Conseiller
National
pour
le
Parti
PDC
Dominique
DE
BUMAN
était
Syndic
de
la
Ville
de
Fribourg
en
1996
lorsque
les
irrégularités
dans
les
comptes
de
la
Caisse
de
Pension
de
la
Ville
ont
débuté
(100
millions volatilisés).
Le
24
mai
2006,
le
Conseiller
National
Dominique
DE
BUMAN
vice
Président
du
PDC
Suisse
dont
on
peut
légitimement
attendre
d’un
tel
personnage
politique
qu’il
sait
peser
ses
mots
lorsqu’il
s’exprime,
s’était
adressé à deux reprises à la Presse et avait déclaré :
«
La
société
est
complètement
pourrie.
Cela
ne
fonctionne
que
par
les
petits
copains.
Il
y
a
des
problèmes
partout.
La
société
fribourgeoise
n’est
pas
exempte
d’histoires
de
corruption
ou
de
copinage
».
[…]
«
J’ai
eu
vent
de
certaines
choses
qui
ont
été
couvertes,
c’est
vrai,
je
le
sais
».
Et
d’ajouter
:
«
qu’il
savait
que
les
Autorités
étaient
complètement
corrompues,
mais
que
ça
ne
s’arrêtait
pas
là
et
que
s’il
dénonçait
ce
qu’il
savait,
ce
n’était
pas
seulement
le
Canton
de
Fribourg
qui
en
tremblerait,
mais
la
Suisse
entière ».
L’ensemble
de
la
classe
politique
a
alors
contraint
DE
BUMAN
à
se
rétracter
et
à
s’excuser...
à
commencer
par
le
Président
du
PDC
Christophe
DARBELLAY...
Belle
éthique
politicienne
au
service
du
Crime Organisé en Bande dans laquelle ils sont complices !
Dans
un
Etat
de
Droit,
Ministère
Public
de
la
Confédération
et
Tribunal
Pénal
Fédéral
se
seraient
rués
sur
ces
informations
pour
connaître
les
éléments
qui
avaient
conduit
le
Conseiller
National
à
déclarer
publiquement
des
accusations
aussi
graves
et
l’intéressé
aurait
immédiatement été placé au secret pour éviter toute collusion.
Mais
en
Suisse
où
“l’Etat
de
Droit”
est
sous
le
contrôle
et
l’autorité
de
la
Franc-Maçonnerie,
l
’Affaire
a
été
étouffée
pour
ne
pas
éveiller
l’Opinion publique...
Une
question
reste
cependant
ouverte
:
Qui
gérait
les
capitaux
de
la
Caisse
de
pension
de
la
Ville
de
Fribourg
?
Nos
recherches
dans
le
cadre
du
blanchiment
des
royalties
FERRAYÉ
nous
ont
conduit
au
frère
du
Conseiller
National,
Jean-Luc
DE
BUMAN
dont
les
liens
avec
les
sociétés
qui
peuvent
avoir
participé
au
blanchiment,
sont
intéressants
et
en
particulier
avec
SBG/UBS
CH-020.3.923.521-9
qui
est
la
société
d’UBS
qui
a
participé
directement
à
l’escroquerie
et
où
étaient
enregistrés
comme
Administrateurs
au
moment
des
faits,
outre
Jean-Luc
DE
BUMAN
frère
du
Conseiller
National,
les
Conseillers
Fédéraux
Christophe
BLOCHER
et
Johann
SCHNEIDER
AMMANN...
Apparaît
même
Jean-René
FOURNIER
en
1995
pour
la
succursale
de
Sion
(1995 = levée du séquestre des royalties)...
FIFA
Nous
devons
nous
souvenir
que
Sepp
BLATTER
a
été
élu
le
8
juin
1998
comme
outsider
à
la
Présidence
de
la
FIFA
,
alors
que
l’élection
de
Lennart
JOHANSSON,
candidat
suédois,
était
attendue.
Cette
surprise
avait suscité des rumeurs de corruption sur l’entourage du nouvel élu.
Or,
en
fonction
des
informations
accessibles
sur
le
Site
Internet
www.worldcorruption.info,
il
est
facile
de
constater
que
1998
correspond
au
début
du
blanchiment
des
royalties
sur
les
brevets
de
Joseph
FERRAYÉ
et
que
dès
lors,
la
FIFA
représentait
une
machine
à
blanchir
extraordinaire
des
centaines
de
milliards
de
dollars
escroqués.
