comment
des
individus
peuvent
provoquer
le
grounding
d’une
compagnie
nationale
(SWISSAIR)
,
le
2
octobre
2001,
dans
le
seul
but
de
blanchir
des
milliards
qu’ils
ont
escroqués,
sans
tenir
compte
à
aucun
moment
des
conséquences
économiques
pour
les
populations.
Le
3
décembre
2008,
CREDIT
SUISSE
veut
prendre
le
contrôle
de
l’équipe
des
“petits
copains”
de
la
finance
genevoise
et
près
de
8
ans
après
la
création
de
la
HSBC
Privat
Bank
(Suisse)
SA
Genève,
CREDIT
SUISSE
place
son
pion
Alexandre
ZELLER
à
la
tête
de
HSBC.
C’est
sous
sa
direction
que
de
nombreuses
données
ont
été soustraites par le lanceur d’alerte Hervé FALCIANI.
Quatre
mois
plus
tard,
HSBC
Guyerzeller
Bank
AG
Zürich
avec
succursale
à
Genève,
inscrite
au
RC
le
28
avril
1939
avec
un
capital
de
CHF
5’000’000.-
a
été
fusionnée.
Ce
n’est
qu’au
31
janvier
2002
(blanchiment
après
levée
des
séquestres)
que
le
capital
de
la
banque
précitée
avait
passé
à
de
CHF
5’000’000
CHF
55’000’000,
puis
ensuite
à
CHF
95’000’000
trois
mois
plus
tard
le
25
avril
2002.
C’est
à
ce
moment-là
qu’étaient
réalisées
les
fusions
avec
le
Crédit
commercial
de
France
(Suisse)
SA
à
Genève
et
la
Handelsfinanz-CCF
Bank
à
Genève
aussi.
HSBC
Guyerzeller
Bank
AG
Zürich
a
été
reprise
par
HSBC
Privat
Bank
(Suisse)
SA
Genève
par
contrat
de fusion du 12 mars 2009.
Pour
mémoire,
en
2000,
HSBC
avait
acquis
le
Crédit
commercial
de
France
(CCF).
Le
9
novembre
2005,
le
CCF
et
certaines
de
ses
filiales
(Banque
Hervet,
Banque
de
Baecque
Beau,
Banque
de
Picardie
et
UBP
Union
de
Banques
Paris)
ont
changé
leur
raison
sociale
pour
apparaître
sous
la
marque
HSBC.
Au
cours
du
1er
semestre
2008,
HSBC
a
revendu
aux
Banques
Populaires
ses
sept
banques
régionales
n'apparaissant
pas
sous
la
marque
HSBC
:
SMC,
Banque
de
Savoie,
Chaix,
Marze,
Dupuy
de
Parseval,
Pelletier
et
CCSO.
Le
1er
août
2005,
l'ex-CCF,
la
Banque
Hervet,
la
Banque
de
Baecque
Beau,
l'UBP
et
la
Banque
de
Picardie
ont
fusionné
juridiquement sous le nom de HSBC France (Extrait wikipedia).
Conclusion
A
l’instar
de
ce
qu’était
la
BCCI
(Bank
of
Credit
and
Commerce
International)
basée
une
fois
de
plus
au
Luxembourg,
avant
sa
faillite
retentissante
en
1972,
HSBC
est
assurément
l’établissement
financier
qui
offre
la
meilleure structure au Crime organisé.
Quel
que
soit
le
“Corporate
governance”
officiellement
fourni
par
la
banque
et
ses
satellites
multiples,
HSBC
offre
toutes
les
options
pour
contourner
les
Lois,
escroquer
les
Citoyens
(Libor,
Euribor,
Subprime,
etc),
HSBC
trempe
dans
toutes
les
magouilles.
Et
là,
encore
une
fois
rien
d’étonnant,
quand
l’on
sait
que
la
banque
en
question
a
fondé
sa
stratégie
sur
l’escroquerie
et
le
blanchiment
de
centaines
de
milliards
au
travers
de
protagonistes sans scrupule et sans foi ni Loi.
Il
est
temps
de
mettre
un
terme
à
cette
banque
de
Voyous
et
nous
allons
prendre
le
contrôle
de
tous
ses
avoirs
en compensation du préjudice subi.
Etude Bonnat - Warluzel Genève
ICIJ
The International Consortium of Investigative Journalists
(180 journalistes à travers le monde)
SwissLeaks.
OffshoreLeaks,
etc.
nous
parlent
constamment
de
“Fraude
d’évasion
fiscale”...
Posons-
nous
alors
la
question
de
savoir
pourquoi
ces
“super
journalistes”
ne
cherchent
jamais
à
comprendre
d’où proviennent les fonds détenus sur les comptes dont ils ont eu connaissance...
Quels
sont
les
“Titres”
qui
participent
aux
révélations
de
l’ICIJ
?
Le
Washington
Post,
la
BBC,
le
Guardian, le Süddeutsche Zeitung. En France Mediapart, Le Monde, en Suisse Le Temps (Tamedia) etc.
Pour
la
France
et
la
Suisse
en
tout
cas,
il
est
évident
que
les
titres
concernés
ont
été
financés
par
le
blanchiment
de
l’escroquerie
des
royalties
FERRAYÉ.
Dès
lors,
doit-on
s’étonner
que
l’information
donnée
(exemple
4
pages
dans
Le
MATIN
Dimanche
du
15.02.2015)
ne
soit
qu’un
sujet
traité
de
manière
cosmétique et un pur blanchiment de l’information... ?
Pourquoi
CREDIT
SUISSE
dont
le
lien
direct
avec
HSBC
Private
Bank
SA
est
évident,
n’est-elle
jamais
citée ?
André LUSSY
La
Villa
Léopolda
a
été
acquise
en
1999
par
Edmond
SAFRA.
Elle.est
située
sur
les
hauteurs
de
Villefranche-sur-Mer
et
Beaulieu-sur-Mer,
au
lieu-dit
Col
de
Caire,
entre
Nice
et
Monaco.
Elle
possède
une
vue
panoramique
sur
le
Cap
Ferrat
et
la
mer
Méditerranée.
Elle
est
entourée
d’un
parc
de
8
hectares,
planté
de
plus
de
1200
arbres
d’essences
diverses
(oliviers,
cyprès,
citronniers,
orangers
et
pruniers)
et
nécessite
pour
son
entretien
plus
d'une
cinquantaine
de
jardiniers.
Valeur
estimée
à
CHF 700’000’000.- à sa plus haute estimation.