Suisse et corruption
Worldcorruption.info
Daniel BRODT
Fils de pasteur, il est le
septième d'une famille de
onze enfants de
condition modeste.
Contre la volonté de son
père, il effectue un
apprentissage
d'agriculteur et obtient
son diplôme à l'école
d'agriculture de
Wülflingen. Il obtient
ensuite sa maturité et
étudie le droit à
l'Université de Zurich,
avec un passage à
Montpellier et à Paris, il
obtient un DEA en droit
puis étudie à la faculté
de droit de l'Université
de Zurich, en même
temps que l’ex
Conseiller Fédéral
socialiste Moritz
LEUENBERGER
Christoph BLOCHER
obtient son doctorat en
1971. Il est marié à l'ex
institutrice du primaire
Silvia BLOCHER née
KAISER. Ils ont trois
filles et un fils.
Christoph BLOCHER
vit à Herrliberg ZH
sur la “Rive dorée” (en
allemand Goldküste),
quartiers résidentiels
très prisés du bord du lac
de Zurich. Il loue aussi à
vie le château fortifié de
RHÄZÜNS, propriété du
groupe EMS-Chemie,
dans les Grisons.
L'entreprise est dirigée
par sa fille Magdalena
MARTULLO BLOCHER.
Extrait Wikipedia
Christoph BLOCHER
Carrière dans le privé
En
1983,
Werner
OSWALD,
le
patron
de
l'entreprise
Chemie
Holding
Ems
AG
meurt.
L’offre
la
plus
élevée
pour
le
rachat
de
la
petite
entreprise
zurichoise
est
parvenue
de
General
Electric
pour
un
montant
de
CHF
20
mio.
La
reprise
des
brevets
par
ce
rachat
était
la
première
motivation
du
repreneur
qui
allait
supprimer
plus de 800 emplois sur 1’100.
Devant
cette
menace,
BLOCHER
—
alors
employé
sans
le
sou
—
s’est
alligné
sur
cette
offre
et
a
obtenu
les
crédits
nécessaires
auprès
de
la
SBG/UBS
grâce
à
l’appui
de
son
ami,
le
banquier
Alfred
SCHÄFER
Lieutenant-Colonel
et
Président
de
SBG/UBS
de
1964
à
1976.
Il
ne
s’agit
pas
de
la
SBS
comme
le
mentionne
le
documentaire
“
L’Expérience BLOCHER
”
.
Selon
la
page
“History”
de
E
MS
-Chemie
on
constate
que
certaines
des
étapes
du
développement
des
sociétés
d
’
E
MS
ont
été
anticipées
de
quelque
10
ans
par
rapport à la réalité possible des faits…
1981
-
Selon
l’historique
d’
E
MS
,
le
nom
de
Chemie
Holding
Ems
AG
a
été
renommé en 1981 en EMS-Chermie Holding AG.
Dans
la
réalité,
on
doit
constater
que
ce
changement
serait
plutôt
intervenu
en
1991
s
eulement, soit 10 ans plus tard :
En
outre,
l’ancienne
société
portait
le
N°
RC
CH-350.3.000.778-
3,
alors
qu’après
le
changement
de
nom
en
E
MS
-Chermie
Holding
AG
celle-ci
a
porté
le
N°
RC
CH-
350.3.000.778-
7
,
sans
qu’aucune
raison
du
changement
ne
soit
mentionnée
dans
le
journal.
A
noter
aussi
que
toutes
les
écritures
enregistrées
sous
l’ancien
numéro
ne sont plus accessibles.
On
remarque
également
pour
cette
société,
que
le
capital
action
en
1991,
se
montait
à
-.
Lors
de
la
vente
de
ses
part
à
Christoph
BLOCHER
en
mai
1983
pour
le
prix
de
CHF
20
mio,
la
famille
de
Werner
OSWALD
ne
détenait
que
10
%
du
capital,
mais
contrôlait
30
%
des
droits
de
vote.
En
1983,
la
valeur
boursière
totale
d’
E
MS
-Chermie
se
situait
entre
70
et
125
Mio
de
francs
selon
un
article
du
Tages
Anzeiger.
De
la
même
source,
il
est
précisé
que
des
experts
avaient
estimé
la
valeur
réelle
de
la
société
à
CHF
80
mio.
Rappelons
que
la
société
avait
été
vendue
par
la
famille
OSWALD
alors
qu’elle
était
en
défaut
de
paiement
suite
à
des
impôts
fonciers
imprévus.
La
famille
n’était
plus
en
mesure
de
financer le dividende de la société.
La
reprise
de
l’usine
par
Christoph
BLOCHER
a
cependant
été
un
succès
puisque
3
ans
plus
tard,
l’article
du
Tages
Anzeiger
mentionne
qu’il
avait
remboursé la totalité du prêt (de
CHF 20 mio).
BernLeaks
MARCHIONNE Sergio
U
DC (Union Démocratique du Centre)
C’est
sous
l’i
m
puls
ion
de
Christoph
BLOCHER
que
l’
UDC
s’est
renforcée
au
début
des
années
1990,
pour
s’affirmer
comme
force
réactive
de
la
politique
Suisse
.
Sa
victoire
en
1992
dans
le
référendum
contre
l'adhésion
de
la
Suisse
à
l'Esp
ace
économique
européen,
au
taux
de
participation
exceptionnellement
élevé,
a
marqué
la
politique
suisse.
Il
faut
préciser
que
l’UDC
n’a
jamais
publié
les
sources
du
financement
de
ses
campagnes de progagande souvent mensongère.
Christoph
BLOCHER
a
su
manipuler
l’Opinion
publique
suisse
et
tirer
profit
de
la
sensibilité
collective
pas
toujours
saine
pour
accrocher
son
électorat.
Il
a
su
utiliser
cette
masse
populaire
et
lui
fournir
ce
qu’elle
avait
envie
d’entendre,
faire
passer
sans
le
dire,
toutes
les
actions
politiques
en
faveur
du
capitalisme
égoïste
et
outrancier qui allait profiter à ses propres intérêts et à ceux de ses “Frères” capitalistes.
