Birgit SAVIOZ
Worldcorruption.info
BernLeaks
mise
sous
tutelle.
Selon
l’avocat
bullois,
Birgit
SAVIOZ
aurait
versé
quelque
CHF
80’000.-
sur
les
comptes
UBS
416.416.03
P
et
UBS
416.416.M1
R
.
Dans
les
faits,
sur
la
seule
base
des
documents
en
notre
possession
et
nous
ne
disposons
pas
de
tous
les
relevés
bancaires,
on
constate
que
Birgit
SAVIOZ
a
concrètement
versé
CHF
104’300.-
sur
le
compte
03
P
et
CHF
12’600.-
sur
le
compte
M1
R,
soit
un
montant
total
de
CHF
116’900.-
contre les CHF 80’000.- annoncés au Tribunal.
»
Michel
TINGUELY
poursuit
en
affirmant
que
durant
la
même
période
1983-1988,
UBS
avait
débité
le
compte
hypothécaire
UBS
416.416.H1
C
de
CHF
75’005.85
et
qu’Aldo
FERRAGLIA
avait
quant
à
lui
versé
seul
CHF
131’732.15
sur
le
même
compte.
On
se
demande
ce
que
ce
débit
a
à
voir
avec
la
capacité
de
paiement
d’Aldo
FERRAGLIA. Un débit de compte hypothécaire ne signifie que facturation d’intérêts et d’amortissements.
»
Contrer
la
dernière
affirmation
sur
les
CHF
131’732.15
versés
par
Aldo
FERRAGLIA
aurait
pu
être
difficile
à
formuler,
puisque
nous
ne
disposons
pas
des
relevés
bancaires
pour
le
compte
hypothécaire,
hormis
les
avis
d’échéance périodiques à partir de 1987, comme on le voit sur le fichier
UBS 416.416.03 P
précité.
»
Mais
deux
choses
ressortent
clairement.
Birgit
SAVIOZ
a
versé
CHF
104’300.-
sur
ee
compte
03
P
et
Aldo
FERRAGLIA
laisse
quant
à
lui
apparaître
un
solde
débiteur
de
CHF
159.85.
Il
a
donc
plus
retiré
que
ce
qu’il
a
payé. Le paiement total des transformations apparaissant sur ce compte totalisant CHF 116’911.65.
»
Une
autre
observation
à
relever
est
que
malgré
le
financement
presque
total
des
transformations
par
Birgit
SAVIOZ,
le
solde
du
compte
03
P
laissait
apparaître
au
moment
de
la
consolidation,
un
solde
débiteur de
CHF 154’845.80.
»
L’astuce
d’UBS
pour
rembourser
les
dettes
d’Aldo
FERRAGLIA
en
spoliant
astucieusement
Birgit
SAVIOZ
a
consisté
à
faire
figurer
l’achat
de
la
propriété
pour
un
montant
de
CHF
300’000.-
et
l’hypothèque
initiale
de
CHF
220’000.-,
sans
y
inscrire
l’augmentation
hypothécaire
du
15
juin
1987
de
CHF
90’000.-,
portant
le
crédit
hypothécaire
à
CHF
320’000.-.
Ce
crédit
avait
été
mis
à
disposition
sur
le
compte
courant
UBS
416.416.04
K
d’Aldo
FERRAGLIA
pour
ses
besoins
personnels
et
on
verra
plus
bas
que
les
Banksters
d’UBS
SA
ne
manquent pas d’astuce et d’imagination pour escroquer leurs clients.
»
Mais
auparavant
revenons
au
compte
03
P.
La
consolidation
de
CHF
177’544.-
comprenait
non
seulement
la
différence
de
CHF
80’000.-
entre
les
CHF
300’000.-
pour
l’achat
de
la
propriété
et
le
crédit
hypothécaire
initial
de
CHF
220’000.-,
mais
comprenait
aussi
l’augmentation
du
crédit
hypothécaire
du
15
juin
1987
de
CHF
90’000.-.
