Jacques ROMANENS
Worldcorruption.info
Gerhard ULRICH fait la
lumière sur le régime de
l’oligarchie occulte de la
franc-maçonnerie et de ses
clubs de services (Rotary,
Lions Club, Kiwanis, etc.),
qui dirigent le système
judicaire actuel et les
pouvoirs politiques.
Le citoyen qui passe à la
moulinette de la machine
judiciaire bien huilée, ressent
instinctivement qu’il est
Victime d’un complot. Mais il
est incapable de le prouver,
car le système cultive
soigneusement la non
transparence. Si une telle
personne invoque l’aide des
politiciens, on se débarrasse
d’elle sous prétexte du dogme
de la séparation des pouvoirs.
Les dogmes ont toujours
servi à asservir les peuples.
L’auteur de ces révélations
observe depuis 16 ans le
dysfonctionnement judiciaire,
archivant systématiquement
les résultats dans sa base de
données, devenue
volumineuse. A l’opposé
d’autres critiques du régime,
il s’est montré jusqu’à
présent prudent concernant
ses attaques au sujet de la
Franc-maçonnerie. Il était
conscient que ses
connaissances de ce qui se
passe dans nos prétoires,
étaient assez modestes.
Cependant, la persévérance
et un travail continu lui
permettent aujourd’hui de
rejoindre la position de
Marc-Etienne BURDET
sur le sujet
Le dossier de la Victime
Jacques ROMANENS
démontre une fois de plus les
conséquences des coups
protés aux Victimes
par les Francs-Maçons qui
occupent les sièges du
pouvoir judiciaire.
Leur activité crasse en faveur
de leurs “Frères” de Secte,
contribue à mettre les
justiciables dans des
situations insoutenables.
Pour les Victimes judiciaires,
il est peine perdue de vouloir
prouver à leurs bourreaux
qu’elles sont dans leur bon
droit... C’est seulement en
démontrant à l’Opinion
publique que les magistrats
détracteurs sont indignes et
ne sont pas légitimés à
exercer leurs fonctions que
les choses changeront !
Nous lançons un
APPEL AU PEUPLE
POUR METTRE FIN À
CETTE TYRANNIE !
Dénonciation de la tentative de
liquidation de Jacques ROMANENS
Jacques
ROMANENS
était
atteint
par
des
maladies
rares
qui
le
rendaient
handicapé
et
vulnérable,
exposé
au
risque
de
fausses
routes.
Selon
sa
volonté,
il
continuait
à
vivre chez lui, à Renens, en recevant des soins à domicile.
Le
17
juin
2011,
l’infirmière
Augustine
ANKER
,
av.
de
Montchosi
63,
Lausanne,
et
l’aide-soignante
Aurore
BARBE
du
CMS
Renens
Nord,
ont
tenté
de
liquider
ce
patient encombrant par
simulation de noyade.
Il
a
miraculeusement
survécu
et
pu
témoigner
et
expliquer
comment
ces
anges
de la mort ont procédé.
Elles ont bénéficié du soutien scandaleux de leur hiérarchie:
Manon FAWER
, directrice, ch. des Glycines 10, 1022 Chavannes-près-Renens
Francine JECKER
, responsable du DSAS, Grand’Rue 3, 1162 St-Prex
Karim BOUBAKER
, médecin cantonal.
Se
servant
d’une
expertise
de
complaisance
établie
par
le
médecin
légiste
Patrice
MANGIN
,
le
«procureur»
Pascal
GILLIÉRON
a
débouté
la
plainte
de
Jacques
ROMANENS
par
une
ordonnance
de
classement,
approuvée
par
le
«
Procureur
général
»
Eric
COTTIER
,
Av.
de
Jaman
11,
Lausanne,
en
faveur
d’
ANKER
.
Cela
dans
le
but
d’éviter
tout
risque
d’un
débat
public
lors
d’un
procès.
Les
recours
du
plaignant
furent
enterrés
par
les
«juges»
cantonaux
Bernard
ABRECHT
,
r.
du
Vieux-
Bourg
1,
Cully,
Joël
KRIEGER
,
av.
Gratta-Paille
11,
Lausanne
et
Guillaume
PERROT
.
Puis
le
«
juge
»
fédéral
Christian
DENYS
,
ch.
des
Crêtes
2a,
Lausanne,
qui
couvre
déjà
les
nombreux
cas
de
corruption
vaudois,
a
épaulé
ses
complices
vaudois.
Les
Conseillers
d’Etat
Pierre-Yves
MAILLARD
,
r.
du
Lac
34,
Renens
et
Béatrice
MÉTRAUX
,
ch.
du
Ru
17,
Bottens
ont
été
mis
au
courant
de
cette
tentative
de
liquidation.
Tous
deux
se
sont
barricadés
derrière
la
chimérique
séparation
des
pouvoirs
et
sont
ainsi
devenus
complices
de
tentative
d’assassinat,
aux
dépens
de
Jacques ROMANENS. Tout en trahissant leurs idéaux politiques.
Tous
les
juges
fédéraux
étant
récusés,
cette
dénonciation
a
été
adressée
par
Gerhard
ULRICH
au
Président
du
Tribunal
Pénal
Fédéral
de
Bellinzone,
Daniel
KIPFER-FASCIATI, en tant que
dépositaire.
Au
vu
de
la
censure
ordonnée
par
les
«
magistrats
»
vaudois
contre
le
Site
worldcorruption.info
,
grâce
à
la
complicité
des
«
journalistes
»,
cette
dénonciation
est
répandue massivement.
Les complices de la tentative de liquidation de Jacques ROMANENS
BernLeaks
Jacques ROMANENS
a miraculeusement survécu et pu
témoigner et expliquer comment les
anges de la mort ont procédé dans le
cadre des soins à domicile qui lui
étaient prodigués
Gerhard ULRICH
Les Autorités ont-elles commencé à liquider les vieux encombrants ?
Le
vilain
mot
de
tutelle
fut
remplacé
par
l’euphémisme
de
la
curatelle,
dans
le
contexte
de
la
professionalisation
de la «protection des enfants et des adultes».
Le
23
avril
2014,
le
journaliste
Frederico
CAMPONOVO
/
24
Heures
a
dénoncé
le
cas
de
Rita
Agnès
ROSENSTIEL
mise
sous
curatelle,
puis
placée
de
force
à
l’EMS
Nelty
de
Beausobre
à
Morges.
Tous
ses
biens
mobiliers
et
pratiquement
toutes
ses
affaires
personnelles
furent
soit
vendus
à
vil
prix,
soit
jetés.
Elle
est
aujourd’hui
âgée
de
93
ans,
toujours
lucide
et
mobile.
Chaque
jour,
elle
écrit
sur
son
ordinateur
sa
biographie
Pourquoi ?
qui va bientôt être publiée (imprimerie Neoprint, Morges).
En janvier 2015, la RTS réalisait une émission au sujet des placements forcés:
http://pages.rts.ch/emissions/temps-present/societe-mœurs/6334067-places-de-force.html#6442230
Les
pouvoirs
ont
toléré
la
diffusion
de
cette
émission,
en
guise
de
scandale
dosé,
purificateur.
L’opinion
publique
a
réagi
très
fortement,
car
nous
risquons
tous
de
tomber
un
jour
dans
cette
situation
et
que
l’on
dispose
de
nous
contre
notre
gré,
à
cause
de
la
vieillesse.
Hélas,
le
public
ne
se
rend
pas
compte
de
la
censure mise en place dans notre pays, la Suisse.
Nos
autorités
tolèrent
des
abus
plus
abominables
que
celui
qui
vient
d’être
décrit,
aux
dépens
des
vieux
qui
coûtent
trop
cher.
Le
cas
de
Jacques
ROMANENS,
victime
d’une
tentative
de
liquidation
par
deux
soignantes
du
CMS
Renens
Nord
le
17juin
2011,
n’est
très
probablement
pas
unique,
car
les
vieilles
personnes
vulnérables
et
isolées,
ayant
été
vraiment
liquidées,
ne
peuvent plus témoigner…
Pour quelles raisons oserais-je prononcer un tel soupçon aussi monstrueux ?