C’est
grâce
à
cette
politique
populiste
que
les
Citoyens
les
plus
indigents
et
ceux
de
la
classe
moyenne
ont
suivi
les
mots
d’ordre
du
Parti
UDC
pour
faire
passer
une
Législation
qui
était
mise
en
place
contre
leurs
propres intérêts et qui allaient profiter aux seules grandes fortunes du Pays.
Stéphane
BRON
en
fait
une
synthèse
explicite
dans
le
documentaire
“
l’expé
rience
B
LOCHER
”
en
ces
termes
:
“Vous
transformez
le
parti
suisse
du
Peuple
en
un
mouvement
de
masse
paysanne
et
populaire.
Peut-être
parce
que
vous
radicalisez
vos
positions
sur
l’asile
et
les
étrangers.
D’une
main
vous
nourrissez
la
peur,
de
l’autre
vous
récupérez
les
bénéfices
politiques.
En
désignant
un
coupable,
les
étrangers,
vous
ramassez
la
mise.
En
accusant
les
élites
de
complicité,
vous
la
doublez...
En
faisant
de
l’immigration
un
thème
central
de
votre
politique,
vous
offrez
un
exutoire
aux
colères
populaires.
Un
pied
chez
les
actionnaires,
un
autre
chez
les
paysans,
c’est
tellement
vous.
Vous
transformez
le
parti
à
votre
image,
le
corps
de
paysan
et
l’esprit du capitalisme. La formule fait merveille, vous volez de victoire en victoire”.
En
2003,
Christoph
BLOCHER
a
été
élu
Conseiller
Fédéral
et
est
devenu
Ministre
suisse
de
la
Justice.
Il
avait
ainsi
le
contrôle
pour
s’assurer
qu’aucune
révélation
sur
l’escroquerie
des
royalties
FERRAYÉ
n’aboutirait
en
Justice.
La
séparation
des
Pouvoirs
n’existe
pas
!
Il
faut
se
souvenir
que
le
Procureur
général
Valentin
Roschacher
(2000-2006)
entré
en
conflit
avec
le
Conseiller
Fédéral
Christoph
Blocher
alors chef de Justice et Police et avait dû quitter ses fonctions.
Si
les
membres
de
l’aile
conservatrice
aussi
appelée
«
aile
paysanne
»
de
l’UDC
s’intègre
dans
le
paysage
politique
suisse,
la
présence
de
l’aile
souverainiste,
aussi
appelée
«
aile
zurichoise
»
—
son
leader
Christoph
BLOCHER
et
Ueli
MAURER
de
Zurich
en
font
partie
—
occupe
une
grande
partie
du
débat
politique
et
tend
à
supplanter
l'aile
modérée.
L'UDC
est
fréquemment
qualifiée
de
xénophobe
mais
aussi
de
«
droite
dure
»
ou
parfois
de
«
nationaliste
»
en
Suisse
ainsi
que
par
une
partie
de
la
classe
politique
européenne.
(extrait
wikipedia)
Christoph BLOCHER - La fin d’un mythe ?
Dans
l’un
de
ses
discours
du
1er
août
2011
au
Saint-Got
hard,
Christoph
BLOCHER
s’est
appliqué
à
relever
l’importance
de
la
signification
de
s
mythes
pour
les
grands
événements
de
l’histoire.
Combien
il
est
important
de
comprendre
leur
signification
au
lieu
de
les
ridiculiser.
Comprendre
que
la
vraie
question
n’est
pas
de
savoir
si
ça
c’est
vraiment
passé
ou
non.
Comprendre
que
la
perle
de
tous
les
contes
réside
dans
leur
sens
!
Que
“La
vérité
de
l’histoire des Peuples y réside inlassablement”...
Selon
le
Tribun
zurichois,
il
est
difficile
de
faire
de
la
politique
quand
on
a
beaucoup
de
secrets...
Pourtant,
il
ne
peut
pas
ignorer
que
les
secrets
finissent
t
oujours
par
être
mis
en
lumière.
Son
père
lui
avait
appris
que
comme
les
chutes
du
Rhin, la Parole de Dieu finit toujours par triompher.
Rappelons ainsi certains
- Tu ne déroberas point
des 10 commandements :
- Tu ne porteras point de faux témoignage
- Tu ne convoiteras pas
Christoph
BLOCHER
a
raconté
que
chaque
nuit
à
l’époque
(laquelle
?
1992-1997
?),
il
faisait
le
même
rêve.
Une
montagne
s’effondre
et
il
est
le
seul
à
essayer
de
la
retenir.
Traduit
:
La
Suisse
s’effondre
et
il
est
le
seul
à
essayer
de
la
retenir.
Dans
son
cauchemar,
la
boue
et
les
rochers
finissent
par
le
submerger.
Chaque
nuit il
se rév
eille en sueur.
J’y
vois
personnellement
une
toute
autre
signification
e
t
un
avertissement
des
voies
divines
dans
ses
cauchemars.
Dans
une
interview
de
la
RTS,
Christoph
BLOCHER
reconna
ît
qu’il
a
dû
mentir
dans
sa
vie,
même
s’il
ne
veux
pas
admettre
que
le
mensonge est une seconde peau des politiciens...
Il
est
évident
qu’à
notre
époque
actuelle,
on
le
verra
plus
loin,
Christoph
BLOCHER
a
tiré
un
traît
sur
ses
scrupules
et
qu’il
n’a
plus
de
compte
à
rendre
à
personne.
Il
a
pris
la
place
de
Dieu
!
Mais
telle
n’était
pas
le
cas
dans
les
années
1992
et
suivantes,
quand
il
était
alors
Administrateur
de
SBG/UBS
et
que
la
banque
escroquait
des
centaines
de
milliards
de
dollars
(taux
de
convertion
à
CHF
1.60
à
l’époq
ue).
