Michel BURDET
Worldcorruption.info
BernLeaks
banquiers suisses
des escrocs par métier
Historique
Vente
de
gré
à
gré
illégale
Art
143b
LP
-
Escroquerie
(Art.
146
ss
CPS
-
Atteinte
astucieuse
aux
intérêts
pécuniaires
d’autrui
Art.
151
ss
CPS
-
Gestion
déloyale
Art.
158
CPS
-
Faux
dans
les titres Art. 251 ss CP - Fausse déclaration d’une partie en justice Ar. 306 ss CP
de :
CHF 1’834’816.10
Un
des
objectifs
de
la
LDFR
consiste
à
ne
pas
démanteler
un
domaine
agricole.
Or,
on
constate
dans
la
présentation
faite
lors
de
l’assemblée
des
créanciers
(voir
lien
précédent)
,
que
le
Préposé
de
l’OPF
Gilbert
LAURENT
tenait
justement
à
démanteler
les
deux
domaines,
“principalement
celui
de Valeyres-sous-Ursins”
...
Rien
jusqu’à
ce
jour,
ne
nous
permettait de comprendre pourquoi !
Le Préposé Gilbert LAURENT
et François GRIN, frère de
l’acquéreur, cousin de la Préfète
Pierrette ROULET-GRIN, sont
Francs-Maçons et membres de
la Loge “Fraternité”
d’Yverdon-les Bains !
Ce
n’est
que
le
27
décembre
2016
en
apprenant
que
François
GRIN,
le
frère
de
l’acquéreur
des
terrains
de
Valeyres
est
Franc-Maçon,
que
tout
est subitement devenu très clair...
Le
9
septembre
1999
,
Gilbert
LAURENT
a
déposé
une
demande
de
démantèlement
des
domaines
à
la
Commission
Foncière,
sous
prétexte
que
cette
solution
était
le
seul
moyen
qui
allait
permettre
de
dédommager les créanciers...
Le
23
novembre
1999
,
une
offre
a
été
réceptionnée
au
nom
de
Philippe
GRIN
(voir
remarque
en
rouge
plus
bas),
qui
soulève
l’éventualité
d’un
faux
dans
les
titres
et
usurpation
d’identité :
1. L’expéditeur se présente comme
M. Philippe GRIN dans l’adresse.
2. La lettre avec timbre de réception
du 23.11.1999 n’est pas signée
3. Elle fait référence à plusieurs
entretiens
4. Sur la page 2 de l’offre,
l’écriture
détaillant
les
parcelles
est
celle
d’un collaborateur du Registre
foncier ou de l’OPF, mais la
dernière ligne manuscrite est
celle de François GRIN, frère
En
parlant
d’éthique
et
de
morale
aux
assemblées
des
actionnaires
d’
UBS
SA
et
de
CREDIT
SUISSE
,
Marc-Etienne
Burdet
avait
provoqué
quelques
applaudissements.
Mais
il
pensait
ne
pas
avoir
réussi
à
ébranler
les
deux
Présidents
des
banques
helvétiques.
En
tant
que
petit
actionnaire,
il
s’était
fixé
la
mission
de
démontrer
aux
deux
Présidents
Rainer
E.
GUT
de
CREDIT
SUISSE
et
Alex
KRAUER
d’UBS
SA,
que
leurs
services
avaient
abusivement
consolidé
des
crédits
en
blanc
(crédits
sans
garantie)
sous
forme
d’hypothèques
pour
les
transférer
ensuite
à
Michel
BURDET,
grâce
à
la
complicité
du
Député
vaudois
et
Franc-Maçon
Michel MOUQUIN.
La
donation
négative
totale
selon
acte
du
29
décembre
1992
s’est
montée à :
CHF 1’310’183.65
Totalité
des
dettes
après
déduction
de la valeur de rendement :
CHF 870’500.65
La
LDFR
(Loi
fédérale
sur
le
droit
foncier
rural)
en
vigueur
en
1991.
interdisait
pourtant
l’acquisition
d’une
entreprise
agricole,
lorsque
le
prix
était surfait
(Extrait LDFR)
.