La
façon
dont
les
autorités
du
Département
de
la
Santé
et
de
l’Action
Sociale
(DSAS)
dirigé
par
Pierre-Yves
MAILLARD,
épaulées
par
les
magistrats
judiciaires
et
les
dirigeants
politiques,
ont
étouffé
cette
affaire,
avec
une
détermination
qui
fait
froid
dans
le
dos,
laisse
supposer
que
ces
gens-là
sont
au
courant
de
ces
procédés.
Et
ont
l’habitude
d’imposer
la
censure
le
cas
échéant.
En
tout
cas,
les
proches
de
Jacques
ROMANENS
n’ont
jamais
réussi
à
ameuter
les
médias
pour
faire
connaître cette tentative de crime.
Pour
quelles
raisons
les
autorités
couvrent-elles
l’infirmière
Augustine
ANKER
,
Avenue
de
Montchoisi
63,
1006
Lausanne,
qui
a
tenté
d’asphyxier
Jacques
ROMANENS,
handicapé
et
sans
défense
?
Les
autorités
la
protègent-elles,
car
cet
ange
de
la
mort
en
saurait
trop
?
Serait-elle
l’exécutrice
de
ces
pratiques
sournoises
?
Nos autorités ont-elles commencé à liquider les vieux encombrants ?
Les maladies de Jacques ROMANENS (10.09.1934 – 01.11.2015)
Ce
patient
souffrait
de
deux
maladies
rares
:
d’un
syndrome
myasthénique
de
Lambert-Eaton,
diagnostiqué
au
mois
de
juin
2010,
et
d’un
syndrome
cérébelleux,
constaté
au
mois
d’août
de
la
même
année
(
pièce
1
).
Son
langage
était
devenu
difficilement
compréhensible
et
il
était
exposé
aux
risques
de
fausses
routes.
Lourdement
handicapé
et
vulnérable,
il
tenait
à
continuer
à
vivre
chez
lui,
à
Renens.
Le
CMS
Renens
Nord
lui
apportait
les
soins à domicile. De plus, son ex-épouse, Suzanne SCHAER était très présente.
Le
13
février
2011,
il
a
fait
une
fausse
route
catastrophique
avec
broncho-aspiration,
et
a
dû
être
hospitalisé
d’urgence
au
CHUV.
(Par
broncho-aspiration
les
médecins
du
CHUV
entendent
une
fausse
route
de
la
nourriture
massive,
aboutissant
dans
les
poumons.)
Marqué
par
cette
expérience
traumatisante,
le
patient
a
changé
ses
habitudes
pour
se
nourrir,
de
peur
de
faire
de
nouvelles
fausses
routes,
et
a
perdu
20
kg
en
un
an.
Les
médecins
décidèrent
de
l’hospitaliser
à
nouveau
du
24
mai
au
13
juin
2011
pour
mettre
en
route
sa
nutrition
artificielle
partielle par une sonde gastrique (PEG). Le rapport de sortie à l’adresse du CMS Renens Nord précisait :
«
Présente
une
dysphagie
aux
solides
et
aux
liquides,
fausse
route
importante.
Il
est
nécessaire
de
bien
épaissir
les
liquides.
Mange
un
repas
mixé
lisse
mélangé
avec
beaucoup
de
sauce
pour
bien
lier
le
tout.
Doit
seulement
utiliser la petite cuillère car sinon prend de trop grandes bouchées ». (
pièce 2
).
Le
CMS
Renens
Nord
a
continué
à
intervenir
pour
s’occuper
de
la
toilette
du
patient
et
amener
les
repas.
Une
infirmière
des
laboratoires
BICHSEL,
fournisseur
de
l’alimentation
artificielle,
a
instruit
le
personnel
du
CMS
Renens Nord pour qu’il sache utiliser cette sonde gastrique.
Un patient encombrant
L’ergothérapeute
du
CMS
Renens
Nord
en
charge
de
Jacques
ROMANENS
s’était
étonné
à
haute
voix
que
Monsieur
ROMANENS
ne
soit
pas
encore
dans
un
EMS.
D’autres
comportements
humiliants
s’ajoutèrent,
de
sorte
que
l’ex-épouse
du
patient,
Suzanne
SCHAER,
intervint
auprès
de
la
direction
du
CMS
Renens
Nord
pour
obtenir
de
mauvaise
grâce
un
changement
de
la
personne
s’occupant
de
ce
patient
encombrant.
Il
fut
remplacé
par
l’infirmière
Augustine
ANKER
.
Ce
fût
pire.
Le
matin
du
17
juin
2011,
cette
infirmière
tenta
de
liquider
ce
patient,
en complicité avec l’aide-soignante
Aurore BARBE
.
Extrait de la plainte pénale du 09 septembre 2011 de M. Jacques ROMANENS :
«…
au
matin,
il
restait
trois
à
quatre
décilitres
dans
la
poche.
Ma
référente
au
CMS,
à
savoir
Mme
ANKER,
dont
j’ignore
le
prénom,
a
alors
décidé
de
me
faire
absorber
ce
solde
par
voie
buccale
et
elle
a
donc
rempli
un
verre
du
produit.
Elle
m’a
contraint
à
le
boire
malgré
ma
terreur
manifeste
et
mes
protestations.
Je
savais
en
effet
que
par
cette
méthode
le
liquide
risquait
d’envahir
mes
poumons
et
en
conséquence
menacer
ma
vie.
(…)
Dès
lors,
quand
je
me
suis
rendu
compte
de
ce
que
Mme
ANKER
voulait
me
contraindre
à
boire
ce
liquide,
par
ailleurs
nauséabond,
j’ai
été
terrorisé.
Cela
n’a
pas
pu
échapper
à
l’intéressée
qui
a
cependant
passé
outre
ma
volonté.
Ma
terreur
s’est
encore
accrue
lorsqu’après
elle
m’a
contraint
à
absorber
cette
substance
par
voie
buccale
et
que
je
m’étouffais;
l’intéressée
m’a
paisiblement,
c’est
l’image
que
j’en
garde,
regardé
m’étouffer,
puis
est
partie
sans
autre
en
laissant
sur
la
table
le
reste
d’isosource
(ci-dessous
on
parle
aussi
de
Novasource
,
car
2
liquides
avaient
été
prescrits
pour
le
patient)
après
avoir
rempli
le
carnet
de
soins,
sans
du
reste
le
signer.
Je
produis
une
copie de ce carnet de soins.
Je
suis
resté
glacé,
paralysé,
ne
pouvant
plus
émettre
le
moindre
son.
C’est
dans
cet
état
que
m’a
trouvé
l’aide-
soignante,
venue
comme
d’habitude
pour
ma
toilette
vers
11
heures
du
matin.
Quelle
ne
fut
ma
stupéfaction
lorsque
j’ai
compris
que
mon
calvaire
n’était
pas
fini.
A
son
tour
en
effet,
cette
aide-soignante,
dont
j’ignore
l’identité,
a
rempli
le
verre
avec
le
solde
d’isosource
et
tout
en
ayant
un
entretien
téléphonique
à
voix
basse,
m’a
contraint
à
boire.
J’étais
incapable
du
moindre
mouvement,
anéanti
et
figé.
Forcément,
il
y
a
eu
à
nouveau
des
étranglements,
fausse
route,
reflux
par
le
nez.
Ensuite,
l’aide-soignante
est
partie
sans
remplir
le
carnet
de
soins.
J’ai
néanmoins
survécu,
même
si
les
souffrances
provoquées
ont
été
terribles.
A
la
suite
de
ces
faits,
j’ai
été
hospitalisé au CHUV pendant 26 jours.»
(
pièce 4
).
En
effet,
ces
fausses
routes
très
conséquentes
ont
causé
des
broncho-aspirations
réitérées.
Déjà
le
lendemain,
il
avait
un
accès
de
fièvre,
et
le
22.06.11,
une
pneumonie
se
déclara,
conséquence
des
actes
du
17.06.11.
Il
dut
être hospitalisé d’urgence (
pièce 3
).
Le
comportement
irresponsable
des
représentants
du
Département
de
la
Santé
et
de
l’Action
Sociale
(DSAS - Département dirigé par le Conseiller d’Etat Pierre-Yves MAILLARD)
La
directrice
d’
APREMADOL
du
CMS
Renens
Nord,
Manon
FAWER
,
chemin
des
Glycines
10,
1022
Chavannes-près-Renens, ordonna une «enquête». En quoi cette enquête a-t-elle consisté ?
Elle
a
chargé
le
médecin
conseil
de
l’AVASAD,
le
Dr.