Aussi,
pour
ma
part,
Christoph
BLOCHER
avait
encore
à
ce
moment-là
des
restes
de
conscience
e
t
une
petite
voie
lui
dictait
quel
allait
être
son
avenir
s’il
persistait
dans
l’erreur.
Il
n’était
pas
question
de
l’effondrement
de
la
Suisse...
Les
milliards
à
disposition
ont
permis
à
Christoph
BLOCHER
de
financer
l’UDC
et
la
masse
populaire
qui
l’a
suivi,
l’a
laissé
penser
qu’il
était
dès
lors
invincible,
au-dessus
des
Lois
et
même
au-dessus
de
Dieu.
Quelle
arrogance
et
quelle
suffisance ! Un syndrome de toute puissance qui relève de
la folie
à l’état pur !
Adulé
par
la
masse
populaire
et
par
la
Presse
d’une
part
et
par
l’élite
financière
d’autre
part,
Christoph
BLOCHER
a
perdu
tout
sens
avec
la
réalité
et
comme
le
pouvoir
matériel
lui
convient
mieux
que
le
pouvoir
spitituel
il
a
finalement
laissé
sa
place
à
Dieu
pour
prendre
celle
d’un
Prince...
même
si
pour
ma
part, il est plus proche du prince des ténèbres...
ALGROUP (ALUSUISSE) - PECHINEY - ALCAN
Si
Christoph
BLOCHER,
Martin
EBNER
et
Sergio
MARCHIONNE
s’en
sont
mis
plein
les
poches
lo
rs
de
cette opération, alors d’où venait l’argent de leurs investissements... ?
Sergio
MARCHIONNE,
à
la
tête
de
ALGROUP
depuis
199
2,
a
été
l’un
des
acteurs
principaux
de
la
prise
de
contrôle
de
ALUSUISSE
par
ALCAN.
Nous
verrons
plus
en
détail
dans
sa
rubriq
ue,
son
importance dans le blanchiment des royalties FERRAYÉ.
Restons
pour
l’instant
sur
le
financement
des
prises
de
participation
de
Christoph
BLOCHER.
Entre
1995
et
1997,
le
Tribun
a
investi
pour
la
construction
de
117
usines
dans
le
secteur
de
la
chimie
en
Chine.
Si
l’on
compte
un
coût
moyen
de
USD
150
Mio
par
usine
à
l’époque,
le
coût
total
aurait
été
de
USD
17.5
Mrds...
soit
CHF
24.5
Mrds
puisque
le
taux
de
change
était
de
CHF 1.40 en moyenne pour USD 1.00 en 1997...
Les
chiffres
cités
sous
l’organigramme
ci-dessus,
ont
été
tirés
d’un
article
de
Bourse
Info
de
1999
où
l’on
constate
qu’en
sus
des
CHF
24.5
Mrds
investis
en
Chine,
Christoph
BLOCHER
a
réussi
à
générer
encore
CHF 846 Mio
de francs
sur les bénéfices d’EMS Chemie pour
sa participation dans ALUSUISSE.
On
a
vu
plus
haut
que
Christoph
BLOCHER
avait
pu
rembourser
l’emprunt
de
CHF
20
Mio
pour
le
rachat
de
ses
parts
dans
E
MS
-Chemie
,
en
3
ans
(1983-1986).
Mais
de
1987
à
1999,
E
MS
-Chemie
aurait
permis
de
générer
des
bénéfices
à
hauteur
de
CHF
25,3
Mrds
(en
13
ans)
avec
un
chiffre
d’affaires
proche
d
u
milliard par an ? Des bénéfices deux fois supérieurs au chiffre d’affaires ???
L
es
révélations
des
PANAMA-PAPERS
font
apparaître
u
n
individu
resté
très
discret
et
inconnu
de
nous
jusqu’à
a
ujourd’hui,
mais
dont
le
palmarès
se
retrouve
très
intéressant...
Christoph
ZOLLINGER
(*
partenaire
de
Mossfon
depuis
2004
selon
video
Youtube
8e
minute
),
Directeur
et
Administrateur
de
MOSSACK-FONSECA
-
au
service
de
la
société
depuis
1997
et
p
r
opriétaire
de
10
%
des
actions
de
Mossack
Fonseka
&
Cie
SA
-
était
enregistré
au
RC
de
SBG/UBS
du
15
avril
1994
au
14
mars
1996,
période
se
situant
après
l’escroquerie
des
royalties
FERRAYÉ
et
avant
le
séquestre
des
fonds
suite
à
la
plainte
du
29
janvier
1996.
Christoph
BLOCHER
(ex
Ministre
suisse
de
la
Justice)
avait
été
inscrit
au
même
RC
de
1991
au
1er
septembre
1993,
soit
pendant
l’escroquerie
et
le
transfert
des
fonds
sur
des
sociétés
en
partie
Offshore.
Johann
SCHNEIDER-AMMANN,
Président
de
la
Confédération
suisse
en
2016
était
quant
à
lui
inscrit
du
1er
septembre
1993
jusqu’à
la
dissolution
suite
à
la
fusion
SBV/SBS
dans
UBS
SA
.
Rappelons
encore
une
fois
que
SBG/UBS
(CH-020.3.923.521-9)
–
dont
Christoph
BLOCHER
et
Johann
SCHNEIDER-AMMANN
(Président
de
la
Confédération
Helvétique
en
2016)
étaient
Administrateurs
–
a
participé
à
l’escroquerie.
Et
que
SBG/UBS
a
été
radiée
le
29
mars
2006,
soit
8
ans
après
la
fusion.
SCHNEIDER-AMMANN
est
resté
Administrateur
jusqu’à
la
fin...
Quelles
ont
alors
été
les
activités
de
cette banque illégale, durant ces 8 ans ?
Cette
situation
nous
démontre,
quelle
qu’ait
été
la
fonction
de
Christoph
ZOLLINGER
chez
SBG/UBS
,
qu’il
était
proche
du
Conseil
d’Administration
dans
lequel
deux
Conseillers
Fédéraux
étaient
présents
lors
de
l’escroquerie
de
centaines
de
milliards.