Au
surplus,
après
une
séance
de
la
Commission
Foncière
Rurale
(CFR)
du
1er
mai
1987,
une
interdiction
d’aliéner
avait
été
inscrite
au
Registre
Foncier
le
2
février
1988
avec
restrictions
au
sens
de
la
L
oi
fédérale
sur
le
D
ésendettement
de
D
omaines
A
gricoles
(LDDA).
Les
termes
de
cette
Loi
abrogée
en
1991,
ont
été
repris
dans
la
LDFR.
Ces
contraintes
étaient
exécutoires
comme
on
le
voit
sur
les
extraits
RF concernés
.
Alors,
comment
le
Notaire
Michel
MOUQUIN,
de
surcroît
Député
PLR
,
a-t-il
pu
en
1992,
d’abord
faire
enregistrer
des
hypothèque
sur
un
bien agricole surendetté ? D’autant
plus
que
les
parcelles
étaient
frappées
d’une
interdiction
d’aliéner
avec
un
endettement
bloqué
en
fonction
de
la
valeur
de
rendement
.
Ensuite,
comment
le
Député
Notaire
Michel
MOUQUIN
a-t-il
pu
ensuite
transférer
ce
domaine
hypothéqué
et
surendetté,
à
un
nouvel
exploitant,
alors que la LDFR l’interdisait ?
Par
ce
comportement
criminel,
le
Député
et
Notaire
MOUQUIN
-
en
qui
Michel
BURDET
avait
placé
sa
confiance
-
a
réalisé
les
chefs
d’accusations
d’Infractions
contre
le
patrimoine,
au
sens
des
Art.
137
ss
CPS
et
de
Gestion
déloyale
Art.
251
ss du Code Pénal Suisse.
Le
Député
MOUQUIN
n’ignorait
pas
que
l’Etat
de
Vaud
endosse
la
responsabilité
des
agissements
criminels de ses Notaires...
Avec
un
tel
surendettement,
il
était
évident
pour
tout
professionnel
(Prometerre
-
CFR
-
Registre
Foncier,
etc.)
qui
ont
couvert
cette
donation
négative,
que
le
nouvel
exploitant
n’avait
aucune
chance
d’assumer
les
charges
de
son
exploitation.
Trois
ans
après
la
donation,
les
premiers
commandements
de
payer
sont
arrivés.
Michel
BURDET
avait
réussi
à
assumer
les
intérêts
de
plus
de
CHF
100’000.-
par
an
,
mais
la
chute
des
revenus
des
produits
agricoles est passée par là...
L’office
des
Poursuites
dirigée
alors
par
le
Préposé
LAURENT,
Franc-
Maçon
membre
de
la
Loge
Fraternité
d’Yverdon-les-Bains
(rue
Pestalozzi
7)
avait
été
chargé
de
la
saisie
des
deux
domaines
situés
à
Orzens
(ferme
photo
ci-dessus)
et
à
Valeyres-sous-Ursins.
Valeurs estimées :
Orzens : CHF 1’187’000.-.
Valeyres : CHF 700’000.-.
Valeurs
de
rendement
globale
des
domaines (selon lien précité) :
CHF 440’000.-.
L’état
de
collocation
présenté
à
l’assemblée
des
créanciers
du
27.07.1999,
faisait
état
d’un
passif
Franc-Maçon de Philippe
GRIN, acquéreur au final du
domaine de Valeyres.
Le
26
février
2000,
Michel
BURDET
avait
eu
un
entretien
chez
lui
avec
Philippe
GRIN
qui
lui
avait
annoncé
vouloir
retirer
son
offre.
Quelques
jours
plus
tard,
le
retrait
n’ayant
pas
été
confirmé,
Michel
BURDET
lui
a
téléphoné.
L’épouse
de
Philippe
GRIN
lui
a
répondu
que
son
mari
n’avait
jamais
déposé
d’offre
écrite !
