FedPol
Worldcorruption.info
Il
a
rejoint
le
World
Economic
Forum
(WEF)
le
1er
avril
2014.
Le
fribourgeois
Jean
Luc
VEZ
a
dirigé
auparavant
l’Office
fédéral
de
la
Police
(
FedPol)
depuis
l’année
2000.
Il
occupait
durant
les
années
1990
à
1992
(au
moment
de
l’escroquerie
des
royalties),
une
fonction
de
suppléant
du
préposé
au
traitement
des
documents
établis
pour
assurer
la
sécurité
de
l’Etat.
A
partir
de
2000
lors
de
l’enquête
et
de
la
transmission
des
documents,
il
était alors
directeur de FedPol.
Au
sein
du
World
Economic
Forum
(WEF),
le
fribourgeois
Jean
Luc
VEZ
côtoie
les
membres
qui
siègent dans la haute hiérarche Franc-Maçonne !
Le
29
janvier
1996
Joseph
FERRAYÉ
déposait
la
plainte
pénale
signée
par
lui-même,
mais
rédigée
par
ses
avocats
Me
Marc
BONNANT
et
Me
Dominique
WARLUZEL
à
Genève.
Cette
plainte
a
permis
le
premier
séquestre
des
royalties
escroquées
par
les
mandataires
et
associés
de
l’inventeur
et
par
le
Notaire
genevois
Pierre
MOTTU
qui
agissait
en
complicité
pour
le
compte
de
ELF
(Alfred
SIRVEN)
et
du
Gouvernement
français
sous la présidence de François MITTERRAND.
A
l’insu
de
Joseph
FERRAYÉ,
Me
Marc
BONNANT
a
déposé
parallèlement
et
par
procuration,
une
même
plainte
datée
aussi
du
29
janvier
1996
.
Mais
celle-ci
était
complétée
par
des
pièces
supplémentaires
dont
Joseph FERRAYÉ ne connaissait pas l’existence et qui allaient permettre de confondre les escrocs.
Ces
documents
complémentaires
n’avaient
manifestement
pu
être
transmis
que
par
l’auteur
même
des
documents en question, c’est-à-dire le Notaire Pierre MOTTU qui était justement visé par la plainte en question.
Cette
situation
nous
fait
dès
lors
comprendre
que
le
Notaire
Pierre
MOTTU
avait
réussi
à
rallier
l’ancien
bâtonnier
genevois
Marc
BONNANT
à
leur
cabale
et
qu’ils
avaient
ensemble
comploté
pour
s’emparer
des
capitaux
escroqués
dans
un
premier
temps.
Ils
devaient
parvenir
à
les
faire
séquestrer
pour
ensuite
pouvoir
les
ventiler
à
leur
profit.
Il
faut
se
souvenir
qu’en
remerciement
pour
leur
participation
active
à
ce
complot,
Me
Marc
BONNANT
(2007)
et
son
associé
Dominique
WARLUZEL
(2005),
ont
été
récompensés
de
la
médaille
de
“Chevallier de la Légion d’Honneur par le Gouvernement français.
C’est
à
partir
de
cette
plainte
du
29
janvier
1996
que
l’Office
Fédéral
de
la
Police
(FedPol)
a
eu
à
intervenir,
probablement
en
regard
de
l’aspect
international
de
l’affaire,
pour
laquelle
les
comptes
bancaires
étaient
répartis
sur toute la planète.
Le
dossier
«
Money
Planes
»
relatif
au
transfert
de
milliers
de
milliards
de
dollars
à
destination
de
la
Mafia
Russe
pour
corrompre
le
Gouvernement
ELTSIN
(YELTSIN)
et
prendre
le
contrôle
de
l’économie
russe
(YUKOS,
GAZPROM,
etc.),
avec
l’implication
de
la
CIA
et
du
banquier
Edmond
SAFRA
assassiné
le
03.12.1999
est
édifiant...
Il
faut
préciser
qu’en
1999
quand
Joseph
FERRAYÉ
s’est
adressé
pour
la
première
fois
à
FedPol
,
l’Office
fédéral
de
la
Police
était
encore
dirigé
par
M.