S’il
a
ensuite
été
engagé
chez
Mossfon
et
en
est
même
devenu
Partenaire
en
2004,
c’est
qu’il
devait
être
sur
place
au
moment
de
la
levée
des
séquestres
et
des
transferts
Offshore à partir de janvier 1996
.
Un
individu
sans
scrupules
:
Sachons
que
c’est
sur
intervention
de
Christoph
ZOLLINGER
que
le
Cabinet
MOSSACK-FONSECA
a
poursuivi
ses
relations
avec
Rami
MAKHLOUF
,
financier
du
Dictateur
Syrien
Bachar
EL-ASSAD.
L’une
des
sociétés
de
Rami
MAKHLOUF,
Drex
Technologies
SA
aux
Iles
Vierges
Britaniques
(BVI)
avait des liens très étroits avec
HSBC
Private Bank à Genève.
*
Source : “Le secret le mieux gardé du monde” Editions Seuil”
Toute cette situation nous démontre trois points importants :
•
Christoph
ZOLLINGER,
Partenaire
de
MOSSACK-FONSECA
était
au
service
de
SBG/UBS
au
moment
de l’escroquerie des royalties par la banque précitée.
•
A
la
même
période,
l’ex
Ministre
Suisse
de
la
Justice
Christoph
BLOCHER
et
le
Président
de
la
Confédération
en
2016,
Johann
SCHNEIDER-AMMANN
étaient
tous
deux
Administrateurs
de
la
banque précitée.
•
Selon
la
video
ci-dessus,
MOSSACK-FONSECA
était
antérieurement
domiciliée
dans
un
immeuble
de
UBS
•
MOSSACK-Fonseca
sont
certifiés
par
SGS
(Sergio
MARCHIONNE)
qui
a
été
très
actif
aux
côtés
de
Christoph BLOCHER dans la prise de contrôle de sociétés (voir organigramme plus haut).
•
Christoph
ZOLLINGER
était
en
contact
avec
Rami
MAKHLOUF
,
financier
du
Dictateur
BACHAR
ELASSAD qui est sur une liste rouge aux Etats-Unis et en Europe.
•
Au
moins
une
des
sociétés
de
Rami
MAKHLOUF
Drex
Technologies
SA
était
en
liens
étroits
avec
HSBC
Private Bank à Genève, selon les révélations “
SwissLeaks
”.
•
Se posent alors deux questions légitimes d’intérêt international :
o
UBS
et
ses
Administrateurs
et
autres
dirigeants
ou
quelque
soient
leurs
partenariats,
ont-ils
utilisé
les
centaines
de
milliards
des
royalties
escroquées
sur
les
brevets
FERRAYÉ
pour
déstabiliser
les
régimes
d’Afrique
du
Nord
et
lancer
des
guerres
qui,
ce
n’est
plus
un
secret
pour
personne,
rapportent beaucoup d’argent à ceux qui les fomentent ?
o
Des Ministres du Gouvernement Suisse ont-ils pu être actifs dans ces crimes contre l’Humanité ?
Joseph
FERRAYÉ
s’est
fait
escroquer
quelque
USD
3’000.-
milliards
sur
les
brevets
d’extinction
et
de
blocage
des
puits
au
KOWEIT
en
1991
et
sur
la
vente
de
ses
systèmes
en
1992.
Je
suis
aujourd’hui
bénéficiaire
de
la
moitié
des
royalties
à
recouvrer,
selon
mandat
du
24
septembre
2004.
La
SBG/UBS
dont
Christoph
BLOCHER
et
Johann
SCHNEIDER-AMMANN
étaient
Administrateurs
à
ce
moment-là,
a
joué
un
rôle
majeur
dans
cette
escroquerie
et
les
faits
nous
démontrent
aujourd’hui
que
certains
des
acteurs
ne
peuvent
tout
simplement
pas
avoir
pu
construire
leur
fortune
et
celle
de
leurs
entreprises,
par
le
produit de leur travail.
La
situation
nous
démontre
aussi
que
si
toutes
nos
démarches
pour
faire
valoir
nos
Droits
sur
le
plan
légal,
contre
l’escroquerie
dont
nous
avons
été
Victimes,
ont
été
rejetées,
c’est
parce
que
certains
des
acteurs
se
sont
fait
élire
au
Gouvernement
fédéral,
ont
même
été
Ministre
de
la
Justice
et
s’activent
directement
ou
par
leurs
liens
d’influence,
pour
empêcher
l’aboutissement
des
procédures.
Que
d’autre
part,
des
magistrats
impliqués
dans
l’escroquerie
au
moment
des
faits,
ont
été
mis
à
des
postes
clés
pour
verrouiller
le
système.
Qu’enfin,
les
membres
du
complot
ont
corrompu
à
large
échelle
les
magistrats
et
les
politiciens
et
bien
d’autres,
pour
assurer
leur
impunité
!
Le
secret
Maçonnique
et
les
règles
de
soumission
à
la
“constitution”
Franc-Maçonne, ont fait le reste !!!
Complicité des Parlementaires et du Gouvernement
Depuis
2004,
les
Autorités
fédérales
(Membres
du
Parlement
et
du
Gouvernement)
ont
été
informés
de
nos
démarches
entreprises
légalement
pour
faire
valoir
nos
Droits
dans
une
escroquerie
dont
la
responsabilité
civile va porter sur des dizaines de milliards de francs suisses.
Lorsque
ce
film
a
été
diffusé
aux
membres
des
Chambres
fédérales,
aucun
Parlementaire,
qu’il
sot
politiquement
du
centre,
de
l’aile
gauche
ou
de
celle
de
droite
des
partis
politiques,
n’a
eu
publiquement
la
moindre
réflexion
sur
les
révélations
dont
ils
venaient
de
prendre
connaissance
et
qui
son
t
démontrées
plus
haut.
Devons-nous
encore
nous
poser
la
question
de
savoir
pourquoi
?