Cette
consolidation
ne
comprenait
pas
le
crédit
du
22
avril
1983
dont
Birgit
SAVIOZ
n’avait
jamais
été
mise
au
courant
et
qui
avait
été
mis
à
disposition
d’Aldo
FERRAGLIA
pour
son
compte
courant.
»
A
noter
qu’après
la
consolidation
de
CHF
177’544.-,
Aldo
FERRAGLIA
a
encore
prélevé
CHF
12’150.-
pour
ses besoins personnels.
Regardons
maintenant
brièvement
les
virements
effectués
sur
le
compte
hypothécaire
dont
il
est
fait
mention
dans
la
demande
du
15
mars
1995
de
Me
TINGUELY,
pour
faire
croire
que
son
Client
était
solvable.
Michel
TINGUELY
nous
dit
qu’Aldo
FERRAGLIA
a
versé
seul
CHF
131’732.15.
Alors
retenons
ce
qui
suit
:
On
observe
sur
le
compte
transformations
416.416.03
P,
des
débits
pour
un
montant
de
CHF
54’559.00
.
En
outre
CHF
123’015.30
figurent
comme
retraits
d’espèces
sur
le
compte
UBS
416.416.04
K.
Ceci
nous
démontre
qu’Âldo
FERRAGLIA
n’assumait
ses
charges
que
par
des
crédits
et
transferts
d’un
compte
à
un
autre.
Des crédits qui ont été finalement mis à charge de Birgit SAVIOZ.
»
On
voit
dès
lors
que
l’argumentation
de
Michel
TINGUELY
selon
laquelle
Aldo
FERRAGLIA
a
versé
seul
CHF
131’732.15
n’était
qu’un
enfumage
auquel
s’est
prêté
le
Tribunal
pour
justifier
la
mise
sous
tutelle
de
Birgit
SAVIOZ dans le but qu’elle ne puisse pas revenir sur la procédure illégale de vente.
Les Banksters d’UBS SA escroquent par métier
»
Il
faut
observer
les
deux
confirmations
d’hypothèque
des
22
avril
1983
et
15
juin
1987
pour
trouver
l’astuce.
UBS
SA
a
accordé
le
22
avril
1983
à
l’insu
de
Birgit
SAVIOZ,
un
premier
crédit
supplémentaire
de
CHF
80’000.-
qui
portait
ainsi
le
crédit
hypothécaire
à
un
total
de
CHF
320’000.-.
Ensuite,
en
date
du
15
juin
1987
lors
de
la
consolidation
du
compte
transformations,
un
nouveau
crédit
supplémentaire
de
CHF
90’000.-
a
été
octroyé.
Mais
cette
fois-ci
par
magie,
malgré
l’augmentation,
le
total
annoncé
du
crédit
hypothécaire
n’augmente pas. Il continue à
stagner toujours à CHF 320’000.-.
»
C’est
seulement
aujourd’hui,
suite
à
l’appel
déposé
par
Michel
TINGUELY
contre
Marc-Etienne
BURDET
et
Gerhard
ULRICH
dont
l’audience
a
été
fixée
au
13
mai
2016,
que
le
dossier
a
été
repris
dans
son
ensemble
et il faut reconnaître que
l’escroquerie à laquelle Michel TINGUELY a contribué, était astucieuse.
»
Par
ce
procédé
voyou,
les
Banksters
d’UBS
SA
opèrent
des
transactions
comptables
criminelles
qui
leur
permettent
d’escroquer
leurs
Clients
sans
qu’ils
comprennent
comment.
Ensuite,
avec
la
complicité
des
juges
et
des
avocats
verreux,
ils
le
font
dès
lors
en
toute
impunité
et
pire
encore,
ils
arrivent
à
faire
condamner
publiquement
les
Clients
qui
veulent
faire
valoir
leurs
droits,
afin
de
dissuader
tout
le
monde
d’entreprendre
de
telles démarches.
»
Cette planification systématique du
Crime Organisé en Bande
n’a qu’un nom :
La Franc-Maçonnerie !