HONGLER,
d’interroger
l’infirmière
accusée
et
se
fit
confirmer
par
le
fournisseur
de
la
nourriture
artificielle
que
leur
produit
n’était
pas
toxique,
ingéré
par
voie
orale.
Ensuite,
la
directrice
FAWER
s’empressa
de
délivrer
un
certificat
de
blanchiment
en
faveur
d’ANKER,
sous
forme
d’une lettre à l’adresse de Suzanne SCHAER, datée du 30 septembre 2011. Extraits :
«
Dès
lors,
et
compte
tenu
de
ce
qui
précède,
nous
pouvons
confirmer
que
notre
collaboratrice
n’a,
à
aucun
moment,
contraint
le
client
à
boire
le
Novasource.
[…]
Au
vu
des
éléments
exposés
ci-dessus,
la
direction
de
l’APREMADOL
ne
reconnaît
aucune
faute
professionnelle
dans
l’acte
médico-délégué
effectué
par
notre
collaboratrice.
[…]
Nous
regrettons
vivement
les
propos
diffamatoires
que
vous
mentionnez
dans
votre
courrier
et
que nous ne pouvons en aucun cas, accepter….»
(
pièce 5
).
Ce
comportement
de
Manon
FAWER
est
scandaleux
et
irresponsable.
Dans
sa
lettre,
elle
a
passé
sous
silence
l’intervention
de
l’aide-soignante
complice,
Aurore
BARBE.
On
peut
présumer,
que
BARBE
et
ANKER
se
sont
parlé
via
leurs
téléphones
portables
mis
à
disposition
par
le
CMS
Renens
Nord.
Il
aurait
donc
été
facile
pour
la
direction
de
vérifier
sur
les
extraits
mensuels
des
appels
téléphoniques,
s’il
y
avait
eu
un
contact
téléphonique,
comme
rapporté
par
Jacques
ROMANENS.
De
toute
façon,
FAWER
aurait
dû
faire
interroger
Aurore
BARBE
séparément
et
comparer
les
déclarations
de
ces
deux
soignantes
avec
celles
du
patient.
Elle
aurait
pu
organiser
une
confrontation
de
Jacques
ROMANENS
avec
les
deux
infirmières
séparément.
Hélas,
les
plaintes
de
Jacques
ROMANENS
ont
été
ignorées
par
Madame
FAWER.
Elle
n’a
même
jamais
parlé
avec
lui
!
Ceci
correspond
au
comportement d’une complice et certainement pas à celui d’une directrice d’une entité socio-médicale.
Sur
la
base
de
cette
attestation
de
complaisance,
la
responsable
de
la
gestion
des
plaintes
du
Département
de
la
Santé
et
de
l’Action
Sociale
(DSAS),
Francine
JECKER
,
Grand’Rue
3,
1162
St-Prex,
a
corroboré
le
1er
novembre
2011,
le
faux
constat
«
qu’il
n’y
a
pas
eu
de
fautes
professionnelles
commises
par
l’infirmière
sur
laquelle
reposaient
les
soupçons
de
maltraitance
»
,
et
ce
torchon
a
été
contresigné
par
le
médecin
cantonal
Karim BOUBAKER
! (
pièce 9
). Encore aujourd’hui, BOUBAKER se retranche derrière ce faux (
pièce 49
).
Les
Vaudois
ont
le
droit
de
savoir
qui
est
ce
Karim
BOUBAKER
:
un
homme
qui
trahit
ses
devoirs
de
médecin et de fonctionnaire.
«L’enquête» du «procureur» Pascal GILLIÉRON
La
procédure
pénale
fut
attribuée
le
12
septembre
2011
au
«
procureur
»
Pascal
GILLIÉRON
(
pièce
30
),
qui
termina
son
«
enquête
»
3
années
et
7
mois
plus
tard
par
une
ordonnance
de
classement
en
faveur
d’Augustine
ANKER (
pièce 35
). On comprend du coup que ce Seigneur ne s’est pas tué à la tâche.
Le
premier
témoin
qu’il
interrogea
fut,
après
3
mois
d’incubation,
le
8
décembre
2011,
Madame
Suzanne
SCHAER
(
pièce
06
).
Deux
mois
plus
tard,
le
17
février
2012,
son
agenda
lui
permit
d’entendre
les
témoins
Nathalie
BELLO
–
l’infirmière
du
laboratoire
BICHSEL
ayant
instruit
le
personnel
du
CMS
Renens
Nord
au
maniement
de
la
sonde
gastrique
(
pièce
07
),
et
la
logopédiste
de
Jacques
ROMANENS,
Madame
Séverine
ISOARD (
pièce 8
).
Presque
une
année
après
les
faits,
GILLIÉRON
interrogea
enfin
Augustine
ANKER
«
en
qualité
de
personne
appelée
à
donner
des
renseignements
»
(
pièce
10
).
Celle-ci
se
présenta
avec
l’attestation
de
blanchiment
établie
par
la
fonctionnaire
Francine
JECKER
,
attestation
contresignée
par
le
médecin
cantonal
Karim
BOUBAKER
(
pièce 09
).
Il
va
de
soi
que
les
déclarations
d’Augustine
ANKER
sont
en
contradiction
directe
avec
la
plainte
de
Jacques
ROMANENS.
Elle
prétendait
notamment
qu’on
ne
lui
avait
pas
dit
qu’il
ne
fallait
pas
prendre
la
nourriture
artificielle
par
voie
buccale.
Elle
l’a
même
répété.
Extraits,
dont
les
passages
équivoques
sont
imprimés
en
gras:
«
Lorsque
je
suis
venue
à
08h00,
le
17
juin,
pour
vérifier
l’état
de
M.
ROMANENS,
j’ai
constaté
qu’il
restait
du
liquide
dans
la
poche
nutritive.
Cette
poche
était
dans
la
chambre
de
M.
ROMANENS.
Quant
à
ce
dernier,
il
avait
déjà
quitté
son
lit,
il
était
dans
la
cuisine,
dans
son
fauteuil
roulant.
La
sonde
avait
déjà
été
rincée.
Lorsque
j’ai
constaté
qu’il
y
avait
encore
du
liquide
dans
la
poche,
je
lui
ai
proposé
de
le
boire.
Je
me
souviens
très
bien
de
lui
avoir
d’abord
demandé
s’il
voulait
bien
goûter
le
liquide.
Il
l’a
fait.
A
ma
grande
surprise,
il
m’a
dit
que
ce
n’était
pas
mauvais
(On
sait
que
ce
liquide
a
un
goût
nauséabond).
Il
a
alors
bu
l’entier
de
ce
liquide
que
j’avais
versé
dans
un
verre.
Il
n’y
a
pas
eu
de
problème.
Il
n’a
pas
fait
de
fausse
route.
Il
n’a
pas
semblé
étouffer.
Il
n’a
pas
protesté.
Quant
à
moi,
j’ai
pensé
qu’il
n’y
avait
aucun
risque
à
agir
de
la
sorte.
En
effet,
à
cette
époque,
M.
ROMANENS
se
nourrissait
tout
seul
la
journée
et
les
aliments
liquides
qu’on
trouvait
dans
son
frigo
étaient
soit
aussi
épais
que
le
produit
de
la
sonde,
soit
plus
liquide
encore
que
ce
produit.
Je
n’ai
donc
absolument
pas
craint
une
éventuelle
fausse-route.
J’ai
donné
pratiquement
tout
le
contenu
de
la
sonde
à
M.
ROMANENS.
Selon
mes
souvenirs
j’ai
jeté
le
reste
(en
contradiction
avec
ce
qu’elle
a
dit
auparavant).
Pour
vous
répondre,
je
n’ai
pas
donné
l’entier
du
solde
pour
ne
pas
surcharger
l’estomac
de
M.
ROMANENS
(C’est
aussi
en
contradiction
avec
ce
qu’elle
a
dit
auparavant
!).
Vous
me
donnez
connaissance
de
la
description
qu’a
fait
M.
ROMANENS
dans
sa
plainte.
Je
suis
extrêmement
surprise.
A
aucun
moment
je
n’ai
constaté
que
M.
ROMANENS
était
terrorisé,
même
réticent
à
l’idée
de
boire
le
liquide.
Comme
je
vous
l’ai
dit,
je
n’ai
absolument
pas
constaté
qu’il
étouffait.