Ou
suffit-il
de
prendre
conscience
que
si
nos
Partis
politiques
acceptent
le
démantèlement
des
entreprises,
de
vendre
notre
Etat
fédéral
à
d’autres
Nations,
ou
d’organiser
l’immigration
,
etc.
ils
ne
font
que
servir
ceux
auxquels
ils
se
sont
soumis...
Les
méthodes
d’appâts
nous
ont
été
démontrées
avec
le
vice-Président
du
PDC
suisse
Yannick
BUTTET
.
A
partir
de
là,
nos
Politiciens
n’ont
plus
aucune
indépendance et ils doivent
obéir !
L’UDC
s’est
construite
depuis
1992,
sur
une
base
de
corruption
et
ceci
nous
démontre
qu’il
est
maintenant
indispensabl
e que le Peuple souverain exige que le
financement des Partis soit rendu public.
En
cautionnant
la
propagande
mensongère,
DOCUMENTAIRE
RÉVISIONNISTE
à
la
gloire
de
Christoph
BLOCHER,
le
Parlement
et
le
Gouvernement
Suisse
ont
voulu
laisser
croire
au
bon
Peuple,
dont
30
%
de
celui-ci
est
représenté
par
l’UDC,
que
notre
Pays
va
bien...
Que
même
si
des
divergences
sont
remarquées,
le
Pays
peut
compter
sur
l’aile
conservatrice
appelée
«
aile
paysanne
»,
pour
garder
ses
valeurs.
Manifestement
le
Parlement
a
pris
au
sérieux
les
menaces
de
Christophe
BLOCHER
lors
de
sa
“vestiture”
(éviction)
du
Gouvernement
le
12.12.2007.
Chaque
Parlementaire
a
compris
ce
jour-
là
que
le
Tribun
zürichois
peut
mettre
en
lumière
le
rôle
de
chacun
dans
le blanchiment des royalties...
Mais
il
ne
faut
pas
perdre
de
vue
que
la
dangerosité
de
l’UDC
vient
de
son
aile
souverainiste,
«
l’aile
zurichoise
»,
les
purs
et
durs
du
capitalisme
libéral,
ceux
qui
pratiquent
par
métier
l’escroquerie
et
le
blanchiment
en
toute
impunité...
ALUSUISSE,
SWISSAIR,
WINTERTHUR,
CIBA-GEIGY,
SWISSMETAL,
etc.
toutes des sociétés qui ont disparu au nom du blanchiment des royalties FERRAYÉ.
Alors
pour
verrouiller
leur
cautionnement
à
ce
DOCUMENTAIRE
RÉVISIONNISTE
,
nos
Autorités
fédérales,
mais
aussi
nos
services
culturels
et
Médias
subventionnés
de
l’information
(RTS,
etc.)
qui
ont
contribué
à
la
réalisation
et
au
financement
de
ce
DOCUMENTAIRE
RÉVISIONNISTE,
se
sont
assurés
que
les
Citoyens
lambdas
n’en
prendraient
pas
connaissance...
Ils
ont
ainsi
interdit
sa
diffusion,
même
partielle,
dans
les
écoles,
transports publics, hôpitaux, prisons, etc.
La
Constitution
Fédérale
condamne
pénalement
le
RÉVISIONNISME
sur
l’existence
des
camps
durant
la
dernière
guerre.
Et
dans
le
cas
présent,
ils
pensent
pouvoir
interdire
à
nos
Concitoyens
de
prendre
connaissance
d’un
document
capital
qui
démontre
que
les
30
%
du
Peuple
qui
font
confiance
à
l’UDC,
sont
trompés
?
que
tout
un
Peuple
voit
les
fleurons
de
son
industrie
disparaître
parce
que
des
voyous
de
capitalistes
ultra
libérals
ont
pris
le
contrôle
des
Institutions
politiques
et
judiciaires
pour
pouvoir
agir en toute impunité ?
Alors
Mesdames
ou
Messieurs
les
Détenteurs
du
droit
de
diffusion,
déposez
vos
plaintes
et
vos
demandes
en
réserves
civiles
!
J’attends
avec
impatience
que
le
débat
public
soit
ouvert
!
Ce
sera
peut-être
le
moyen
de
comprendre
comment
on
peut
détourner
des
brevets
qui
valent
des
centaines
de
milliards
de
francs
et
exiger
une
responsabilité
civile
pour
un
documentaire
RÉVISIONISTE
sur
le
sujet...
Ou préférerez-vous invoquer la censure du Site ? c’est dans vos habitudes !
www.censure.info
Il en va du DROIT du Public à connaître une information CAPITALE pour
l’avenir du Pays
!
Oserez-vous remettre en question ce Droit fondamental inscrit dans la Constitution Fédérale ?
Je vous poursuivrai alors pénalement pour trahison, tant l’enjeu pour le Pays est grand !
Conclusion
Christoph
BLOCHER
et
d’autres
vont
désormais
nager
dans
les
problèmes,
parce
que
nous
reprendrons
le
contrôle
de
tout
ce
qui
a
été
financé
par
les
royalties
escroquées.
Je
ne
serai
dès
lors
pas
surpris
que
les
cauchemars
dans
lesquels
Christo
ph
BLOCHER
est
englouti sous les rochers et la boue,
reprennent...
Mais
contrairement
au
Réalisateur
du
DOCUMENTAIRE
RÉVISIONNISTE,
je
ne
laisserai
pas
Christophe
BLOCHER,
pas
plus
que
les
membres
de
l’Etat
Fédéral
à
leurs
ombres
et
je
vais
tout
mettre
en
oeuvre
pour
que
la
lumière
soit
faite sur leurs secrets quels qu’ils soient.
1995-1997
(Historique)
E
MS
-TOGO
étend
sa
présence
locale
en
Asie
du
Sud
Est
(Singapour,
Thaïlande,
Inde)
et
en
Chine
(Shanghai,
Changchun),
afin
de
fournir
l'industrie
autom
obile
en
matériaux
produits
localement.
