FIFA
Nous
devons
nous
souvenir
que
Sepp
BLATTER
a
été
élu
le
8
juin
1998
comme
outsider
à
la
Présidence
de
la
FIFA
,
alors
que
l’élection
de
Lennart
JOHANSSON,
candidat
suédois,
était
attendue.
Cette
surprise
avait suscité des rumeurs de corruption sur l’entourage du nouvel élu.
Or,
en
fonction
des
informations
accessibles
sur
le
Site
Internet
www.worldcorruption.info,
il
est
facile
de
constater
que
1998
correspond
au
début
du
blanchiment
des
royalties
sur
les
brevets
de
Joseph
FERRAYÉ
et
que
dès
lors,
la
FIFA
représentait
une
machine
à
blanchir
extraordinaire
des
centaines
de
milliards
de
dollars
escroqués.
Compte
tenu
de
cette
gigantesques
masse
monétaire
en
USD
sur
le
marché
financier
à
l’époque,
il
est
certain
que
l’entourage
de
Sepp
BLATTER
avait alors tous les moyens pour acheter son élection.
Aujourd’hui,
on
peut
comprendre
sa
crainte
d’avoir
vu
le
pouvoir
lui
échapper,
puisque
dès
ce
moment-là,
son
successeur
aura
tous
les
éléments
en
main
pour
mettre
en
lumière
les
réelles
conditions
de
sa
première
élection
et
l’évolution
qu’il
a
donnée
à
l’institutution.
Bien
entendu
cela
ne
sera
possible
que
si
le
nouveau
Président
est
totalement
hors
du
sérail
et
que
Michel
PLATINI
ne
fait
pas
partie
des
candidats
possibles.
Suite
aux
arrestations
qui
ont
été
ordonnées
mercredi
27
mai
2015,
certaines
réactions
en
Suisse
ont
été
extrêmement
intéressantes
à
observer.
Tout
d’abord
celle
du
Conseiller
Fédéral
responsable
de
l’Armée
et
des
Sports
Ueli
MAURER
qui
a
confirmé
sa
confiance
au
Président
BLATTER.
Il
faut
savoir
que
M.
Ueli
MAURER
est
le
Conseiller
Fédéral
du
Parti
politique
UDC
fondé
par
Christoph
BLOCHER,
impliqué
alors
qu’il
était
Administrateur
de
UBS
(SBG
CH-020.3.923.521-9)
lors
de
l’escroquerie
et
du
détournement
des
capitaux.
Dans
un
documentaire
à
sa
gloire
intitulé
«
L’expérience
BLOCHER
»,
il
ressort
que
le
financier
avait
fait
construire
117
usines
en
Asie
à
ce
moment-là,
sans
avoir
eu
le
moindre
franc
à
investir.
A
noter
encore
que
Christoph
BLOCHER
figure
dans
le
même
RC
que
Mark
BRUPPACHER
dans la Société Wunderly Immob.- und Verw. AG Meilen
CH-020.3.929.046-1,
sachant
que
Mark
BRUPPACHER
avait
la
signature
individuelle
pour
procéder
à
tous
les
virements
qui
ont
permis
l'escroquerie des royalties FERRAYE.
Il
faut
savoir
aussi
que
Ueli
MAURER,
Conseiller
Fédéral
qui
a
fait
une
déclaration
de
soutien
à
Sepp
BLATTER,
était
auparavant
le
Président
du
Parti
UDC
Suisse,
contrôlé
par
Christophe
BLOCHER
qui
contrôle
aussi
une
part
importante
des
Médias
suisses.
Les
autres
réactions
proviennent
du
Canton
du
Valais,
dont
Christian
CONSTANTIN,
Président
du
Club
de
football
de
Sion
et
d’autres
membres
du
monde
politique
et
économique.
Notre
base
de
données
nous
permet
de
comprendre
qu’UBS
et
CREDIT
SUISSE
sont
les
instigateurs
de
l’escroquerie
des
royalties
et
que
la
FINMA
en
est
le
«
pare-feu
»
fédéral
pour
que
le
crime
organisé
ne
soit
pas perturbé dans le blanchiment qu’ils opèrent.
Les
nouvelles
élections
au
Conseil
d’Administration
de
la
FINMA
au
1er
janvier
2016
le
prouvent
:
La
Présidente
actuelle
est
HÉRITIER-LACHAT
Anne.
Elle
figure
au
registre
de
la
Fondation
Valorisation
Actifs
Banque
Cantonale Genève.
Incroyable mais vrai !
Elle
sera
remplacée
au
1er
janvier
1996
par
Thomas
BAUER.
Il
a
été
"partner" auprès de
Ernst & Young jusqu’en 2014.
Au
surplus,
ont
été
nommés
Marlène
AMSTAD
ex
BNS
et
BRI
(règlements
internationaux
où
transitaient
les
fonds
escroqués,
Bernard
KELLER
CEO
de
Julius
&
Baer
impliquée
dans
le
blanchiment
et
Renate
SCHWOB ex Office Fédéral de la Justice et Credit Suisse (BPS)
CH-035.3.000.060-3...
Avec
ces
nominations,
le
Conseil
Fédéral
s'assure
que
le
secret
sur
l'escroquerie
et
le
blanchiment
des
royalties
FERRAYÉ,
organisé
dès
le
départ
en
1992
par
ERNST
&
YOUNG
et
le
Président
du
CREDIT
SUISSE Rainer E. GUT, sera bien gardé.
C'est
la
preuve
que
le
Gouvernement
Fédéral
Suisse
est
complètement corrompu !
Sachons
encore
que
Mark
BRANSON
ex
Coopers
&
Lybrand,
ex
Credit
Suisse,
ex
SBC
Warburg,
ex
CEO
UBS
est
maintenant
le
CEO
de
la
FINMA.
Ceci
démontre
que
la
FINMA
n'est
pas
un
organe
suisse
du
contrôle
bancaire,
mais
une
organisation
du
crime
en
bande
mise
en
place
par
l'Etat
Fédéral
pour
avoir
tous
les
éléments
en
primeur,
qui
garantiront
que
les
membres
du
crime
organisé
dans
lequel
les
politiciens somt complices, ne seront jamais inquiétés.