Le Préposé aux Poursuites
Gilbert LAURENT
magouille en faveur d’un
Frère de Loge
Pour
justifier
la
vente
des
terrains
de
Valeyres
à
la
famille
de
son
“Frère”
de
Loge,
le
Préposé
Franc-Maçon,
Gilbert
LAURENT
a
dû
jouer
astucieusement...
On
a
vu
ci-dessus
les
estimations
des
domaines
fixées
par
l’OPF
en
1998.
Au
sens
de
l’Art.
143b
LP,
des
ventes
de
gré
à
gré
ne
pouvent
donc
pas
être
envisagées
si
tous
les
intéressés
n’y
consentent
pas
et
si
les
offres
sont
inférieures
aux
estimations de l’OPF.
Pour contourner cette clause
impérative en faveur de la famille
de son “Frère” de Loge, Gilbert
LAURENT a cherché le moyen
d’agir très astucieusement.
Après
la
prolongation
du
concordat,
Michel
BURDET
s’était
approché
de
l’Agent
Immobilier
BOBST
pour
trouver
un
acquéreur
pour
la
propriété
de
Valeyres,
soit
pour
la
seule
parcelle
RF
19
qui
comportait
la
maison
d’habitation
un
rural
et
un
pré.
Il
aurait
ainsi
pu
continer
à
exploiter
le
domaine
sans
le
démanteler.
Un
couple
était
sur
le
point
de
signer
les
actes
d’achat.
Par
cette
vente,
l’endettement
global
aurait
alors
été
réduit
à
CHF
820’000.-,
montant
agréé
par
la
CFR
et
la
Banque
Cantonal
Vaudoise
avait
d’ores
et
déjà
donné
son
accord
pour
la
reprise
des
hypothèques
aux
créanciers
gagistes
existants,
les
Voyous UBS et Credit Suisse.
Au
mois
de
Juillet
1998,
l’Agent
immobilier
BOBST
avait
organisé
une
rencontre
à
l’OPF
avec
toutes
les
parties,
pour
obtenir
l’accord
du
Préposé
à
cette
vente.
Tous
les
créanciers
auraient
été
payés
avec
cette solution...
Fourberies de Gilbert LAURENT
Acquéreurs insultés
Gilbert
LAURENT
est
entré
dans
une
fureur
terrible,
accusant
les
acquéreurs
potentiels
de
vouloir
démanteler
un
domaine
qui
n’avait
pas
lieu
de
l’être.
Il
allait
pourtant
(on
l’a
vu
plus
haut),
déposer
une
demande
de
démantèlement
le
09.09.1999
pour
en
faire
profiter
la
famille
de
son
“Frère”
de
Loge
et
“enregistrer”
une
offre
dans
ce
sens,
celle-là
même
non
signée
que
l’OPF
a réceptionnée le
23.11.1999
...
Le
Préposé
a
ensuite
menacé
de
faire
sauter
le
dossier
si
Michel
BURDET
insistait
dans
le
sens
de
cette
vente.
Il
entendait
par
là
activer
directement
la
procédure
de faillite...
Les
parents
BURDET,
présents
pour
donner
leur
accord
pour
l’abandon
de
leur
droit
d’habitation
et
qui
auraient
dû
quitter
la
maison
cas
de
vente
de
vente
(habitation
de
toute
manière
trop
grande
pour
eux
compte
tenu
de
leur
âge),
ont
ensuite
été
utilisés
comme
excuse
du
Préposé
LAURENT
qui
a
tenté
de
les
instrumentaliser
selon
les
termes
suivants...
Monsieur
et
Madame
BURDET,
il
y
a
combien
de
temps
que
vous
êtes
dans
votre
maison
?
Vous
pensez
vraiment
que
je
vais
vous
laisser
mettre
dehors
comme
ça ? Il n’y aura jamais rien à vendre.
Abassourdis
et
sans
comprendre
ce
qui
leur
tombait
sur
la
tête,
les
acquéreurs
potentiels
ont
quitté
le
bureau
du
Préposé
Franc-Maçon
LAURENT.