Anton
WIDMER,
puisque
le
fribourgeois
Jean-Luc
VEZ
n’a
pris
cette
fonction qu’à partir de l’année 2000, bien qu’il ait été
vice-Directeur de FedPol les 4 années précédentes.
Joseph
FERRAYÉ
avait
été
mis
en
relation
avec
l’Agent
Kurt
SENN
en
janvier
1999
,
par
l’intermédiaire
de
Damien CALLAMAND, responsable à Interpol Lyon.
Fin
janvier
1999,
FERRAYE
a
pris
rendez-vous
avec
Kurt
SENN
et
s’est
rendu
à
son
bureau
de
FedPol
à
Berne.
Après
que
FERRAYE
ait
expliqué
son
dossier,
Kurt
SENN
a
demandé
un
délai
de
deux
semaines
pour
lui
permettre d’investiguer.
Au
terme
de
ce
délai,
Kurt
SENN
a
communiqué
à
FERRAYE
:
«
J’ai
les
documents
qui
prouvent
la
corruption
de
tous
vos
avocats,
accordez-moi
encore
3
jours
pour
que
je
puisse
parler
avec
mes
supérieurs
afin
de
voir
quelles
sont
les
mesures
que
nous
devons
prendre
ici
dans
le
cadre
de
l’Office
Fédéral
pour
nous
opposer
aux
corruptions et blanchiment qui se passent à Genève
».
Joseph
FERRAYE
a
rétorqué
que
ce
n’était
pas
la
peine
de
parler
avec
ses
supérieurs,
qu’il
devait
le
voir
pour
en parler et obtenir ces documents.
Kurt
SENN
a
répondu
:
«
Ne
vous
en
faites
pas,
je
vous
les
donnerai,
mais
permettez-moi
dans
un
premier
temps de parler avec mes supérieurs »
.
Au
terme
des
3
jours,
FERRAYE
a
rappelé
SENN
qui
lui
a
fixé
rendez-vous
de
suite
à
Berne.
Lors
de
l’entretien
à
son
bureau,
SENN
avait
un
dossier
de
près
de
7
cm
d’épaisseur.
SENN
a
confirmé
que
ses
supérieurs
ne
voulaient
pas
entrer
dans
les
corruptions
cantonales,
qu’elles
étaient
de
la
compétence
des
Cantons…
Il
a
précisé qu’il allait envoyer le dossier à BERTOSSA.
FERRAYE
a
objecté
«
surtout
pas
à
BERTOSSA
!
»
expliquant
que
tout
disparaissait
du
Parquet
de
Genève
et
que BERTOSSA était déjà corrompu.
SENN
a
répondu
qu’il
pouvait
envoyer
le
dossier
à
n’importe
quelle
autre
instance
juridique,
mais
qu’il
ne
pouvait
pas le remettre à FERRAYE. Face à son refus, FERRAYE n’a pas pu insister !
Quelques
jours
plus
tard,
FERRAYE
a
demandé
à
Damien
CALLAMAND
de
convaincre
SENN
de
lui
remettre
les
pièces.
CALLAMAND
a
confirmé
de
suite
à
FERRAYE
que
suite
à
sa
discussion
avec
Kurt
SENN,
ce
dernier
lui
a
confirmé qu’il les avait déjà envoyés à BERTOSSA.
Le
19
février
1999,
FERRAYE
a
confirmé
par
Fax
à
BERTOSSA
la
transmission
officielle
par
Kurt
SENN,
des
pièces
prouvant
la
corruption
de
ses
avocats.
Ce
courrier
a
également
été
transmis
en
courrier
recommandé
le
22 février 1999.
Le
23
février
1999
dans
sa
réponse,
BERTOSSA
n’a
pas
contesté
avoir
reçu
les
pièces
de
Kurt
SENN,
mais
signale
qu’il
ne
peut
pas
se
substituer
à
un
juge
d’instruction
en
charge
de
la
procédure.
Ainsi
BERTOSSA
confirme qu’il a remis les pièces reçues de Kurt SENN à
Christine JUNOD.