»
Ce
système
a
ainsi
permis
aux
Banksters
d’UBS
SA
et
à
leurs
Larbins
juges
et
avocats
de
mettre
à
charge
de
Birgit
SAVIOZ
un
crédit
“en
blanc*
de
CHF
80’000.-
accordé
à
Aldo
FERRAGLIA
le
22
avril
1983
et
mis
à
disposition
sur
le
compte
UBS
416.416.04
K
sans
que
Birgit
SAVIOZ
n’en
ait
été
informée.
Il
faut
comprendre
que
suite
à
la
consolidation
de
1987
le
crédit
de
1983
n’était
plus
un
crédit
hypothécaire
mais
un
simple
crédit
en
blanc...
Toutes
ces
opération
ont
été
pratiquées
sur
la
base
de
faux
dans
les
titres
dissimulés
pendant
10
ans
à
Birgit
SAVIOZ
en
la
nommant
Titulaire
et
responsable
de
comptes
dont
elle
ignorait
l’existence...
C’est
certainement
la
raison
pour
laquelle
Birgit
SAVIOZ
n’a
jamais
disposé
des
relevés
des
comptes
hypothécaire
et
courant
UBS
416.416.H1
C
respectivement
UBS
416.416
04
K,
contrairement
à
ce
que veut nous faire croire Me TINGUELY dans ce qu’il déblatère.
»
Continuons
la
lecture
de
sa
demande
de
tutelle
du
15
mars
1995.
Michel
TINGUELY
relève
l’existence
des
deux
comptes
UBS
416.416.H1
K
et
UBS
416.416.03
B
apparus
dans
les
pièces
et
dont
Birgit
SAVIOZ
n’avait
aucun
connaissance.
En
fonction
des
actes
cités
plus
haut
par
les
Banksters
et
autres
complices
qui
sont
intervenus
dans
cette
cause,
nous
sommes
toujours
persuadés
aujourd’hui
encore
qu’en
ce
qui
concerne
le
compte
UBS
416.416.H1
K
au
moins,
il
a
existé.
Nous
soupçonnons
que
l’attestation
sollicité
par
Michel
TINGUELY
du
15
novembre
1994
établie
par
UBS
SA,
n’était
qu’une
manipulation
de
plus
de
l’avocat
pour
parvenir à ses fins.
»
On
retrouve
effectivement
le
crédit
de
CHF
220'000.-
figurant
sur
l’ordre
de
transfert,
crédité
sur
le
compte
UBS
416.416.03
P
en
date
du
26.5.1983.
Lors
de
l'octroi
du
crédit
2e
rang
de
CHF
80'000.-
supplémentaires
accordés
à
Aldo
FERRAGLIA
et
mis
à
sa
disposition
sous
forme
de
compte
courant
(416.416.04
K)
utilisable
à
son
gré,
la
lettre
de
confirmation
ne
fait
aucune
mention
à
un
premier
rang...
Ce
compte
UBS
416.416.H1
K
correspondait
probablement
à
un
compte
antérieur
au
416.416.H1
C
qui
était
en
lien
avec
l'hypothèque
2e
rang
mentionnée
dans
l'octroi
du
27
avril
1983.
Notons
aussi
la
mention
d'une
hypothèque
préexistante
de
CHF
20'000.-.
S’agissait-il
d'un
premier
rang
existant
à
l'époque,
puisque
les
CHF
240'000.-
sont
accordés
en
2e
rang...Tout
laisse
penser
que
le
cpte
416.416.H1
K
a
bel
et
bien
existé
et
que
les
Banksters
d'UBS
SA
ont
menti dans leur lettre du 15.11.1994 requise tout spécialement par Michel TINGUELY.
»
Enfin,
pour
terminer
les
points
soulevés
dans
le
courrier
du
15
mars
1995
de
Me
TINGUELY,
relevons
le
millier
de
pages
de
mémoires
et
pièces
(dixit
TINGUELY
page
3)
auxquelles
il
fait
allusion.