Vente de gré à gré
Créanciers trompés
Vente illégale - Faux dans les
titres
Pour
obtenir
l’accord
des
créanciers
pour
la
vente,
Gilbert
LAURENT
a
commis
un
faux
dans
les titres...
Il
ne
fallait
pas
éveiller
les
soupçons
des
créanciers
qui
auraient
pu
réagir
en
cas
de
vente
de
gré
à
gré
en
dessous
de
la
valeur
fixée
par
l’OPF.
Pour
tromper
et
pour
éviter
toute
question
des
créanciers,
le
Préposé
Gilbert
LAURENT
a
inversé la valeur des domaines.
Il
l’a
fait
au
départ
sur
l’inventaire
de
faillite
daté
du
3
mai
1999
que
les
créanciers
pouvaient
consulter,
puis
sur
le
rapport
présenté
à
la
2e
assemblée
des
créanciers
qui
s’est
tenue le
27 juillet 1999.
Les “juges” Francs-Maçons
complices des crimes
Dénoncé
dans
les
plaintes
pénales
qui
ont
suivi,
Gilbert
LAURENT
a
déclaré
aux
juges
d’instructions,
qu’il
s’agissait
«d’une
erreur
de
plume»,
argumentation
que
les
magistrats
«Frères»
de
Loge,
ont
immédiate
ment
pris
comme
argent
comptant
!
Le
dossier
a
été
confié
au
“juge”
d’instruction
cantonal
en
chef
Jacques
ANTENEN
,
devenu
depuis
lors
Commandant
de
la
Police
cantonale
vaudoise,
mais
aussi,
comme
on
le
verra
plus
bas,
accessoirement “Maître chanteur”...
Jean-Philippe BLOESCH
Orzens
Offre d’achat du 23.02.2000
Pour
poursuivre
sa
stratégie
de
démantèlement,
Gilbert
LAURENT
devait
disposer
de
l’offre
d’un
acquéreur
qui
correspondrait
aux
chiffres
inversés
(CHF
700’000.-)
qu’il
avait
stipulés
sur
l’inventaire
de
faillite.
Il
était
important
aussi
que
la
vente
d’Orzens
puisse
se
faire
en
premier,
puisque
en
vendant
le
domaine
au
prix
du
domaine
de
Valeyres,
il
allait
ensuite
pouvoir
proposer
le
démantèlement
du
domaine
de
Valeyres,
pour
que
les
créanciers
ne
se
rendent
pas
compte
de
sa
supercherie.
C’est
pour
cette
raison
que,
selon
les
propres
aveux
de
Jean-Philippe
BLOESCH,
Gilbert
LAURENT
a
refusé
la
première
offre
écrite
de
CHF
900’000.-
soumise
à
l’OPF.
Le
Préposé
a
demandé
à
ce
qu’il
la
reformule
sur
la
base
d’un
montant
de
CHF
700’000.-
correspondant
à
la
valeur
conforme
d’estimation
de
l’OPF.
C’est
pour
cette
raison
que
les
calculs
par
parcelle,
détaillés
dans
l’offre
BLOESCH
du
23.02.2000
,
ne
correspondent
plus
à
rien,
en
fonction
des
surfaces
qu’il
se
propose
d’acheter.
Même
les
surfaces sont fausses.
Jean-Philippe
BLOESCH
s’est
dès
lors
rendu
coupable
de
complicité
d’atteinte
astucieuse
aux
intérêts
pécuniaires
d’autrui
et
d’escroquerie
au
sens
des
Art.
146
et 151.1 CP.
La
vente
de
gré
à
gré
par
l’OPF
en
faveur
de
Jean-Philippe
BLOESCH
a
été
finalisée
par
l’acte
de
vente
du 13.09.2000
Philippe GRIN
Valeyres-sous-Ursins
Offre d’achat du 22.11.1999
Philippe
GRIN
n’était
pas
intéressé
par
la
ferme
de
Valeyres,
mais
seulement
par
les
parcelles
de
terrain.