Pour
avoir
la
confirmation
de
l’envoi
des
documents
par
SENN
et
le
moyen
de
le
prouver,
FERRAYE
a
fait
appel
à
Francis
MAYORAZ
(comptable
au
Bureau
Genevois
d’adresse)
pour
appeler
Kurt
SENN
et
l’enregistrer.
SENN
a confirmé l’envoi et FERRYE en détient l’enregistrement.
SENN
a
confirmé
à
nouveau
les
mêmes
faits
à
la
journaliste
New-yorkaise
Lucy
KOMISAR
lors
d’un
entretien
téléphonique
du
7
février
2002,
dont
transcription
et
traduction
de
l’entretien.
J’avais
personnellement
rencontré
Lucy
KOMISAR
à
mon
domicile
durant
toute
une
journée
et
j’ai
pu
constater
qu’elle
avait
une
connaissance très large de l’affaire, basée sur ses propres recherches.
Nous
pouvons
retenir
des
faits
précités,
que
si
Kurt
SENN
a
fait
volte-face
et
a
trahi
son
devoir
de
fonction
pour
satisfaire
les
attentes
du
crime
organisé,
c’est
qu’il
a
probablement
été
contraint
de
répondre
aux
sollicitations
des hautes instances de la
Franc-Maçonnerie
transmises par son Chef
Jean-Luc VEZ.
Il
faut
rappeler
que
Jean-Luc
VEZ
a
rejoint
le
haut
lieu
de
la
Franc-Maçonnerie
qu’est
le
WORLD
ECONOMIC
FORUM
dont
le
siège
est
à
Cologny
GE
et
que
si
l’on
en
croit
le
fichier
des
liens
basés
sur
M.
VEZ,
sa
famille
et ses “Frères” semblent avoir pris de la distance avec la lutte contre le blanchiment...
Les
Lecteurs
comprendront
que
quand
le
Chef
de
FedPol
trahit
son
Devoir
de
Fonction,
la
responsabilité
civile
de la Confédération est engagée et en l’occurrence, il s’agit de centaines de milliards de francs...
Toute
cette
situation
nous
aide
à
mieux
comprendre
pourquoi
les
Autorités
fédérales
jouent
à
la
politique
de
l’Autruche
et
ne
veulent
pas
reconnaître
les
faits.
Ils
sont
tous
englués
dans
la
corruption
et
le
blanchiment
et
la
Franc-Maçonnerie
qui
les
contrôle
a
pour
habitude
“d’accidenter”
ou
de
“suicider”
ceux
qui
ne
respectent
pas
le
serment
prêté envers la Secte satanique.
Force
est
de
constater
que
le
Conseil
Fédéral,
Autorité
directoriale
et
exécutive
Suprême
de
la
Confédération au sens de l’Art. 174 Cst, se trouve au coeur du problème !
Prenons
l’exemple
d’UBS...
La
Schweizerische
Bankgesellschaft
(SBG)
CH-020.3.923.521-9
avait
été
inscrite
au
registre
du
commerce
le
28
octobre
1912.
Elle
a
été
radiée
le
29
mars
2006
alors
que
la
fusion
SBS/SBG
qui
a
donné
naissance
à
la
nouvelle
UBS
est
intervenue
en
1998...
Y
a-t-il
eu
8
ans
d’activité
cachée ?
Christoph
BLOCHER
(UDC)
a
été
inscrit
comme
Administrateur
au
Registre
cu
Commerce
de
la
banque
(SBG/UBS)
CH-020.3.923.521-9
le
8
août
1991.
Il
a
été
radié
deux
ans
plus
tard
le
1er
septembre
1993.
Cette
période
coïncide
exactement
avec
celle
durant
laquelle
UBS
(comme
CREDIT
SUISSE,
les
banquiers
privés
suisses
et
d’autres),
s’activaient
pour
faire
transiter
les
fonds
des
royalties
escroquées
en
centaines
de
milliards
de
dollars...
Dans
son
documentaire
“L’expérience
BLOCHER”,
le
Tribun
zurichois
communique
qu’il
avait
fait
construire
117
usines
en
Asie
à
la
même
période.
Toujours
à
cette
époque,
il
siégeait
dans
la
société
Wunderly
Immobilien-
und
Verwaltungs
AG
CH-020.3.929.046-1
à
Meilen.