Me
Michel
TINGUELY
déclare
que
Birgit
SAVIOZ
répète
des
sottises
qu’elle
transforme
en
Leitmotive
obsessionnels,
comme
une
sorte
de
litanie
incantatoire
qui
n’est
plus
le
fait
d’une
personne
sensée
en
mesure
de
défendre
ses indérêts et d’occuper les magistrats et avocats.
»
On
a
là
l’impression
que
Michel
TINGUELY
se
trouve
face
à
son
propre
miroir...
La
seule
demande
d’expertise
psychiatrique
requise
contre
lui
par
Me
Alain
VUITHIER
au
nom
de
Marc-Etienne
BURDET
démontre
à
quel
point
les
sottises
qu’il
dénonce,
le
Leitmotive
obsessionnels
ou
encore
la
litanie
incantatoire lui sont propre et comme il le dit si bien ne sont plus les faits d’une personne sensée.
»
Dès
lors
un
fait
est
certain...
s’il
y
a
eu
un
sot
dans
toute
cette
procédure
et
un
malade,
le
seul
qui
aurait
dû être mis sous tutelle était Me Michel TINGUELY lui-même.
Lancement judiciaire de la procédure de tutelle
»
Ensuite
de
la
demande
du
16
mars
1995
à
laquelle
il
se
réfère,
le
Président
du
Tribunal
de
la
Gruyère
Philippe
VALLET
s’est
adressé
par
courrier
du
21
mars
1995
à
la
Justice
de
Paix
de
Bulle,
pour
lancer
la
procédure de mise sous tutelle et demander une expertise psychiatrique de Birgit SAVIOZ.
»
La
réponse
de
Birgit
SAVIOZ
du
23
mars
1995
adressée
à
Philippe
VALLET
suite
à
la
convocation
du
Juge
de
Paix
démontre
qu’elle
est
loin
d’être
une
personne
sotte
selon
la
description
faite
par
Michel
TINGUELY
et
qu’elle a toute sa raison dans la synthèse des faits qu’elle présnte.
Les
juges
Francs-Maçons
fribourgeois
indiquent
un
faux
délai
de
recours
pour
empêcher
ensuite toute voie de recours contre leurs crimes...
»
Le
23
novembre
1995,
après
avoir
entendu
Birgit
SAVIOZ,
les
premiers
juges
ont
rejeté
son
recours
formé
contre
la
décision
de
la
Justice
de
paix
du
IIIème
cercle
de
la
Gruyère
à
Bulle,
qui
ordonnait
une
expertise
psychiatrique dans le cadre d’une éventuelle interdiction civile.
»
La
Chambre
des
tutelles
d’arrondissement
a
indiqué
qu’il
pouvait
être
recouru
contre
cet
arrêt
à
la
Chambre
des
tutelles
du
Tribunal
cantonal
dans
les
30
jours
dès
sa
réception.
L’arrêt
a
été
notifié
au
mandataire
de
Birgit
SAVIOZ
le
9
janvier
1996.
Le
7
février
1996,
par
l’entremise
de
son
mandataire,
Birgit
SAVIOZ
a
déclaré
recourir
contre
ledit
arrêt
dont
elle
a
conclu
à
l’annulation.
Le
lendemain
8
février
1996,
Birgit
SAVIOZ
a
posté
le même mémoire signé par elle-même.
»
Le
22
juillet
1996,
la
Chambre
des
tutelles
du
Tribunal
Cantonal
a
conclu
au
rejet
du
recours,
considérant
que
le
délai
était
dépassé.
Que
les
premiers
juges
avaient
indiqué
par
erreur
un
délai
de
recours
de
30
jours,
alors
que
selon
la
législation
le
délai
accordé
n’était
que
de
10
jours
.
Que
le
mandataire
de
Birgit
SAVIOZ aurait dû s’apercevoir de l’erreur...
»
Après
un
recours
perdu
au
Tribunal
Fédéral
jugé
par
je
“Frère”
Fribourgeois
Georges
SCYBOZ,
Birgit
SAVIOZ
a
fini
par
déposer
plainte
pénale
en
date
du
09
janvier
1997
auprès
du
Tribunal
Pénal
de
la
Sarine.