Le
documentaire
“
L’Expérience
BLOCHER
”
comparé
à
l’Historique
sur
le
Site
de
la
société
E
MS
-Chemie,
semble
ne
pas
refléter
les
réelles
étapes
des
investissements
du
tribun
zurichois
en
Asie.
Le
commentaire
précise
:
“Nous
somme
le
1er
septembre
1983
[...]
vous
n’avez
pas
encore
beaucoup
d’argent,
beaucoup
de
pouvoir,
mais
de
grandes
perspectives
s’offrent
à
vous.
Le
mur
de
Berlin
est
encore
debout
(il
est
tombé
en
1989),
mais
vous
avez
l’intuition
que
le
coeur
économique
du
monde
va
basculer.
Vous
pariez
alors
sur
l’Asie.
[...]
Vous faites construire
117
usines en Chine...
Pour
mémoire,
jusqu’en
1990,
la
Chine
était
hermétique
aux
investisseurs
étrangers.
L’ouverture
des
capitaux
extérieurs
a
réellement
débuté
à
partir
de
1992
sous
l’appellation
“d’économie
de
marché
socialiste”.
Or,
c’est
à
partir
de
1991
pour
les
royalties
du
KOWEIT
et
de
1992
pour
la
la
vente
des
brevets,
que
SBG/UBS
CH-020.3.923.521-9
–
dont
Christoph
BLOCHER
et
Johann
SCHNEIDER-AMMANN
(Président
de
la
Confédération
Helvétique
en
2016)
étaient
Administrateurs
de
la
banque
–
a
participé
à
l’escroquerie.
A
noter
que
SBG/UBS
a
été
radiée
le
29
mars
2006,
soit
8
ans
après
la
fusion
et
que
SCHNEIDER-
AMMANN
est
resté
Administrateur
jusqu’à
la
fin...
Quelles
ont
été
les
activités
de
cette
banque
illégale,
durant
ces
8
ans
?
CREDIT
SUISSE
et
la
plupart
des
banquiers
privés
ont
contribué
à
cette
escroquerie
des
capitaux qui devaient revenir à Joseph FERRAYÉ.
Toujours
à
cette
époque,
Christoph
BLOCHER
siégeait
dans
la
société
CH-020.3.929.046-1
Wunderly
Immobilien-
und
Verwaltungs
AG
à
Meilen.
Plus
tard
Mark
BRUPPACHER
,
avocat
à
Zürich
qui
avait
la
signature
individuelle
pour
tous
les
virements
relatifs
aux
transferts
des
fonds
escroqués,
est
entré
comme
administrateur dans cette même société...
Autre
signe
de
manipulation
des
faits
:
Dans
son
historique
,
E
MS
-Chemie
fait
mention
de
reprise
de
TOGO
Group
basé
à
Romanshorn
TG
en
1985.
Or,
ici
encore
les
extraits
du
Registre
du
Commerce
situent
cette
reprise
12
ans
plus
tard
en
1997.
Et
là
encore,
1997
correspond
au
début
du
blanchiment
des
royalties,
après
que
le
“procureur”
général
genevois
Bernard
BERTOSSA,
ait
eu
levé
les
séquestres
sur
les
fonds,
en
faveur
de
ses
complices
du
crime
organisé
en
bande.
Manifestement,
la
date
de
changement
des status confirme là aussi la
supercherie...
En fonction de la chronologie des faits cités ci-dessus, plusieurs constatations doivent être faites :
•
Après
le
rachat
de
Chemie
Holding
Ems
AG
en
mai
1983,
il
est
apparu
qu’en
3
ans
Christoph
BLOCHER a réussi à
rembourser les
CHF 20 mio
du crédit contracté (source : Tages Anzeiger).
•
Selon
le
commentaire
du
documentaire,
Christoph
BLOCHER
investit
en
Asie
avant
1989,
puisque
c’est
le
9
novembre
1989
que
le
mur
de
Berlin
est
tombé.
C’est
assurément
après
1986
que
le
document
situe
ces
investissements,
puisque
jusque-là
les
bénéfices
de
la
Holding
ont
servi
à
rembourser
le
prêt.
Alors
se
pose
la
réselle
question...
Oû
Christoph
BLOCHER
aurait-t-il
trouvé
les
dizaines
de
milliards
nécessaires
pour
construire
ses
117
usines
en
Chine
à
cette
époque-là,
sans
compter
les
autres
investissement considérables mentionnées dans
l’historique
d’
E
MS
-Chemie ?
•
Une
seule
hypothèse
répond
à
cette
question.
Les
investissements
n’ont
pas
été
réalisés
selon
le
planning
décrit
dans
le
documentaire,
mais
probablement
après
1992
ou
1995
quand
le
blanchiment
des
centaines
de
milliards
des
royalties
escroquées
à
Joseph
FERRAYÉ
par
entre-
autres
SBG/UBS
dont BLOCHER avait été Administrateur, a débuté.
•
Se
pose
aussi
la
question
de
savoir
pourquoi
un
cinéaste
réputé,
financé
par
des
sponsors
dont
la
plupart sont subventionnés par l’Etat, s’est prêté à la manipulation de faits aussi graves ?
Cette
fois-ci
encore
,
une
seule
hypothèse
répond
à
la
question
!
Les
membres
du
Gouvernement
et
du
Parlement
Suisse,
l’Etat
fédéral
politique
et
judiciaire
sont
complices
et
devaient
blanchir
l’image
de
Christoph
BLOCHER
pour
sauver
la
politique
Suisse
corrompue
de
gauche
à
droite
depuis
l’escroquerie des royalties !
Dominique
DE
BUMAN,
Conseiller
National
PDC
n’avait
pas
manq
ué
de
parler
publiquement
de
la
politique
suisse
corrompue
“
Tout
est
pourri
chez
nous
”
et
qu’il
ferait
trembler
la
Suisse
fédérale
s’il
racontait
tout
ce
qu’il
savait.
Il
s’était
ensuite
excusé,
mais
depuis
lors
il
a
quand
même
été
viré
de
6
conseils
d’administration.