Compte
tenu
de
cette
gigantesques
masse
monétaire
en
USD
sur
le
marché
financier
à
l’époque,
il
est
certain
que
l’entourage
de
Sepp
BLATTER
avait alors tous les moyens pour acheter son élection.
Aujourd’hui,
on
peut
comprendre
sa
crainte
d’avoir
vu
le
pouvoir
lui
échapper,
puisque
dès
ce
moment-là,
son
successeur
aura
tous
les
éléments
en
main
pour
mettre
en
lumière
les
réelles
conditions
de
sa
première
élection
et
l’évolution
qu’il
a
donnée
à
l’institutution.
Bien
entendu
cela
ne
sera
possible
que
si
le
nouveau
Président
est
totalement
hors
du
sérail
et
que
Michel
PLATINI
ne
fait
pas
partie
des
candidats
possibles.
Suite
aux
arrestations
qui
ont
été
ordonnées
mercredi
27
mai
2015,
certaines
réactions
en
Suisse
ont
été
extrêmement
intéressantes
à
observer.
Tout
d’abord
celle
du
Conseiller
Fédéral
responsable
de
l’Armée
et
des
Sports
Ueli
MAURER
qui
a
confirmé
sa
confiance
au
Président
BLATTER.
Il
faut
savoir
que
M.
Ueli
MAURER
est
le
Conseiller
Fédéral
du
Parti
politique
UDC
fondé
par
Christoph
BLOCHER,
impliqué
alors
qu’il
était
Administrateur
de
UBS
(SBG
CH-020.3.923.521-9)
lors
de
l’escroquerie
et
du
détournement
des
capitaux.
Dans
un
documentaire
à
sa
gloire
intitulé
«
L’expérience
BLOCHER
»,
il
ressort
que
le
financier
avait
fait
construire
117
usines
en
Asie
à
ce
moment-là,
sans
avoir
eu
le
moindre
franc
à
investir.
A
noter
encore
que
Christoph
BLOCHER
figure
dans
le
même
RC
que
Mark
BRUPPACHER
dans la Société Wunderly Immob.- und Verw. AG Meilen
CH-020.3.929.046-1,
sachant
que
Mark
BRUPPACHER
avait
la
signature
individuelle
pour
procéder
à
tous
les
virements
qui
ont
permis
l'escroquerie des royalties FERRAYE.
Il
faut
savoir
aussi
que
Ueli
MAURER,
Conseiller
Fédéral
qui
a
fait
une
déclaration
de
soutien
à
Sepp
BLATTER,
était
auparavant
le
Président
du
Parti
UDC
Suisse,
contrôlé
par
Christophe
BLOCHER
qui
contrôle
aussi
une
part
importante
des
Médias
suisses.
Les
autres
réactions
proviennent
du
Canton
du
Valais,
dont
Christian
CONSTANTIN,
Président
du
Club
de
football
de
Sion
et
d’autres
membres
du
monde
politique
et
économique.
Notre
base
de
données
nous
permet
de
comprendre
qu’UBS
et
CREDIT
SUISSE
sont
les
instigateurs
de
l’escroquerie
des
royalties
et
que
la
FINMA
en
est
le
«
pare-feu
»
fédéral
pour
que
le
crime
organisé
ne
soit
pas perturbé dans le blanchiment qu’ils opèrent.
Les
nouvelles
élections
au
Conseil
d’Administration
de
la
FINMA
au
1er
janvier
2016
le
prouvent
:
La
Présidente
actuelle
est
HÉRITIER-LACHAT
Anne.
Elle
figure
au
registre
de
la
Fondation
Valorisation
Actifs
Banque
Cantonale Genève.
Incroyable mais vrai !
Elle
sera
remplacée
au
1er
janvier
1996
par
Thomas
BAUER.
Il
a
été
"partner" auprès de
Ernst & Young jusqu’en 2014.
Au
surplus,
ont
été
nommés
Marlène
AMSTAD
ex
BNS
et
BRI
(règlements
internationaux
où
transitaient
les
fonds
escroqués,
Bernard
KELLER
CEO
de
Julius
&
Baer
impliquée
dans
le
blanchiment
et
Renate
SCHWOB ex Office Fédéral de la Justice et Credit Suisse (BPS)
CH-035.3.000.060-3...