C’est
ainsi
pour
faire
plaisir
à
son
“frère”
de
Loge,
que
le
Préposé
LAURENT
a
démantelé
le
domaine
de Valeyres-sous-Ursins.
La
totalité
des
terrains
agricoles
a
ainsi
été
cédée
pour
un
montant
total
de
CHF
272’683.-.
L’acte
de
vente
a
été signé le 02.11.2000.
La
parcelle
RF
19
comprenant
la
ferme
et
7’168
m2
de
terrain,
a
ensuite
été
cédée
pour
le
prix
de
CHF
240’000.-,
alors
que
le
Préposé
Franc-Maçon
LAURENT
avait
refusé
la
vente
de
la
même
parcelle
aux
acheteurs
trouvés
plus
tôt
par
Michel
BURDET,
qui
eux
s’étaient
engagés
à
verser
CHF 930’000.-
.
Préposé aux poursuites
Gilbert LAURENT (aujourd’hui
retraité) pratiquait
l’escroquerie par métier
Le
Préposé
aux
Faillites
d’Yverdon
les-Bains
pratiquait
l’escroquerie
par
métier
et
l’Etat
de
Vaud
est
responsable
civilement,
de
ses
crimes.
Dans
une
démarche
du
23
mars
2000
,
Michel
BURDET
avait
requis
de
pouvoir
reporter
la
date
de
vente
de
son
bétail.
Le
Démantèlement
des
domaines
allait
alors
offrir
des
opportunités
qui
auraient
permis,
selon
les
propres
estimations
du
Préposé,
de
couvrir
la
totalité
des
créances.
L’exploitant
aurait
alors
pu
garder
son
outil
de
travail
et
c’est
ce
qu’il
expliquait
dans
la
lettre
précitée.
Gilbert
LAURENT
qui
était
expert
en
manipulations
voulait
servir
son
«Frères»
de
Loge
et
n’a
pas
hésité
à
escroquer Michel BURDET.
Gilbert LAURENT a dissimulé des
actes pour garantir la vente à un
« Frère » de Loge
Lors
de
l’entretien
du
20
mars
2000
dont
il
est
fait
mention
dans
le
courrier
du
23
mars
2000,
Gilbert
LAURENT
savait
déjà
que
les
créanciers
gagistes
avaient
été
sensibles
aux
démarches
à
leur
encontre, par la famille BURDET.
Ceux-ci
voulaient
éviter
une
trop
mauvaise
Presse
et
avaient
abandonné
la
majorité
des
créances,
dans
un
courrier
daté
du
3
mars
2000
réceptionné
le
6
mars
à
l’OPF.
La
réponse
de
LAURENT
à
la
demande
de
Michel
BURDET
a
été
sans
appel...
un
«
NIET
»
singlant
comme
il
le
dit
dans
son
courrier
du
24
mars
2000
,
dans
lequel
il
prétend
qu’il
n’a
aucune
raison
ni
aucune
intention
de
modifier
en
quoi
que
se
soit
le
programme
des
réalisations.
Gilbert
LAURENT
avait
pourtant
toutes
les
raisons
d’ajourner
les
ventes,
puisque
sur
la
base
de
cette
lettre,
la
faillite
devait
être
abandonnée.
Michel
BURDET
avait
déjà
obtenu
les
crédits
de
la
BCV
et
l’accord
de
la
Commission
Foncière
(CFR),
et
aurait
pu
poursuivre
son
activité
sur
une
base
saine
et
tous
les
créanciers
auraient
été
indemnisés...
A
cause
de
Gilbert
LAURENT,
et
des
«
magistrats
et
politiciens
»
Franc-Maçons
complices,
les
créanciers
au
3e
rang
ont
perdu
des
centaines
de
milliers
de
francs
et
Michel
BURDET
a
récolté
des
actes
de
défauts
de
biens en conséquence.
Le
«
Mémoire
»
du
13
mars
2002
donne
une
idée
des
dizaines
de
plaintes
et
autres
procédures
judiciaires
engagées pour faire valoir leurs Droits par la famille BURDET.