Daminique
DE
BUMAN
savait
de
quoi
il
parlait,
si
l’on
consulte
les liens d’influences
de son frère Jean-Luc DE BUMAN...
Depuis
15
ans,
nous
dénonçons
inlassablement
l’escroquerie
des
royalties.
Toutes
les
plaintes
déposées
sont
systématiquement
rejetées
et
on
comprend
mieux
pourquoi
lorsque
l’on
voit
que
les
Procureurs
du
Ministère
Public
de
la
Confédération
sont
liés
de
près
au
blanchimes
des
royalties.
La
dernière
plainte
pénale
et
le
mémoire
transmis
dans
le
cadre
du
dossier
GIROUD
Vins
SA
a
mis
en
évidence
l’implication
du
Procureur
général
Michael
LAUBER
qui
a
refusé
d’entrer
en
matière.
Le
T
ribunal
P
énal
F
édéral
a
fait
de
même
sur
recours
et
nous
avons
alors
pris
conscience
que
le
Président
de
la
Cour
des
plaintes
au
TPF,
Stephan
BLÄTTLER
,
est
un
ex
collaborateur
de
Ernst
&
Young
à
Zürich
-
qui
a
créé
la
Société
WILDROSE
c/o
Mossack
Fonseka
et
qu’il
est
en
poste
pour
garantir
l’impunité
de
ceux
qui
ont
escroqué
les
royalties.
(
Convention TILLIÉ
solde créditeur USD 5,263 milliards à titre d’exemple)...
Stephan
BLÄTTLER
a
été
élu
sous
la
bannière
UDC
en
2009,
alors
que
Christoph
BLOCHER
était
encore
vice-Président
de
l’UDC.
Ueli
MAURER
-
ex
Président
du
Parti
et
bras
droit
de
Christoph
BLOCHER
-
était déjà Conseille
r Fédéral UDC.
MARCHIONNE Sergio
EBNER Martin
Agrandir
Christoph
BLOCHER
a
été
inscrit
au
RC
de
SBG
CH020.3.923.521-9 le 8 août 1991.
C’est
en
juillet
1991
qu’étaient
escroquées
les
premières royalties FERRAYÉ...
(100
milliards
versés
par
le
KOWEIT,
avant
le
produit
de
la
vente
des
systèmes
qui
ont
généré près de 3’000 milliards de dollars !
The
revelations
of
the
PANAMA
PAPERS
show
an
individual
remained
very
discreet
and
unknown
to
us
until
today,
but
whose
chart
is
very
interesting
...
Christoph
ZOLLINGER
(*
Mossfon
partner
since
2004
according
Youtube
video
8th
minute
)
and
Director
of
Mossack-FONSECA
-
serving
the
company
since
1997
and
owns
10%
shares
of
Mossack
Fonseka
&
Cie
SA
-
was
registered
in
RC
SBG/USB
from
15
April
1994
to
14
March
1996,
period
falling
after
the
scam
of
the
FERRAYE
royalties and before the sequestration of funds following the complaint of 29 January 1996. (
Youtube excerpt
).
Christoph
BLOCHER
(former
Swiss
Minister
of
Justice)
had
been
registered
in
the
same
RC
from
1991
to
1
September
1st,
1993,
during
the
scam
and
transfer
funds
on
companies
partly
Offshore.
Johann
Schneider-Ammann,
President
of
the
Swiss
Confederation
in
2016
was
meanwhile
registered
from
September
1st,
1993
until
its
dissolution
following
the
merger
SBV
/
SBS
in
UBS
AG
.
Let
us
recall
once
again
that
SBG
/
UBS
(CH-020.3.923.521-9)
-
of
which
Christoph
BLOCHER
and
Johann
SCHNEIDER-AMMANN
(President
of
the
Swiss
Confederation
in
2016)
were
Administrators
-
participated
in
the
swindle.
And
that
SBG
/
UBS
was
delisted
on
March
29,
2006,
8
years
after
the
merger.
SCHNEIDER-AMMANN
remained
a Administrator until the end ... What then were the activities of this illegal bank, during these 8 years ?
this
shows
us,
whatever
the
function
of
Christoph
ZOLLINGER
at
SBG/USB
has
been,
he
was
close
to
the
Board
of
Directors
in
which
two
Federal
Councillors
were
present
during
the
scam
of
hundreds
billions.
If
he
was
then
engaged
in
Mossfon
and
even
became
partner
in
2004,
shows
that
he
had
to
be
on
site
at
the
time
of
the
lifting
of
sequestration
and
Offshore transfers from January 1996
.
An
unscrupulous
individual:
We
know
that
it
is
on
the
intervention
of
Christoph
ZOLLINGER
that
Mossack-FONSECA
continued
its
relations
with
Rami
Makhlouf,
Syrian
dictator
Bashar
EL-ASSAD.
One
of
the
companies
of
Rami
Makhlouf
,
Drex Technologies SA to the British Virgin Islands (BVI) had very close links with
HSBC
Private Bank in Geneva.
* Source: "The best kept secret in the world" Editions Seuil "
The whole situation shows us important points:
-
Christoph ZOLLINGER, Mossack-FONSECA partner, was employed by SBG/USB at the time of the scam of the
royalties by the aforementioned bank.
-
At the same time, the former Swiss Minister of Justice Christoph BLOCHER and the President of the Swiss
Confederation in 2016, Johann Schneider-Ammann were both Members of the board of the aforementioned bank.
-
According to the above video, Mossack-FONSECA was previously domiciled in a UBS building
-
Mossack-Fonseca is certified by SGS (Sergio MARCHIONNE) who was very active alongside Christoph BLOCHER in
corporate takeover (see above chart).
-
Christoph ZOLLINGER was in contact with Rami Makhlouf, financial Dictator of Bashar ELASSAD who is on a red list
in the US and Europe.
-
At least one of the companies of Rami Makhlouf, Drex Technologies SA, was in close relationship with HSBC
Private Bank in Geneva, according to "swiss leaks' revelations.