Avec
ces
nominations,
le
Conseil
Fédéral
s'assure
que
le
secret
sur
l'escroquerie
et
le
blanchiment
des
royalties
FERRAYÉ,
organisé
dès
le
départ
en
1992
par
ERNST
&
YOUNG
et
le
Président
du
CREDIT
SUISSE Rainer E. GUT, sera bien gardé.
C'est
la
preuve
que
le
Gouvernement
Fédéral
Suisse
est
complètement corrompu !
Sachons
encore
que
Mark
BRANSON
ex
Coopers
&
Lybrand,
ex
Credit
Suisse,
ex
SBC
Warburg,
ex
CEO
UBS
est
maintenant
le
CEO
de
la
FINMA.
Ceci
démontre
que
la
FINMA
n'est
pas
un
organe
suisse
du
contrôle
bancaire,
mais
une
organisation
du
crime
en
bande
mise
en
place
par
l'Etat
Fédéral
pour
avoir
tous
les
éléments
en
primeur,
qui
garantiront
que
les
membres
du
crime
organisé
dans
lequel
les
politiciens somt complices, ne seront jamais inquiétés.
Cette
organisation
du
crime,
au
sein
même
de
l'Etat
Suisse,
va
conduire la Suisse à un désastre économique sans précédent.
C'est
en
bloc
que
la
Direction
et
le
CA
de
la
FINMA
mais
aussi
le
Conseil
Fédéral,
doivent
être
virés
et
poursuivis
pour
crime
organisé
en bande !
*****************
Vous
l’aurez
compris,
vous
ne
pouvez
pas
faire
confiance
aux
membres
du
Gouvernement
suisse,
dont
la
plupart
ont
été
impliqués
dans
l’escroquerie
et
le
blanchiment
qui
a
suivi.
J’ai
cité
plus
haut
Christophe
BLOCHER
(qui
a
quitté
le
Gouvernement),
mais
Johann
SCHNEIDER
AMMANN
était
aux
côtés
de
Christophe
BLOCHER
comme
Administrateur
d’UBS
(SBG
CH-020.3.923.521-9)
lors
de
l’escroquerie
et
il
est
aujourd’hui
Conseiller
Fédéral,
responsable
de
l’Economie.
Eveline
WIDMER-SCHLUMPF,
Conseillère
Fédérale
aux
Finances
actuellement,
était
Administratrice
de
la
Banque
Nationale
Suisse
qui
est
un
des
instruments du blanchiment…
Vous
constaterez
aussi
que
Philippe
HILDEBRAND
ressort
de
ce
fichier.
Il
était
Président
de
la
Banque
Nationale
Suisse
jusqu’au
9
janvier
2012
où
il
a
démissionné
en
fonction
de
rumeurs
de
présomption
de
délit
d’initié.
Il
a
été
alors
engagé
par
la
société
américaine
BlackRock
succursale
de
Londres.
Rappelons
que
Philippe
HILDEBRAND
avait
travaillé
pour
l’Union
Bancaire
Privée
(UBP)
à
Genève,
très
impliquée
dans le blanchiment des royalties.
Il
est
évident
que
les
Autorités
suisses
veillent
à
protéger
les
criminels
qui
ont
escroqué
les
royalties
et
le
blanchiment
qui
s’en
est
suivi
et
dont
elles
sont complices et que la FINMA est un organe essentiel pour couvrir cette
complicité.
Même
si
le
lien
avec
son
CEO
Mark
BRANSON
ne
ressort
pas
directement
du
fichier
joint,
vous
devez
savoir
que
son
parcours
professionnel
a
passé
par
Coopers
&
Lybrand,
Credit
Suisse,
SBC
Warburg et qu’avant d’être CEO de la FINMA, il était CEO d’UBS.
Quant
à
la
Présidente
de
la
FINMA,
Anne
HÉRITIER-LACHAT,
elle
a
été
inscrite
au
Registre
du
commerce
de
la
Fondation
de
Valorisation
des
Actifs
de
la
Banque
Cantonale
de
Genève,
une
procédure
de
blanchiment en milliards de francs.