Toutes
les
Instances
judiciaires,
du
Ministère
Public
(Juges
d’Instructions
cantonaux)
jusqu’au
Tribunal
Fédéral,
en
passant
par
les
Tribunaux
d’arrondissement,
le
Tribunal
Cantonal,
le
Tribunal
Neutre,
le
Grand
Conseil,
le
Conseil
d’Etat...
Tous
ont
eu
connaissance
de
ce
dossier
complet
et
se
sont
rendus
complices
des
crimes
commis
par
le
Préposé Gilbert LAURENT.
Un
des
fils
BURDET,
Inspecteur
de
la
Police
de
sûreté
qui
a
prêté
le
SERMENT
de
servir
les
Constitutions
Fédérale
et
Cantonale
et
qui
lui,
n’obéit
pas
à
la
“constitution”
Franc-Maçonne,
a
voulu
s’interposer
contre
les
CRIMES
commis
au
sein
de
l’Etat
par
des
fonctionnaires
qui
sont
de
vrais
criminels.
Il
a
subi
un
chantage
au
licenciement
après
près de 30 ans de bons et loyaux services !
Il
était
alors
convaincu
que
les
responsables
du
dossier
n’avaient
pas
compris
la
situation
et
était
beaucoup
trop
empreint
des
valeurs
de
l’Etat
de
Droit
au
service
duquel
il
a
consacré
près
de
30
années,
pour
imaginer
la
réalité
de
la situation...
J’ignore
même
si
aujourd’hui
il
a
pris
conscience
que
l’Etat
de
Vaud
n’est
en
définitive
gouverné
et
administré
que
par
des
voyous
et
des
criminels
qui
n’hésitent
pas
à
jouer
les
Maitres
chanteurs
lorsque
leurs
implications
dans
les
crimes peuvent être dévoilées.
Ces
individus
se
croient
au-dessus
des
Lois
et
ils
crachent
sur
l’Etat
de
Droit.
Une
récente
plainte
pénale
déposée
au
Tribunal
Pénal
Fédéral
le
24
décembre
2016
démontre
au
point
5
de
la
plainte,
comment
les
trois
individus
précités
ont
fait
chanter
un
Inspecteur
assermenté
de
la
Police
Cantonale
vaudoise,
pour
couvrir
leur
«
Frère
»
Franc-Maçon.
Jacqueline
DE
QUATTRO
a
été
la
première
avec
son
arrogance
habituelle,
à
lancer
la
salve
pour
faire
licencier
l’Inspecteur
assermenté
de
Police
qui
ne
voulait
que
faire
son
travail
et
respecter
le
SERMENT
pour
lequel
il
s’est
engagé
.
C’est
elle
qui
a
pris
la
décision
de
le
licencier
s’il
respectait
son
Devoir
de
fonction.
C’est
sur
ordre
du
Conseiller
d’Etat
Philippe
LEUBA
(un
vrai
Dictateur)
,
comme
on
le
voit
dans
le
rapport
de
la
Conseillère
d’Etat
du 20 mai 2009
(page 3), que DE QUATTRO a agi.
Philippe
LEUBA
,
membre
du
ROTARY
et
Zofingien
à
la
fois
-
comme
l’était
son
père
Jean-François
LEUBA
-
est
lui
aussi
un
individu
arrogant
et
colérique
qui
se
croit
au-dessus
des
Lois
constitutionnelles.
Elu
Conseiller
d’Etat
le
1er
avril
2007,
il
a
pris
la
tête
du
Département
de
l’Intérieur
(DINT)
le
1er
juillet
de
la
même
année.
C’est
lors
de
l’arrivée
de
Philippe
LEUBA
au
DINT
que
le
Département
concerné
a
repris
le
Service
pénitentiaire,
les
Archives
cantonales
et
l’Autorité
de
surveillance
des
fondations
...
(les
fondations
sont
un
excellent
moyen
de
blanchir
des
fonds
escroqués).