-
This raises two legitimate issues of international interest::
o
UBS and its Administrators, and other managers whatever their partnerships have could be, have used
the hundreds of billions of defrauded royalties to destabilize the North African regimes and
launching wars ? It is no longer a secret, that wars report a lot of money to those who instigate them.
o
Have been Ministers of the Swiss government active in these crimes against humanity ?
Die
Enthüllungen
der
Panama
Papers
stellten
ein
Individuum
ins
Rampenlicht,
das
bis
anhin
diskret
und
unbeachtet war; sein Werdegang erweist sich jedoch als äusserst interessant …
Christoph
Zollinger
(*
Partner
von
Mossfon
ab
2004
(
gemäss
Video
Youtube
8.
Minute
),
Direktor
und
Verwalter
von
MOSSACK-FONSECA
–
im
Dienste
der
Gesellschaft
seit
1997
und
Mitbesitzer
der
Aktien
von
Mossack-Fonseca
&
Cie
SA
zu
10
%
-
war
im
Handelsregister
der
SBG/UBS
vom
15.
April
1994
bis
zum
14.
März
1996
eingetragen,
also
während
der
Periode
nach
den
Betrügereien
der
Royalties
FERRAYE
und
vor
deren
Beschlagnahme
nach
der
Klage
vom
29.
Januar
1996
(
extract
Youtube
).
Christoph
BLOCHER
(ehemaliger
Schweizer
Justizminister)
war
im
selben
Handelsregister
von
1991
bis
zum
1.
September
1993
eingetragen,
das
heisst
während
der
Betrügereien
und
der
Transferierung
der
Vermögenswerte
u.a.
auf
Offshore-Firmen.
Johann
SCHNEIDER
AMMANN,
Bundespräsident
im
2016
war
ebenfalls
vom
1.
September
1993
bis
zur
Auflösung
in
Folge
der
Fusion
SBV/SBS
mit
UBS
SA
eingeschrieben.
Erinnern
wir
wieder,
dass
SBG
/
UBS
(CH-020.3.923.521-9)
-
in
welche
Christoph
BLOCHER
und
Johann
SCHNEIDER-AMMANN
(Bundespräsident
der
Schweizerischen
Eidgenossenschaft
im
Jahr
2016)
Administratoren
waren
-
war
in
den
Betrug
beteiligt.
Und
dass
SBG
/
UBS
war
am
29.
März
2006
abgemeldeten,
8
Jahre
nach
der
Fusion...
SCHNEIDER-AMMANN
blieb
Administrator
bis
zum
Ende
...
Was waren dann die Aktivitäten der illegalen Bank während dieser 8 Jahre ?
Diese
Situation
zeigt
uns,
welche
Rolle
Christoph
ZOLLINGER
bei
der
SBG/UBS
gespielt
hat,
dass
er
dem
Verwaltungsrat
nahegestanden
ist,
in
welchem
zwei
zukünftige
Schweizer
Bundesräte
während
des
Betrugsvorganges
von
Hunderten
Milliarden
einsassen.
Wenn
er
anschliessend
von
Mossfon
eingestellt
wurde
und
im
2004
gar
Teilhaber
geworden
ist,
so
deshalb,
weil
er
im
Moment
der
Aufhebung
der
Beschlagnahme dort vor Ort sein musste für die
Offshore-Transferierungen ab Januar 1996
.
Ein
skrupelloses
Individuum:
Wissenswert,
dass
auf
das
Eingreifen
von
Christoph
ZOLLINGER
hin
die
Kanzlei
MOSSACK-FONSECA
die
Geschäftsbeziehungen
mit
Rami
MAKHLOUF
,
dem
Financier
des
syrischen
Diktators
Baschar
EL-ASSAD
weiterführte.
Eine
der
Gesellschaften
von
Rami
MAKHLOUF,
Drex
Technologies
SA
auf
den
britischen
Jungferninseln
(BVI)
enge
Beziehungen
mit
der
HSBC
Private Bank in Genf
unterhielt.
*Quelle : «Le secret le mieux gardé du monde» Verlag Seuil
Die Gesamtsituation zeigt uns drei wichtige Punkte:
Christoph ZOLLINGER, Partner von MOSSACK-FONSECA war im Dienste SBG/USB im
Zeitpunkt der Betrügereien der Royalties durch die erwähnte Bank.
Während derselben Periode waren der ehemalige Schweizer Justizminister Christoph BLOCHER
und der Bundespräsident 2016 Johann SCHNEIDER AMMANN alle beide Verwaltungsräte der
erwähnten Bank.
Gemäss der unten aufgeführten Video war MOSSACK-FONSECA in einem Gebäude der UBS
untergebracht.
MOSSACK-FONSECA ist von der SGS (Sergio MARCHIONNE) zertifiziert, welche an der Seite
von Christoph Blocher sehr aktiv gewesen war bei der Übernahme der Firmen (siehe obiges
Organigramm).
Christoph ZOLLINGER war in Kontakt mit Rami MAKHLOUF, Financier des Diktators
BASCHAR EL ASSAD, der von den USA und Europa auf eine rote Liste gesetzt war.
Mindestens eine Gesellschaft von Rami MAKHLOUF, Drex Technologies SA war in engem
Geschäftskontakt mit HSBC Private Bank in Genf, gemäss den Enthüllungen von „SwissLeaks“.
Es stellen sich somit zwei berechtigte Fragen von internationalem Interesse:
o
UBS und seine Verwalter und Leiter, was auch immer deren Partnerschaften gewesen sein
mögen, haben sie die hunderte Millionen veruntreuter Royalties dazu benutzt, die Regime
Nordafrikas zu destabilisieren und Kriege auszulösen? Es ist für niemanden ein
Geheimnis, dass Konflikte für jene, die sie auslösen, einträglich sind.
o
Ist es denkbar, dass Minister der Schweizer Regierung aktiv geworden sind im
Zusammenhang mit Verbrechen gegen die Menschheit?