Etaient
alors
dénoncés
le
“Frère”
Louis
SANSONNENS,
le
“Frère
Philippe
VALLET
et
les
“Frangins*
de
la
Justice
de
Paix
du
IIIème
Cercle
de
la
Gruyère,
tous
pour
actes
illicite,
complicité
d’escroquerie
et
détournement de fonds, etc.
»
Cette
dernière
plainte
n’a
pas
dû
plaire
à
la
Confrérie
Franc-Maçonne
Fribourgeoise
qui
a
dû
faire
pression
sur
Me
Michel
TINGUELY,
auteur
de
l’initiative
de
la
mise
sous
tutelle.
C’est
assurément
pour
cette
raison
que
le
18
mars
1997
Michel
TINGUELY
tentait
une
conciliation...
Birgit
SAVIOZ
n’y
donnera
aucune
suite.
Le
24
juillet
2007,
le
“Frère”
André
PILLER
claissait
la
plainte
de
Birgit
SAVIOZ
jugeant
que
toutes
les
procédures
avaient
été
scrupuleusement
respectés...
(
sic
!
).
Encore
heureux
qu’il
n’ait
pas
considéré
la
plainte
comme
étant abusive
»
Par
prononcé
du
4
février
1999
,
le
Président
Pascal
L’HOMME
a
fini
par
levé
la
procédure
de
mise
sous
tutelle de Birgit SAVIOZ, reconnaissant qu’en aucun cas celle-ci ne devait être reconnue comme irresponsable.
»
Il
faut
donc
conclure
de
ce
qui
précède,
que
l’acte
de
vente
signé
par
Patricia
GRAND
au
nom
de
Birgit
SAVIOZ,
à
la
requête
de
Me
Michel
TINGUELY,
doit
être
considéré
comme
illégal.
Qu’au-delà
du
fait
que
Birgit
SAVIOZ
ne
devait
pas
être
écartée
de
l’acte
de
vente,
l’attestation
du
1er
décrmbre
1994
avant
même
la
fin
du
délai à respecter, rendait déjà cette inscription illégale.
»
Il
faut
également
considérer
que
les
intervenants
dans
cette
procédure
illégale
ont
agit
dans
le
seul
but
d’escroquer Birgit SAVIOZ, en abusant des droits que leur conférait leur fonction.
»
La
plupart
de
ces
individus
se
sont
en
outre
portés
plaingants
contre
les
VICTIMES
et
les
lanceurs
d’alertes,
pour
les
faire
condamner
pour
“calomnies
et
diffamations”
alors
que
TOUS
LES
FAITS
DENONCES
étaient
réels
et
démontrés.
Ils
n’ont
pas
hésité
à
faire
refuser
les
preuves
de
la
Vérité
en
instruction,
pour
que
la
Confrérie Franc-Maçonne puisse garantir l’impunité à ses “Frères” criminels.
»
Ceci
nous
démontre
qu’il
est
aujourd’hui
URGENT
de
radier
le
point
3
de
l’Art.
173.1
du
Code
Pénal
concernant
les
délits
contre
l’honneur
qui
prévoit
que
“
3.
L'inculpé
ne
sera
pas
admis
à
faire
ces
preuves
et
il
sera
punissable
si
ses
allégations
ont
été
articulées
ou
propagées
sans
égard
à
l'intérêt
public
ou
sans
autre
motif
suffisant,
principalement
dans
le
dessein
de
dire
du
mal
d'autrui,
notamment
lorsqu'elles
ont
trait
à
la
vie
privée ou à la vie de famille”.
»
On
constate
dans
TOUS
LES
DOSSIERS
mis
en
ligne
sur
WORLDCORRUPTION,
que
cet
article
n’a
pour
objectif
que
de
garantir
aux
Criminels
Francs-Maçons
qui
cancérisent
les
Institutions
suisses,
d’être
préservés
de
toute
procédures
pénales
à
leur
encontre
pour
les
crimes
qu’ils
commettent
au
bénéfice
de
leur
Secte
Satanique.
Cette
clause
ne
figure
dans
les
textes
du
Code
Pénal
,
que
pour
leur
garantir
leur impunité !