Lorsque
je
suis
partie,
vers
9h00
–
9h15
(Comment
expliquer
qu’elle
soit
restée
75
minutes,
alors
que
d’habitude,
elle
ne
restait
que
20
à
30
minutes
?
–
pièce
29
),
M.
ROMANENS
était
toujours
à
la cuisine. Il s’apprêtait à déjeuner et à prendre ses médicaments. Mme SCHAER. Il était parfaitement calme.
Une
auxiliaire
de
soins
est
venue
dans
la
matinée
pour
faire
la
toilette
de
M.
ROMANENS.
J’ignore
qui
était
en
charge.
Vous
m’indiquez
que
M.
ROMANENS
précise
qu’il
s’agissait
d’une
personne
prénommée
Aurore.
Nous
avons
bien
une
auxiliaire
qui
porte
ce
prénom.
J’ignore
son
nom
de
famille.
Normalement,
si
l’auxiliaire
constate
un
problème,
elle
doit
me
le
dire,
et
je
note
l’incident
au
journal.
Comme
vous
le
constatez,
il
n’y
a
aucune
indication
en
ce
sens
(Aurore
BARBE
était
sous
ses
ordres,
elle
l’a
connaissait
donc
très
bien,
et
ce
jour-là,
contrairement
à
l’habitude,
BARBE
n’a
fait
aucune
inscription
dans
ce
journal
–
pièce
29
).
Je
n’ai
pas
le
souvenir
non
plus
qu’une
auxiliaire
soit
venue
me
trouver.
Je
précise
qu’il
y
a
également
un
journal
des
événements
au
domicile
du
patient
sur
lequel
les
intervenants
peuvent
noter
des
observations.
Vous
me
montrer
les
pièces
6/2,
6/3
et
6/4.
C’est
bien
de
cela
qu’il
s’agit.
Pour
vous
répondre,
l’auxiliaire
qui
est
allée
au
domicile
de
M.
ROMANENS ce 17 juin au matin ne m’a pas téléphoné pendant son service ».
GILLIÉRON
aurait
pu
ordonner
l’écoute
rétroactive
des
conversations
téléphoniques
interceptées
sur
les
téléphones
mobiles
des
deux
soignantes.
Il
ne
l’a
pas
fait
avec
préméditation.
Et
il
n’a
jamais
convoqué
BARBE,
pour éviter toute contradiction.
Il
est
aussi
étonnant
que
l’avocat
de
Jacques
ROMANENS
n’ait
pas
eu
l’idée
de
requérir
la
mise
en
examen
d’Augustine
ANKER,
pour
prévenir
la
collusion
avec
sa
subordonnée,
Aurore
BARBE.
Ou
au
moins
d’insister
pour
convoquer
ANKER
à
un
deuxième
interrogatoire
pour
provoquer
davantage
de
contradictions
dans
ses
dépositions, car cet avocat n’avait pas pu assister à l’interrogatoire du 14 mai 2012 de Mme ANKER.
Quand
un
procureur
vaudois
veut
faire
condamner
un
innocent
sans
preuve,
il
le
met
à
l’isolement
pendant
des
semaines
et
le
harcèle
jour
et
nuit
par
des
interrogatoires,
répétant
toujours
les
mêmes
questions,
en
espérant
le
faire
déprimer
et
obtenir
une
nouvelle
version
des
faits.
Puis
il
le
traite
de
menteur.
Répéter
les
interrogatoires
de
manière
dosée,
échelonnés
dans
le
temps,
est
certainement
une
tactique
valable.
Il
y
a
une
bonne
chance
de
récolter
ainsi
des
contradictions
exploitables.
Pour
quelles
raisons,
diable,
GILLIÉRON
a-t-il
renoncé
en
l’espèce
à utiliser cette méthode si chère aux magistrats vaudois ?
Les
prétextes
d’Augustine
ANKER
,
selon
lesquels
elle
aurait
ignoré
qu’on
ne
devait
pas
faire
boire
à
ce
patient
des
liquides
non
épaissis,
sont
totalement
invraisemblables.
Tout
le
personnel
du
CMS
Renens
Nord
était
au
courant que le tout grand problème de ce patient était le risque de fausses routes. Elle l’a déclaré elle-même :
«Je
me
souviens
aussi
que
tout
le
personnel
du
CMS
se
posait
beaucoup
de
question
sur
la
manière
dont
il
fallait
traiter
ce
patient.
Je
me
souviens
d’avoir
parlé
à
l’infirmière
de
liaison
du
CHUV
qui
émettait
des
doutes
sur
l’opportunité
et
le
risque
de
ramener
à
la
maison
un
patient
sur
qui
l’on
venait
de
poser
une
sonde
gastrique.
(…)
De
plus,
il
fallait
qu’il
dorme
avec
le
haut
du
corps
en
position
haute,
ceci
pour
éviter
les
risques
de
fausse
route.
Je
vous
remets
à
cet
égard
un
extrait
du
journal
du
CMS
relatif
à
ce
patient.
Comme
vous
pouvez
le
constater,
j’ai
noté
cette
nécessité
le
10
juin
2011
après
un
contact
téléphonique
avec
Mme
DONZALLAZ,
diététicienne au CHUV »
(
pièce 10
).
Elle
a
aussi
eu
connaissance
des
instructions
données
par
le
CHUV
dans
ce
contexte
(
pièce
02
).
Rien
que
la
présence d’une sonde gastrique ne pouvait pas laisser ANKER dans l’ignorance !
GILLIÉRON
s’est
tout-de-même
adressé
au
CHUV
pour
obtenir
la
confirmation
que
le
patient
avait
bien
été
hospitalisé
à
cause
d’une
pneumonie,
survenue
quelques
jours
après
les
broncho-aspirations
réitérées
provoquées par ANKER (
pièce 11
).
Le plaignant n’avait donc pas fabulé.
Pour
le
Procureur
Pascal
GILLIÉRON,
une
tentative
d’assassinat
passe
après
les
infractions
au
patrimoine
!
Et
il
occulte
les
preuves
qu’il
a
omis
d’établir,
en
évitant
de
mener
une
enquête
méritant
ce
nom.
Par
lettre
du
13
juin
2012,
l’avocat
de
Jacques
ROMANENS
a
requis
que
le
Chef
du
service
MENH
du
CHUV
(le
spécialiste
en
la
matière)
fournisse
une
expertise
plus
approfondie
sur
les
causes
et
les
effets
des
broncho
aspirations
(
pièce
14
).
N’ayant
obtenu
aucune
suite,
cet
avocat
a
finalement
été
contraint
d’adresser
un
recours
pour
déni
de
justice
auprès
du
Tribunal
cantonal
(
pièce
18
).
Invité
à
expliquer
son
retard,
GILLIÉRON
s’est
exprimé d’une façon qui le démasque (
pièce 19
). Citations :
«
Les
acteurs
de
la
chaîne
pénale
doivent
de
plus
faire
face
à
une
explosion
du
nombre
de
cas
de
certains
délits,
notamment
en
matière
de
cambriolages
ou
trafic
de
stupéfiants.
(…)
Dans
ces
circonstances,
le
Ministère
public
doit
faire
le
choix
de
consacrer
en
priorité
son
temps
à
certaines
enquêtes
plus
sensibles
sur
le
plan
de
la
politique
criminelle
(…).
Le
soussigné
estime
que
l’infraction
dénoncée
par
Jacques
ROMANENS
entre
dans
la
catégorie
de
dossier
dont
le
traitement
est
moins
prioritaire.
D’une
part
parce
que
l’on
peut
d’ores
et
déjà
exclure, au vu des preuves déjà administrées, une volonté criminelle inquiétante chez la personne dénoncée … »
«
Le
soussigné
estime
que
le
Ministère
public
n’a
pas
à
ordonner
aveuglement
toute
mesure
qui
serait
requise
par
les
parties,
mais
qu’il
lui
appartient
d’en
jauger
l’opportunité
avant
d’ordonner.
Dans
le
cas
présent,
la
requête
du
plaignant
tendant
à
la
mise
en
œuvre
d’une
expertise
menée
dans
un
milieu
médico-social
nuit
forcément
à
la
réputation
de
la
personne
qui
en
est
l’objet
[…].