Jean-François
LEUBA
,
père
de
Philippe
(
ROTARY
et
Zofingien
lui
aussi)
,
après
avoir
été
Conseiller
d’Etat
vaudois,
a
été
Conseiller
National
de
1987
à
1998.
Dans
ce
cadre,
il
a
présidé
le
groupe
libéral
de
1991
à
1994
et
a
présidé
le
Conseil
National
en
1995.
Il
n’est
pas
inutile
de
préciser
que
c’est
durant
cette
période
que
les
royalties
FERRAYÉ
ont
été
escroquée
et
que
c’est
à
partir
de
1995
que
les
conventions
de
transfert
des
royalties
ont
été
établies par le
Notaire genevois Pierre MOTTU
, complice de
l’Avocat Marc BONNANT
, eux aussi Libéraux...
Il
est
un
fait
que
comme
Président
du
Conseil
National,
proche
du
Conseiller
Fédéral
Jean-Pascal
DELAMURAZ
(RAD)
de
surcroît,
Jean-François
LEUBA
ne
pouvait
pas
ignorer
les
dessous
de
l’escroquerie
des
royalties
et
la
présence
de
son
nom
dans
bon
nombre
de
sociétés
en
lien
direct
avec
l’escroquerie
et
le
blanchiment
des
fonds escroqués, en est une démonstration irréfutable.
Dès
lors,
je
n’ai
aucune
peine
à
faire
le
lien
entre
la
progression
économique
de
la
Suisse,
de
Vaud
en
particulier
avec
le
blanchiment
des
royalties.
Ce
n’est
du
reste
pas
le
fait
du
hasard
si
Philippe
LEUBA
est
aujourd’hui
chef
du
Département de l’Economie du Canton de Vaud.
C’est
encore
moins
le
fait
du
hasard,
quand
l’on
sait
que
les
trois
individus
cités
plus
haut,
sont
des
Maîtres
chanteurs
à
l’encontre
d’un
Fonctionnaire
de
Police
assermenté,
qui
ne
voulait
que
faire
son
travail
en
respectant
le
Serment qu’il a prêté.
Empêcher
et
menacer
par
un
chantage,
un
Fonctionnaire
assermenté
qui
veut
dénoncer
des
criminels
qui
agissent
en
bande
organisée,
faire
chanter
ce
Fonctionnaire
pour
préserver
leurs
intérêts
personnels
ou
ceux
de
membres
d’une
organisation
à
laquelle
ils
appartiennent,
relève
de
l’abus
d’autorité
(crime
poursuivi
d’office),
mais
aussi
de
haute
trahison
et
leur
comportement
démontre
des
personnalités
criminelles
qui
rejette l’Etat de Droit et mettent en danger la Démocratie et la sécurité du Pays.
En
conséquence,
les
pratiques
de
DE
QUATTRO,
LEUBA
et
ANTENEN
mettent
en
évidence
que
l’Etat
de
Droit dans le Canton de Vaud n’a plus cours. Dès lors, nous vivons dans une Dictature !
L’absence de l’Etat de Droit
c’est aussi lorsque les “juges” et “Procureurs” sont des criminels complices
Ils
sont
tous
complices
de
l’escroquerie
et
des
déboires
de
la
Famille
BURDET
et
se
sont
organisés
en
bande pour parvenir à leurs fins et couvrir leurs crimes
(alphabétiquement
-
liste non exhaustive) :
Jacques
ANTENEN
était
1er
juge
d’instruction
cantonal
lorsque
les
plaintes
à
l’encontre
des
escroqueries
et
des
faux
dans
les
titres
commis
par
le
Préposé
Gilbert
LAURENT
ont
été déposées. Il est aujourd’hui Commandant de la police VD.
Il
était
alors
assisté
par
le
juge
d’instruction
cantonal
Nicolas
CRUCHET
.
Lorsque
les
juges
ont
refusé
d’ouvrir
les
plaintes,
l’Inspecteur
BURDET
a
contacté
le
bureau
des
juges
d’instructions
pour
obtenir des explications.
Habitation proposée à la vente sur la parcelle RF 19 de
Valeyres-sous-Ursins