Conclusion
»
Les
VICTIMES
ne
peuvent
retrouver
la
sérénité
qu’à
partir
du
moment
où
le
crime
commis
contre
elle
a
été
publiquement
reconnu.
Ce
sera
donc
en
condamnant
les
criminels
directs
qui
ont
oeuvré
dans
l’escroquerie
contre
Birgit
SAVIOZ
que
cette
sérénité
pourra
être
retrouvée.
Mais
ce
n’est
pas
tout
!
Il
faut
aussi
que
ceux
qui
ont
abusé
de
leur
autorité
en
condamnant
les
lanceurs
d’alertes,
pour
garantir
l’impunité
aux
criminels,
soient
également
reconnus
coupables.
Citons
tous
particulièrement
dans
le
cas
présent
le
Président
Pierre-Henri
WINZAP
et
les
juges
Elisabeth
VERMEIL,
Georges
BORER
et
Jean-François
VUILLEUMIER.
»
Ensuite,
ll
revient
à
l’Etat,
responsable
des
actes
des
Criminels
Francs-Maçons
à
son
service,
d’indemniser
les VICTIMES en fonction des préjudices qu’elles ont subi, tant au niveau matériel que moral.
»
Mais
la
réparation
ne
doit
pas
s’arrêter
là...
La
dénonciation
des
crimes
commis
contre
Birgit
SAVIOZ
a
valu
aux
lanceurs
d’alerte
des
peines
de
prison
ferme
diverses,
Chacun
d’eux
a
dû
assumer
au
minimum
2
ans
de
séquestration.
»
L’heure
est
donc
aujourd’hui
au
décompte
des
indemnisations.
Pour
un
emprisonnement
indû
,
le
Tribunal
Fédéral
avait
accordé
à
Christian
PIDOUX
(rapt
LAGONICO)
-
fils
de
l’ex
Conseiller
d’Etat
vaudois
Philippe
PIDOUX
-
une
indemnisation
journalière
de
CHF
2’000.-
pour
chaque
jour
passé
à
tort
en prison.
»
Dès
lors,
les
fils
d’Oligarques
n’ont
pas
à
être
indemnisés
au-delà
de
n’importe
quel
Citoyen.
En
conséquence,
la
même
indemnité
doit
être
versée
à
tous
ceux
qui
auront
été
emprisonnés
illégalement
en
fonction
de
leurs
jours
de
séquestration.
A
titre
d’exemple,
pour
2
ans,
l’indemnisation
qui
ne
comprend
pas
le
tort
moral
et
les
autres
préjudices,
correspond
à
un
montant
de
CHF
1’460’000.-.
non
compris
les
intérêts
au
taux de 10 % depuis le jour de l’arrestation.
»
La
réparation
pécuniaire
pour
les
années
de
crime
judiciaire
enduré,
pour
le
tort
moral
et
la
réhabilitation
publique
devront
également
faire
partie
du
programme
de
réparations
auquel
nous
devrons adhérer.
»
Le
“nettoyage”
du
casier
judiciaire,
suppression
du
fichier
des
empreintes,
photos
de
détenus,
etc.
seront
aussi
des
conditions
impératives,
tout
comme
l’annulation
des
frais
judiciaires
et
des
poursuites et actes de défauts de biens pour les procédures.
Avocat à Bulle FR
ex juge militaire
Michel TINGUELY a été
dénoncé dans les années
2002 à 2006 par
Marc-Etaenne BURDET et
l’association
Appel-au-Peuple
lanceurs d’alertes dans
le cadre de l’escroquerie de
Birgit SAVIOZ domiciliée
alors dans le
Canton de Fribourg
Outre Birgit SAVIOZ
spoliée pour des centaines
de milliers de francs et
condamnée pour avoir “osé”
dénoncer ceux qui l’avaient
escroquée, les lanceurs
d’alerte ont été aussi
condamnés sur plaintes
pour calomnie et
diffamation lors d’un
procès arbitraire dit
d’Appel-au-Peuple. Lors de
cet “abattage” digne de la
pire dictature, Présidé par le
Franc-Maçon Pierre-Henri
WINZAP,
“Juges” et plaignants
étaient tous Francs-Maçons.