Au
vu
de
la
situation
où
se
trouve
aujourd’hui
le
Ministère
public,
le
soussigné
estime
que
les
reproches
d’inertie
qu’on
lui
fait
sont
infondés,
ce
d’autant
plus
que
des
mesures
d’instruction ont bel et bien été effectuées dans ce dossier ».
C’est
l’arrogance
même
qui
parle
et
Monsieur
le
procureur
a
le
toupet
de
prétendre
qu’il
n’aurait
pas
été
inactif.
En fait, le premier avocat du plaignant a dû relancer GILLIÉRON par deux douzaines de missives. Exemples:
pièce 12
–
pièce 14
–
pièce 15
–
pièce 16
–
pièce 17
–
pièce 24
Et le second avocat de Jacques ROMANENS a dû intervenir encore dans plus d’une douzaine d’occasions !
Sans
être
impressionné
le
moins
du
monde,
le
«
procureur
»
Pascal
GILLIÉRON
a
continué
à
refuser
d’ordonner
l’expertise médicale requise (
pièce 20
).
Le
recours
pour
déni
de
justice
fut
néanmoins
accepté
(
pièce
21
).
Alors,
GILLIÉRON,
pour
ne
pas
«
ordonner
aveuglement
toute
mesure
qui
serait
requise
par
les
parties
»
a
mandaté
le
médecin
légiste
du
canton
de
Vaud,
et non un spécialiste en la matière, pour
fournir une expertise de complaisance.
Voir le prochain chapitre.
L’avocate
d’Augustine
ANKER
a
suggéré
au
Procureur
GILLIÉRON
le
13
juin
2012
(
pièce
13
)
d’entendre
comme
témoin
l’infirmière
Kelly
QUINTON,
qui
aurait
soi-disant
prodigué
des
soins
à
M.
ROMANENS
de
18h32
à
18h52
le
17
juin
2011.
C’était
une
tentative
d’introduire
un
faux
témoin.
En
fait,
c’est
l’infirmière
Laurence
VILLARS
qui
était
intervenue
et
avait
été
choquée
par
ce
qu’elle
apprenait.
L’avocat
de
M.
ROMANENS
a
insisté
pour obtenir le témoignage de Mme VILLARS, en vain (
pièce 15
). GILLIÉRON n’a pas réagi dans les deux cas.
Comme
signalé
ci-dessus,
GILLIÉRON
a
rendu
son
ordonnance
de
classement
en
faveur
d’Augustine
ANKER
le
13 avril 2015, avec l’aval du procureur général,
Eric COTTIER
(
pièce 35
).
L’expertise de complaisance rendue par le médecin légiste Patrice MANGIN
Evidemment,
GILLIÉRON
n’a
pas
donné
suite
à
la
requête
de
l’avocat
de
Jacques
ROMANENS
de
mandater
le
Chef
de
clinique
du
Service
oto-rhino-laryngologie
du
CHUV
afin
d’établir
une
expertise
médicale
en
l’espèce,
bien que ce choix s’imposait.
Probablement
qu’après
s’être
arrangé
avec
son
patron,
Eric
COTTIER
,
GILLION
a
mandaté
pour
cette
expertise
le
médecin
légiste
du
Centre
Universitaire
Romand
de
Médecine
Légale
(CURML),
Patrice
MANGIN
(
pièce
23
).
C’est
surprenant,
car
MANGIN
est
toxicologue
de
formation,
donc
profane
concernant
les
maladies
de
Jacques
ROMANENS.
On
ignore
dans
quel
domaine
le
co-auteur
de
cette
«
expertise
»,
le
Dr.
Raquel
VILARINO, excelle.
Il
faut
connaître
les
liens
qui
unissent
MANGIN
avec
le
Ministère
public
vaudois.
Voir
pièce
50
.
MANGIN
est
le
fiable
complice
du
Ministère
public
vaudois.
Il
est
utilisé
pour
fournir
des
expertises
de
complaisance
à
Eric
COTTIER.
Par
exemple
celles
qui
ont
permis
à
ce
dernier
de
commettre
ses
crimes
judiciaires
aux
dépens de
François LÉGERET
et
Laurent SÉGALAT
. Voir :
L’affaire Légeret – un assassin imaginaire. Jacques SECRETAN, éditions Mon Village, 2016.
Et une condamnation bâtie sur du sable – L’affaire Ségalat. Jacques SECRETAN, éditions Mon Village, 2015.
Suzanne
SCHAER
pense
que
MANGIN
n’avait
pas
reçu
le
dossier
médical
au
complet.
En
tout
cas
le
rapport
du
CHUV
du
22
mars
2011,
qui
décrit
les
maladies
dont
souffrait
M.
ROMANENS
(
pièce
01
),
n’est
cité
nulle
part
dans
les
expertises
de
MANGIN.
Elle
a
observé
que
la
lettre
de
l’avocat
de
M.
ROMANENS,
datée
du
6
septembre 2013, contenant en annexe ledit rapport du CHUV avait tout simplement disparu du dossier pénal.
(
pièce 27
).
Quoi
qu’il
en
soit,
cette
fois-ci,
MANGIN
s’est
également
exécuté
selon
les
attentes
du
commanditaire,
GILLIÉRON
(
pièce
25
).
Hélas,
la
toute
grande
faille
dans
ce
torchon
est
le
fait
que
MANGIN
occulte
tout
bonnement
la
tentative
de
liquidation
vécue
par
Jacques
ROMANENS,
pour
se
concentrer
sur
la
question
des
effets
des
fausses
routes.
L’ange
de
la
mort
ANKER
était
sûre
que
sa
victime,
lourdement
handicapée
et
vulnérable,
n’allait
pas
survivre
à
son
attentat.
Cependant,
Jacques
ROMANENS
a
survécu
et
a
pu
témoigner
de
ce qu’il lui était arrivé. Occulter ce fait prouve le parti pris de MANGIN.
MANGIN
a
ergoté
de
long
en
large
sur
les
fausses
routes
quotidiennes
du
patient.
A
l’évidence
pour
lui,
fausse
route
rime
avec
broncho-aspiration.
Ceci
est
faux,
comme
Suzanne
SCHAER
l’explique
dans
l’une
de
ses
lettres
à l’avocat de Jacques ROMANENS (
pièce 29
). Citation :
«
A
propos
des
fausses-routes.
Dans
le
DVD
que
nous
vous
avons
remis,
Jacques
fait
une
fausse
route
avec
un
café
mal
épaissi.
Vous
observez
que
la
première
gorgée
est
toujours
prudente
afin
de
tester
l’épaississement
et
la
chaleur
du
liquide.
Il
s’ensuit
forcément
une
toux
désagréable
et
il
faut
un
moment
pour
reprendre
sa
respiration. C’est angoissant.
Il
s’agit
de
ce
type
bénin
de
fausses
routes
que
rabâche
la
procédure.
Elles
sont
sans
conséquences.
(Par
contraste,
une
fausse
route
massive
fait
aboutir
la
nourriture
dans
les
poumons,
ce
que
les
médecins
du
CHUV
désigne comme broncho-aspiration).
Or,
en
février
Jacques
fit
sa
première
grave
fausse-route,
une
«
dyspnée
aiguë
»,
due
à
sa
dysphagie.
Elle
fut
sévère parce qu’il ne s’y attendait pas.
C’est
à
ce
moment,
que
les
médecins
ont
diagnostiqué
sa
pathologie.
Jacques
aurait
pu
mourir,
non
pas
de
pneumonie, mais d’asphyxie ! Depuis cet événement, il est devenu prudent.
Je
soupçonne
fortement
que
c’est
cet
événement
qui
a
inspiré
le
funeste
scénario
des
membres
du
CMS,
peut-
être même ont-ils pensé que ce serait facile ».
Dans
son
rapport,
le
Dr.
Gontran
BLANC,
médecin
traitant
de
Jacques
ROMANENS
a
confirmé
le
11
décembre
2013
que
son
patient
n’avait
subi
que
deux
fausses
routes
graves,
entraînant
broncho-aspiration
et
pneumonie
comme
conséquences.
Celle
du
mois
de
février
2011
et
les
broncho-aspirations
réitérées
provoquées
par
ANKER le 17 juin 2011 (
pièce 32
). Le 11 décembre 2013 BLANC précise :
«
Avec
deux
ans
et
demi
de
recul,
nous
pouvons
analyser
avec
une
meilleure
finesse
l’évolution
des
fausses
routes.