Plus
tard
Mark
BRUPPACHER
,
avocat
à
Zürich
qui
avait
la
signature
individuelle
pour
tous
les
virements
relatifs
aux
transferts
des
fonds
escroqués,
entre comme administrateur dans cette même société...
Johann
SCHNEIDER-AMMANN
(
PLR
)
a
lui
aussi
siégé
au
Conseil
d’administration
de
(SBG)
CH-020.3.923.521-9
où
il
a
été
inscrit
au
RC
le
1er
septembre
1993
et
n’a
pas
été
radié
avant
la
dissolution
de
la
société
par
fusion...
Dès
lors,
la
société
JERFIN
basée
à
Jersey
GB
qui
a
été
active
de
1996
à
2009
et
aurait
géré
pour
le
AMMANN
Group
une
fortune
de
264
millions,
a-t-elle
uniquement
servi
à
de
l’optimisation
fiscale
?
Quand
je
raconte
cette
histoire à mon chien, il se roule parterre...
N’est-il pas temps pour le Président de la Confédération helvétique de démissionner ?
Lors
de
l’escroquerie
des
royalties
en
1991
-
1992,
la
Conseillère
Nationale
Martine
BRUNSCHWIG-GRAF
(
PLR
)
était
à
la
tête
du
Département
des
Finances
de
Genève.
Elle
siégeait
au
Conseil
d’administration
de
la
Société
WILSDORF,
propriétaire
de
ROLEX,
aux
côtés
du
Notaire
genevois
Pierre
MOTTU
auteur
des conventions qui ont permis la ventilation des fonds escroqués après le premier séquestre.
Micheline
CALMY-REY
(
PS
)
a
repris
le
Dépt
des
Finances
du
Canton
de
Genève
au
1er
janvier
1994
alors
que
les
fonds
des
royalties
étaient
séquestrés
et
que
les
stratégies
pour
les
soustraire
aux
escrocs,
en
faveur
de
tous
les
voyous
Francs-Maçons
qui
s’en
sont
emparés
étaient
mises
en
place. Le seul qui n’a pas eu droit à un centime, était Joseph FERRAYÉ.
Le
1er
janvier
2003,
soit
9
ans
plus
tard
et
sans
être
connue
des
membres
des
Chambres
fédérale,
sans
aucune
expérience
de
la
politique
fédérale,
l’assemblée
fédérale
l’a
nommée
Conseillère
fédérale...
C’est
vraiment
du
n’importe
quoi...
et
ça
dénote
à
quel
point
la
politique
suisse
est
corrompue
comme
l’a
déclaré
le vice-Président du
PDC
Dominique DE BUMAN..
.
L’avocat
Marc
BONNANT
s’était
opposé
à
ce
que
Joseph
FERRAYÉ
soit
indemnisé.
Il
avait
argumenté
envers
ses
complices
:
“Si
vous
lui
donnez
un
seul
Dollar,
il
l’utilisera
contre
vous,
pour
vous
faire
condamner...”
Belle
morale
de
celui
qui,
avec
Dominique
WARLUZEL
,
avait
rédigé
la
plainte
par
laquelle
ils
avaient
obtenu
le
séquestre
de
la
totalité
des
royalties
(des
centaines de milliards de dollars)...
Dans
son
audition
du
03
avril
1996
(page
4)
,
le
Notaire
Pierre
MOTTU
auteur
des
conventions
qui
lui
ont
permis,
ainsi
qu’à
ses
complices,
de
prendre
le
contrôle
des
royalties,
déclarait
:
«
...
de
mémoire,
je
puis
dire
que
les
droits
d’enregistrement
s’élevaient
à
20
à
22
mios
en
faveur
de
l’Etat
de
Genève,
Me
SAINT-HILAIRE
devait
recevoir
8
mios,
mon
Etude
entre
3
et
4
mios
et
le
solde
que
je
ne
connais
pas
précisément,
aux
autres
avocats.
J’ai
tenu
à
ce
que
les
droits
soient
payés à Genève
et à ce que les actes y soient
enregistrés officiellement ».