Ils ont requis des centaines
de milliers de francs au civil.
Principales Victimes de
Michel TINGUELY :
M-E Burdet - 18 mois
G. Ulrich - 21 mois
B. SAVIOZ - 7 mois (sursis)
D. CONUS - 50 mois alors
qu’il n’est jamais intervenu
dans la dénonciation du
dossier SAVIOZ...
Complot Maçonnique au service
du “Frère” Michel TINGUELY :
Trop c’est trop !
Affaire Birgit SAVIOZ
Suite
Tutelle
»
La
vente
signée
par
acte
du
17
août
1994
dans
lequel
Patricia
GRAND
secrétaire
de
la
Notaire
Emmanuelle
MÜRITH-KAELIN
avait
été
substituée
à
Birgit
SAVIOZ
contre
le
gré
de
la
co-propriétaire,
celle-ci
n’avait
pas
l’intention
de
laisser
ce
crime
impuni et Michel TINGUELY l’avait bien compris.
»
Sans
nouvelle
sur
la
vente
de
son
immeuble,
la
Notaire
MÜRITH-KAELIN
ne
lui
ayant
pas
transmis
les
actes,
Birgit
SAVIOZ
s’était
adressée
au
Registre
foncier
en
date
du
14
mars
1995
,
comme
le
démontre
la
quittance
de
CHF
20.-
des
frais
acquittés pour avoir une copie.
»
Le
“
ROI”
TINGUELY
qui
ne
supporte
pas
qu’on
s’oppose
à
lui
ou
qu’on
lui
“désobéisse”...
devait
avoir
prévu
l’intervention
de
Birgit
SAVIOZ
et
organisé
son
service
de
renseignements
au
sein
de
l’Etat.
A
la
minute
où
Birgit
SAVIOZ
a
requis
une
copie
de
l’acte
de
vente
au
Registre
Foncier,
il
en
a
été
informé.
Dès
le
lendemain,
il
a
sollicité
ses
“Frères”
du
Tribunal
de
la
Gruyère,
pour
que
Birgit
SAVIOZ soit mise sous tutelle et ainsi hors d’état de lui nuire !
»
La
demande
du
15
mars
1995
de
Michel
TINGUELY
(page
5)
ne
laisse
aucun
doute sur ses intentions comme le démontre l’extrait ci-dessous :
»
Fidèle
à
son
comportement,
Me
Michel
TINGUELY
n’a
pas
hésité
à
trahir
les
faits,
non
plus
pour
défendre
son
Client
Aldo
FERRAGLIA,
mais
bien
pour
se
couvrir
de
tous
les
abus
qu’il
avait
commis
pour
obtenir
la
vente
illégale
de
la
propriété
de
Birgit
SAVIOZ.
L’illégalité
de
cette
vente
avait
du
reste
été
confirmée
par
le
Prof.
Denis
PIOTET,
aujourd’hui
Juge
assesseur
au
Tribunal
Cantonal
du
Canton
de
Vaud dans une expertise du 28 octobre 2006.
»
Cette
expertise
établie
pour
libérer
les
lanceurs
d’alerte
lors
du
procès
dit
d’Appel-au-Peuple
du
30
octobre
2006,
tous
accusés
de
calomnie
et
diffamation,
a
été
écartée
par
le
Tribunal
de
l’Arrondissement
de
Lausanne,
constitué
de
juges
Francs-Maçons qui voulaient la peau des dénonciateurs...
»
De
nombreuses
irrégularités
sont
mises
en
évidence
dans
la
rédaction
de
la
demande du 15 mars 1995 citée plus haut.
»
Nous
devons
tout
d’abord
reprendre
les
décomptes
fantasques
de
Michel
TINGUELY donnés en page 2 de ses arguments mensongers pour requérir la
mise
Birgit SAVIOZ
accès
1ère Partie
Transform.
Michel TINGUELY