Durant
cette
période
de
deux
ans,
Mr
ROMANENS
n’a
plus
présenté
de
nouvelles
pneumonies
sur
broncho
aspiration.
Il
est
donc
clair
que
Mr
ROMANENS
sait
adapter
ses
habitudes
et
sa
manière
de
manger
pour
éviter
un
événement
malheureux.
[…]
En
tenant
compte
des
faits
précités
(qui
sont
clairs,
précis,
et
acceptés
par
tous),
les
faits
qui
sont
survenus
le
17
juin
2011,
sont
de
nature
exceptionnelle
et
totalement
inhabituelle».
Les
conclusions
de
MANGIN,
selon
lesquelles
il
n’y
aurait
pas
de
lien
«
de
manière
formelle
»
entre
«
l’épisode
du
17
juin
2011
et
la
pneumonie
diagnostiqué
le
23
juin
2011
»
sont
en
conséquence
archifausses.
(
pièce
25
,
point 6).
Pour
MANGIN,
avoir
fait
ingurgiter
à
Jacques
ROMANENS,
souffrant
de
graves
problèmes
de
déglutition,
de
la
nourriture
artificielle
liquide
non
épaissie
«a
constitué
une
non-observation
des
consignes
prévues
pour
ce
cas
particuliers,
plutôt
qu’une
violation
des
règles
de
l’art
».
Il
s’agit
clairement
d’une
attestation
de
complaisance
commanditée par le Ministère public.
Une ineptie prononcée par un érudit.
Evidemment,
l’avocat
du
plaignant
a
violemment
critiqué
cette
«
expertise
»
(
pièce
27
).
Cela
a
eu
pour
résultat un «complément d’expertise», ajoutant du volume aux premières allégations bidons (
pièce 33
).
Par
cette
expertise
de
complaisance,
MANGIN
et
son
co-auteur
se
sont
abaissés
pour
devenir
les
complices d’assassins en puissance.
L’ordonnance de classement PE11.015201-PGN du 13.04.2015
GILLIÉRON
s’est
servi
aisément
de
l’expertise
/
complément
d’expertise
d’une
futilité
manifeste
de
MANGIN
pour
débouter le plaignant.
Le mensonge le plus culotté est présenté par cette formule:
«
Aucun
élément
dans
le
dossier
ne
parle
en
faveur
d’une
action
délibérée
d’un
quelconque
membre
du
personnel responsable des soins du plaignant à son domicile, tendant à attenter à sa vie »
(
pièce 35
).
Juste
au-dessus,
GILLIÉRON
mentionne
la
pièce
maîtresse
du
dossier,
c’est-à-dire
le
DVD
produit
par
le
plaignant
intitulé
«
Jacques
ROMANENS
–
17
juin
2011
–
le
jour
où
tout
a
basculé.
1h45
de
cauchemar
!
».
Il
semble
que
GILLIÉRON
ne
se
soit
pas
donné
la
peine
d’écouter
ce
témoignage
historique,
autrement
il
n’aurait
pas pu mentir aussi grossièrement.
Il
est
établi
par
les
constats
des
médecins
du
CHUV
(
pièce
3
et
pièce
11
)
ainsi
que
par
l’attestation
du
médecin
traitant,
Dr.
G.
BLANC
(
pièce
32
)
que
la
pneumonie
du
plaignant
a
été
causée
par
les
broncho-aspirations
subies
le
17juin
2011.
Le
13
février
2011,
Jacques
ROMANENS
a
failli
mourir
suite
à
une
seule
broncho
aspiration
par
étranglement.
Suzanne
SCHAER
a
fait
le
calcul
qu’un
demi
litre
de
Novasource
représente
l’équivalent
de
30
gorgées
moyennes
=
30
broncho-aspirations
(
pièce
22
).
«
Les
événements
»
du
matin
du
17
juin
2011
étaient
donc
l’équivalent
d’un
waterboarding
(simulation
de
noyade),
méthode
de
torture
administrée
par
les
services
secrets
américains
sur
leurs
prisonniers
à
Guantanamo
sous
l’administration
BUSH.
Sûr
et
certain,
c’était
un
spectacle
atroce.
Il
est
inconcevable
que
les
deux
soignantes,
Augustine
ANKER
et
Aurore
BARBE
n’aient
rien
remarqué
d’anormal.
Rappelons
qu’Augustine
ANKER
a
avoué
avoir
fait
ingurgiter
à
Jacques
ROMANENS
le
solde
du
liquide
se
trouvant
dans
la
poche.
Les
souffrances
de
leur
victime
ont
dû
se
manifester
avec
violence.
La
phrase
équivoque
de
la
première,
prononcée
le
14mai
2012
devant
GILLIÉRON
«
Il
n’a
pas
semblé
étouffer
»
est
un
leurre.
Un
interrogateur
avisé
l’aurait
immédiatement
coincée.
Il
lui
aurait
demandé
comment
il
était
possible
qu’elle
n’ait
pas
vu
les
souffrances
de
sa
victime,
exposée
à
des
broncho
aspiration réitérées et avérées.
C’est
un
miracle,
respectivement
grâce
à
sa
constitution,
que
Jacques
ROMANENS
ait
survécu
à
cette
torture
pour
pouvoir
témoigner
que
les
deux
anges
de
la
mort,
Augustine
ANKER
et
Aurore
BARBE
,
couvertes
par
le
médecin cantonal
Karim BOUBAKER
et son entourage, ont tenté de l’assassiner.
ANKER
n’a
jamais
eu
le
moindre
geste
de
regret.
Au
contraire,
questionnée
au
téléphone
par
Suzanne
SCHAER,
trois
jours
après
l’attentat,
pour
savoir
qui
avait
eu
l’idée
de
faire
avaler
le
liquide
de
la
sonde,
AugustineANKER
s’est
mise
à
rire
en
disant
que
c’était
elle
(
pièce
06
).
Il
faut
rappeler
le
témoignage
de
Jacques
ROMANENS
:
«
…
je
m’étouffais,
l’intéressée
m’a
paisiblement
-
c’est
l’image
que
j’en
garde
-
regardé
m’étouffer,
puis
est
partie…
»
-
Il
serait
d’intérêt
public
de
connaître
le
passé
de
cette
Autrichienne
d’origine.
Son
assurance
à
agir
de
la
sorte
nous
permet
de
soupçonner
que
ce
personnage,
d’un
caractère
très
particulier,
a
l’habitude
de
liquider
des
vieilles
personnes
vulnérables,
sans
défenses.
Le
fait
que
Jacques
ROMANENS
ait
survécu et pu témoigner, profite à toute notre société.
Le
but
de
l’ordonnance
de
classement
en
faveur
de
cette
infirmière
de
la
mort,
s’imposait
du
point
de
vue
de
la
Nomenklatura,
pour
éviter
tout
risque,
lors
d’un
procès,
d’un
débat
public
sur
ce
sujet
sur
lequel
la
population
est naturellement très sensible.
Le copier/coller des instances supérieures
Les
instances
supérieures
confirment
en
règle
générale
les
décisions
des
premiers
juges/procureurs
par
un
copier
/
coller…
Les
exceptions
sont
rarissimes.
Telle
l’annulation
récente
par
le
Tribunal
fédéral
de
la
condamnation
par
les
juges
Genevois,
sans
preuves
et
sans
aveu,
d’Erwin
SPERISEN,
après
un
calvaire
inutile
de
5
ans
d’incarcération.
C’est
pour
faire
joli
et
nourrir
l’illusion
de
l’opinion
publique
que
le
système
judiciaire
fonctionne
presque
à
la
perfection.
La
réputation
du
Tribunal
fédéral
est
particulièrement
soignée
par
nos
médias
manipulés
par
les
pouvoirs
occultes.
En
fait,
l’ancien
président
du
Tribunal
fédéral
Gilbert
KOLLY
2013
–
2016
s’est
vanté
devant
le
Congrès
des
avocats
suisses,
le
15
juin
2017
à
Lucerne,
que
le
taux
d’acceptation
des
recours a pu être comprimé à 2.3 % à la fin de sa présidence. Voir la page 53 de cette publication :
www.worldcorruption.info/index_htm_files/gu_2017-06-21_ohchr-f.pdf
Il
est
temps
que
l’opinion
publique
suisse
se
réveille
et
découvre
ce
scandale
:
au
moins
80
%
des
recourants de l’année 2016 ont été escroqués et traités de quérulents par nos « juges » fédéraux.