Dans
la
réalité,
les
chiffres
déclarés
par
Pierre
MOTTU
lors
de
l’audition
susmentionnée
devaient
être
multipliés
par
mille.
Dans
la
plainte
parallèle
du
29
janvier
1996
(Point
48)
rédigée
par
Me
BONNANT
à
l’insu
de
Joseph
FERRAYÉ,
on
constate
que
l’avocat
BONNANT
fait
état
des
montants
réels
touchés
par
Pierre
MOTTU
et
qu’une
somme
de
USD
3’143’466’000.-
était
attibuée
à
l’office
notarial...
!!!
Il
est
précisé
que la société
ILONA International SA disposait de USD 13,569 milliards
à répartir !
Il
est
aujourd’hui
évident
et
surtout
logique,
que
tous
les
conseillers
fédéraux
depuis
l’Appenzellois
Arnold
KOLLER
(
PDC
)
et
le
Tessinois
Flavio
COTTI
(
PDC
)
qui
est
aussi
membre
du
WEF
(tous
deux
se
sont
retirés
en
1999)
ont
été
corrompus
dans
cette
affaire
ou
pour
ceux
qui
ne
l’auraient
pas
été,
ont
eu
connaissance
des
faits
exacts !
... voir le
fichier de 9’190 pages
basé sur la seule Société World Economic Forum.
Mesdames
les
Conseillères
fédérales,
Messieurs
les
Conseillers
fédéraux,
la
“collégialité”
et
le
serment
Franc-Maçon
que
vous
avez
prêté,
vous
contraignent-ils
à
vous
murer
dans
votre mutisme
?
Sachez
que
tôt
ou
tard
votre
complicité
contribuera
à
nuire
à
l’intérêt
du
Pays
!
Vous
engagez
ainsi
la
responsabilité
de
la
Suisse
pour
des
centaines
de
milliards
de
francs
qu’elle
sera
incapable
d’assumer
!
Vous conduisez la Suisse à sa faillite !
Les
Chambres
fédérales
sont
un
repair
de
Francs-Maçons
!
Avez-vous
été
ainsi
nommé(e)s
par
vos
paires
parlementaires
au
poste
de
Conseiller(ère)s
fédéraux(rales),
pour
garantir
au
Crime
Organisé
en
Bande,
sous
contrôle de la Franc-Maçonnerie, de pouvoir évoluer en toute sérénité et en toute impunité ?
Devons-nous
comprendre
que
c’est
pour
offrir
à
la
Franc-Maçonnerie
le
contrôle
sur
l’Etat,
que
réside
la
volonté
des partis politiques de vous élire sans que le Peuple ne puisse intervenir ?
C’est en tout cas l’image que vous faites passer !
Si
tel
n’est
pas
le
cas,
c’est
aujourd’hui
déjà
que
les
individus
dénoncés
doivent
être
placés
sous
enquête
pénale.
Mais
pour
cela,
peut-être
faut-il
au
préalable,
remplacer
celui
qui
rejette
systématiquement
les
plaintes
contre le crime organisé, votre
Procureur général Michael LAUBER
?
Reconnaissez
les
faits
dès
aujourd’hui
et
nous
accepterons
de
négocier
la
responsabilité
de
la
Suisse,
que
vous
et
vos
prédécesseurs
avez
engagée.
Ce
ne
devrait
pas
être
aux
Contribuables
d’assumer
vos
forfaitures
.
Nous
vous
accordons
un
ULTIME
délai
jusqu’au
31
mars
2016
pour
entrer
en
matière.
Dès
le
1er avril 2016, plus rien ne sera négociable !
Une
chose
est
certaine,
comme
administrateurs
de
SBG/UBS,
les
deux
Conseillers
Fédéraux
cités
plus
haut
et
Micheline
CALMY-REY
au
Conseil
d’Etat
de
Genève,
n’ont
pas
pu
ignorer
l’escroquerie
des
milliards
de
dollars
qui
était
en
cours.
E
même
si
tel
avait
été
le
cas,
au
vu
de
leur
fonction,
ils
en
porteraient
quand
même
la
responsabilité !
BernLeaks