Le
recours
de
l’avocat
de
Jacques
ROMANENS
(
pièce
36
)
a
été
balayé
le
6
juillet
2015
par
les
«
juges
»
cantonaux
vaudois,
connus
pour
leur
lourd
passé
–
Bernard
ABRECHT
,
Joël
KRIEGER
,
et
Guillaume
PERROT.
(
pièce
37
).
Dans
leur
arrêt
de
12
pages
-
un
copier
/
coller
du
jugement
de
1ere
instance
-
ils
ont
souligné
que
l’ordonnance
de
classement
avait
été
approuvée
par
le
Procureur
général,
Eric
COTTIER
.
Le
lecteur
doit
savoir
qu’
ABRECHT
et
KRIEGER
sont
repérés
comme
membres
du
complot
maçonnique
dans
le
canton
de
Vaud,
dirigé
par
ce
même
COTTIER.
PERROT,
juge
cantonal
depuis
décembre
2012
seulement, figure déjà dans notre base de données par 4 références négatives.
En
rejetant
ce
recours,
ces
«
juges
»
cantonaux
ont
violé
le
principe
in
dubio
pro
duriore
(dans
le
doute
il
faut
opter
pour
la
voie
la
plus
sévère).
Il
faut
savoir
qu’au
stade
de
l’enquête
au
niveau
du
procureur,
le
principe
in
dubio
pro
reo
(le
doute
doit
profiter
à
l’accusé)
ne
peut
pas
être
appliqué.
Le
prévenu
doit
être
impérativement
envoyé
devant
un
tribunal.
En
l’espèce,
il
n’y
a
pas
de
res
iudicata
(chose
jugée),
ce
qui
est
la
grande
faille
dans cette affaire.
De
plus,
le
plaignant
ROMANENS
n’a
pas
eu
droit
à
un
procès
public
et
équitable,
ce
qui
enfreint
l’article
6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme.
Le
4
septembre
2015,
un
recours
a
été
adressé
au
Tribunal
fédéral
(
pièce
38
).
Par
ATF
6B_856/2015
du
16
septembre
2015,
il
fut
déclaré
irrecevable
(
pièce
39
).
Un
seul
«
juge
»
fédéral
aux
commandes
:
Christian
DENYS
.
DENYS
a
montré
en
l’espèce
ses
capacités
novatrices
en
matière
de
jurisprudence.
Selon
DENYS,
l’avocat
du
recourant
a
omis
de
déclarer
les
conclusions
civiles.
Citons
le:
«
…
la
jurisprudence
entend
se
montrer
restrictive
et
stricte,
de
sorte,
que
le
Tribunal
fédéral
n’entre
pas
en
matière
que
s’il
ressort
de
façons
suffisamment
précise
de
la
motivation
du
recours
que
les
conditions
précitées
sont
réalisées,
à
moins
que
l’on
puisse
le
déduire
directement
et
sans
ambiguïté
compte
tenu
notamment
de
l’infraction
alléguée ».
Gerhard
Ulrich,
l’auteur
de
ces
lignes,
recourt
pratiquement
chaque
mois
auprès
du
Tribunal
fédéral
et
a
l’habitude
d’être
débouté
par
cette
institution.
Hélas,
je
n’ai
jamais
encore
été
débouté
par
une
telle
motivation
écervelée.
Déclarer
un
recours
irrecevable
offre
le
grand
avantage
de
ne
même
pas
devoir
motiver
la
décision abusive.
Que
le
Vaudois
DENYS
ait
couvert
en
l’espèce
les
agissements
de
ses
confrères
vaudois
n’est
pas
surprenant.
En effet, DENYS couvre les affaires de corruption vaudoise en série depuis des années. Voir :
www.worldcorruption.info/index_htm_files/gu_2017-06-21_ohchr-f.pdf
Cette fois-ci, il a couvert un assassin en puissance, pour épauler ses complices vaudois.
Par
la
suite,
ROMANENS
s’est
adressé
à
un
expert,
le
médecin
français
Yvon
LESEC
,
afin
d’établir
une
nouvelle
expertise
médicale
(
pièce
40
).
Mais
Jacques
ROMANENS
est
décédé
le
1er
novembre
2015.
Alors,
Suzanne
SCHAER,
munie
des
procurations
des
fils
qu’elle
a
eus
avec
Jacques
ROMANENS,
a
requis
une
révision
(
pièce
43
),
récoltant
un
refus
de
suivre
du
«
procureur
»
Laurent
MAYE
(
pièce
46
).
Suzanne
SCHAER,
déçue
par
l’inefficacité
des
avocats
de
son
ex-mari
a
recouru
elle-même
au
Tribunal
cantonal
vaudois
(
pièce
47
).
Elle
a
été
déboutée
par
les
«
juges
»
cantonaux
vaudois
Christophe
MAILLARD
,
Bernard
ABRECHT
et
Guillaume
PERROT
par
arrêt
du
27
avril
2017,
au
motif
farfelu
que
l’expertise
médicale
LESEC
ne
constituait
«
aucun
élément
nouveau
justifiant
une
reprise
de
la
procédure
préliminaire
…
»
(
pièce
48
).
ABRECHT
et
PERROT,
ayant
déjà
pris
auparavant
des
décisions
dans
cette
procédure,
n’ont
même
pas
eu la décence de se récuser spontanément.
Cette affaire n’a donc jamais été jugée !
La pieuvre a des tentacules partout dans l’administration vaudoise
Il est connu que le système judiciaire vaudois est gangréné de A à Z. Voir :
www.worldcorruption.info/index_htm_files/gu_2017-06-21_ohchr-f.pdf
et les dossiers
BernLeaks
Et cette pieuvre a des tentacules dans toute l’administration du canton de Vaud.
Police :
Jacques
ANTENEN
,
commandant
de
la
Gendarmerie
vaudoise,
est
franc-maçon,
comme
son
sous-fifre
Philippe
DESARZENS,
commandant
de
la
Police
Région
de
Morges.
Le
5
avril
2017,
lors
de
la
campagne
électorale
vaudoise
des
mois
d’avril/mai
2017,
ces
individus
aux
ordres
des
Francs-Maçons,
ont
fait
disparaître
notre
colonne
d’information
publique
roulante
dénonçant
les
crimes
commis
en
bande
organisée
par
leur
organisation
secrète anti-constitutionnelle.
Colonne d’information publique roulante disparue le 5 avril 2017 à Morges
Plainte
a
été
déposée
le
jour
même.
Impossible
d’obtenir
la
moindre
réponse
de
la
part
de
la
Police
de
Morges.
Suite
à
la
plainte
pour
vol
déposée
par
le
propriétaire
de
la
colonne,
son
assureur
a
été
informé
3
mois
plus
tard
que
cette
colonne
se
trouverait
dans
un
dépôt
de
la
Police
de
Morges,
mais
aucune
information
formelle
écrite
n’a été rendue à ce jour... Détails voir :
www.worldcorruption.info/elections.htm
De
par
ce
fait,
les
manipulateurs
qui
ont
le
contrôle
de
la
Police
vaudoise
ont
interdit
la
liberté
d’expression
et
entravé
le
débat
politique
pendant
la
campagne
électorale
2017.
La
valeur
de
ces
élections
est
en
conséquence nulle ; le gouvernement et les députés actuellement en place n’ont aucune légitimité.
Offices des poursuites
Lors
du
détournement
du
patrimoine
de
la
famille
BURDET,
début
des
années
2000,
le
préposé
de
l’
Office
des poursuites d’Yverdon-les-Bains, Gilbert LAURENT
a joué des mauvais tours. Voir :
www.worldcorruption.info/burdet.htm
De
même,
le
préposé
de
l’Office
des
poursuites
de
Lavaux-Oron,
Christian
TSCHANZ,
trahit
actuellement
ses devoirs aux dépens de
Michèle HERZOG.
Offices d’impôt
Le
Conseiller
d’Etat
Pascal
BROULIS
,
en
tant
que
Ministre
des
finances
du
canton
pendant
15
ans,
a
réussi
à
effacer
une
dette
de
15
milliards
de
francs
suisses
en
pressant
les
contribuables
modestes
comme
des
citrons,
tout
en
octroyant
des
indulgences
fiscales
aux
oligarques.
Les
fonctionnaires
de
son
département
soutiennent
ces magouilles. Voir :
www.worldcorruption.info/index_htm_files/gu_2016-12-10_broulis-f.pdf
Bien
qu’informé
par
lettre
recommandée,
également
remise
en
mains
propres,
BROULIS
n’a
jamais
contesté
l’exactitude de cette dénonciation, et pour cause.
Silence
complet
également
sur
le
dossier
scandaleux
de
taxes
d’imposition
en
violation
de
la
Législation
fédérale,
à
l’encontre
des
bénéficiaires
de
l’aide
sociale
et
des
étudiants
mâles
sans
revenus
et
de
nationalité
suisse…
www.worldcorruption.info/aide_sociale.htm
Médecin légiste et Médecin cantonal, fonctionnaires du Département de la Santé et de l’Action Sociale
Voir ci-dessus.
Il
faudra
un
jour
compléter
le
tableau
en
analysant
les
cas
d’abus
commis
par
les
notaires,
par
exemple.
Nous
ne
connaissons
certainement
qu’une
fraction
des
fonctionnaires
/
auxiliaires
de
l’Etat
intouchables
sous
influence.
Mais
ce
que
nous
avons
découvert
suffit
pour
extrapoler
que
la
mafia
occulte
et
secrète
de
la
Franc
Maçonnerie
a pris soin d’occuper par leurs pions, tous les postes clés de l’Etat de Vaud.
L’implication des politiciens vaudois
Au
sein
du
collège
du
gouvernement
vaudois,
on
trouve
deux
maîtres-chanteurs
radicaux-libéraux
–
Philippe
LEUBA
et Jacqueline DE QUATTRO.
Voir
www.worldcorruption.info/elections.htm
La
corruption
est
en
premier
lieu
l’apanage
de
la
droite
–
des
libéraux-radicaux,
des
UDC
et
des
verts-libéraux.
Cependant,
les
politiciens
de
gauche
vaudois
sont
très
au
courant
des
cas
concrets
de
corruption
et
laissent
passer.
Le
Conseiller
d’Etat
socialiste,
Pierre-Yves
MAILLARD,
a
été
le
leader
bien
informé
du
syndicat
UNIA
à
l’époque.
Il
doit
certainement
avoir
eu
vent
du
blanchiment
d’argent
du
clan
MARCOS
des
Philippines,
réalisé
par
surfacturation
organisée
par
la
maison
BAUMGARTNER
Papiers
SA
à
Crissier
(disparue
entre-temps).
La
Banque
Cantonale
Vaudoise,
où
Pascal
BROULIS
a
officié
en
tant
que
directeur,
s’est
occupée
des
transactions.
Le directeur BCV BROULIS n’aurait-il pas au courant ? …
Cela
n’a
pas
empêché
Pierre-Yves
MAILLARD
de
s’engager
dans
une
concordance
politique
à
outrance,
laissant
passer
les
magouilles
de
la
droite
sans
broncher,
comme
le
dossier
de
l’aide
sociale
cité
plus
haut.
En
conséquence,
les
magistrats
judiciaires
socialistes
obéissent
aux
directives
de
leur
parti
socialiste
vaudois,
alors
que
le
socialiste
Pierre-Yves
MAILLARD
et
le
radical
Pascal
BROULIS
(dits
Malice
et
Brouillard)
sont
cul
et
chemise
au
sein
du
gouvernement
vaudois
actuel.
De
fait,
au
nom
de
la
«
collégialité
»
synonyme
de
complicité,
les
magistrats
gauchistes
couvrent
également
la
corruption
dans
le
canton
de
Vaud.
Ils
participent
activement
à
la
répression
de
la
liberté
d’expression,
en
violant
les
Droits
de
l’Homme
fondamentaux,
pour
servir
les
intérêts
de leur parti politique !
La
gauche
cohabite
de
façon
perverse
avec
la
droite
dans
le
canton
de
Vaud.
Les
juges
de
gauche
ferment
les
yeux,
laissant
passer
les
magouilles
de
leurs
collègues
de
droite.
En
contrepartie,
le
parti
socialiste
obtient
sur
le
plan
politique
des
concessions
en
faveur
de
son
électorat.
Cela
se
fait
sur
le
dos
des
victimes
judiciaires,
en
trahissant les idéaux du parti.
Les
politiciens
vaudois
de
gauche
ont
été
informés
du
vol
de
la
colonne
d’information
publique
roulante,
dénonçant
le
complot
franc-maçon,
donc
de
la
répression
de
la
liberté
d’expression
flagrante
pendant
la
campagne électorale vaudoise 2017. Ils ont fait semblant de l’ignorer.
La
Conseillère
d’Etat
des
Verts,
Béatrice
MÉTRAUX,
ancienne
greffière,
est
également
une
opportuniste.
Elle
est
responsable
des
agissements
illicites
de
ses
fonctionnaires
subordonnés
et
plus
particulièrement
du
complice
de
faussaire
et
Maître
chanteur
Jacques
ANTENEN,
Commandant
de
la
Police
cantonale.
Elle
est
responsable
des
agissements
illicites
de
ses
fonctionnaires
subordonnés.
En
sa
qualité
de
Présidente
de
la
chambre
des
notaires
du
canton,
elle
couvre
les
actes
illicites
d’un
couple
de
notaires,
dénoncés
par
Michèle
HERZOG.
En
l’espèce,
les
Conseillers
d’Etat
vaudois
MAILLARD
et
MÉTRAUX
ont
été
mis
au
courant
de
cette
tentative
de
liquidation de Jacques ROMANENS. Voir
Dokument 31
–
Dokument 44
–
Dokument 45
.
Tous
les
deux
se
sont
barricadés
derrière
la
chimérique
séparation
des
pouvoirs
et
se
sont
faits
complices
de
la
tentative
d’un
assassinat,
aux
dépens
de
Jacques
ROMANENS,
en
trahissant
leurs
idéaux
politiques.
Ils
se prostituent pour s’accrocher à un semblant de participation au pouvoir.
Par
avis
de
droit
du
professeur
Thierry
TANQUEREL,
Université
de
Genève,
du
09
mai
2014,
la
Commission
de
Haute
Surveillance
du
Tribunal
Cantonal
(CHSTC)
a
été
castrée,
respectivement
«
tanquerellisée
».
L’échange
de
correspondance
entre
Suzanne
SCHAER
et
le
Président
de
la
CHSTC,
Régis
COURDESSE,
en
est
la
preuve.
Voir
Dokument
41
et
Dokument
42
.
L’abolition
de
cette
commission
serait
une
mesure
d’économie
pour
les
contribuables.
Pour
le
débat
politique,
elle
est
aujourd’hui
totalement
superflue,
car
cette
commission
ne
fait
que
gérer
des
papiers,
sans
exercer
la
moindre
surveillance.
Quand
un
citoyen
se
plaint
de
dénis
de
justice
répétitifs,
la
CHSTC
répond
avec
humour
qu’il
suffit
d’utiliser
les
voies
de
recours
(expérience
vécue par plusieurs citoyens vaudois), alors qu’elle sait que les voies de recours ont déjà été utilisées, en vain.
Le tout est assorti d’une censure de certains sites Internet ordonnée par le Ministère public vaudois
www.worldcorruption.info/index_htm_files/gu_2016-10-11_cottier_censure-f.pdf
Et
par
la
chape
de
plomb
imposée
aux
médias
au
sujet
des
dysfonctionnements
gravissimes
du
système
judiciaire. Voir :
www.worldcorruption.info/index_htm_files/gu_2016-09-05_de_weck_rts.pdf
La
censure
ordonnée
aux
journalistes
et
autres
Médias
complices
est
telle,
qu’ils
prêtent
leur
concours
à
l’Ometa
sur
l’information
concernant
les
crimes
d’Etat
dénoncés.
Ils
engagent
ainsi
directement
leur
responsabilité
personnelle et individuelle, de manière solidaire.
www.worldcorruption.info/reserves_civiles.htm
Les
Journalistes
sont
parvenus
à
considérer
leurs
Lecteurs,
ceux-là
même
qui
les
font
vivre,
comme
leurs
ennemis
!
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« Viel Feind, viel Ehr ». (Beaucoup d'ennemis, beaucoup d'honneur) Georg VON FRUNDSBERG
Est-il dangereux de vieillir dans le
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