Manipulations politiques
Worldcorruption.info
Manipulations planifiées par
l’État contre l’intérêt des
Citoyens
La haute trahison des politiciens devenus
“Laquais” au service de la finance...
La
Franc-Maçonnerie
n’a
pas
de
limites
territoriales
et
la
totalité
des
États
de
la
Planète
sont
aujourd’hui
contrôlés
par
des
Francs-Maçons,
qu’ils
s’agissent
de
membres
de
Loges
maçonniques
ou
de
membres
de
Clubs
de services comme le
ROTARY, LIONS Club, KIWANIS, AMBASSADOR,
etc.
Satanistes
au
premier
degré,
les
Francs-Maçons
sont
condamnés
par
l’Église
catholique
qui
leur
interdit
la
Sainte
Communion. L’appartenance à la Franc-Maçonnerie est considérée comme
péché grave
par l’Église.
L’article
ci-dessous
repris
sur
“Le
Réseau
international”
démontre
l’avilissement
des
valeurs
éthiques
et
morales
de
nos politiciens et la soumission aveugle, despotique et perfide qui les anime.
Le
complot
auquel
nos
“politiciens”
ont
prêté
leur
concours
va
conduire
tous
les
Citoyens
de
ce
pays
à
céder
la
majeure
partie
de
leurs
économies
vieillesse
au
profit
des
KHAZARS
(qu’on
appelle
aussi
les
faux
Hébreux)
et
de
membres de la
KABBALE
!
Comprenez-bien
l’article
qui
suit
et
vous
comprendrez
pourquoi
vos
prestations
de
retraites
seront
réduite
à
néant.
Vous comprendrez comment les politiciens que vous avez élus, vous ont trahis...
Repris de : http://reseauinternational.net/la-crise-de-1929-plane-sur-nous/
La crise de 1929 plane sur nous 5687 vues 24 novembre 2015
La
tâche
est
difficile.
Écrire
un
article
où
on
parle
finance
est
facile,
à
la
portée
d’un
bon
professionnel,
mais
ça
n’intéresse
presque
personne.
Écrire
un
article
compréhensible,
simple
et
clair,
très
abordable
par
beaucoup
de
lecteurs,
les
intéresser
et
les
mener
vers
l’essentiel
est
une
tout
autre
affaire,
mais
c’est
pourtant
ce qui est tenté ici.
Un
dissident
lucide
devrait
être
conscient
que
c’est
par
les
profits
faramineux
de
la
finance
que
l’hyper-classe
hégémonique
mondialisée
peut
se
permettre
les
coûts
de
sa
domination
sur
les
peuples.
Guerres,
armées,
armement,
complexe
militaro-industriel,
ONG,
rétribution
des
complices
aux
postes
gouvernementaux,
achat
des
medias,
tout
cela
ne
serait
pas
possible
sans
les
profits
de
la
finance.
Assécher
les
sources
de
profit
par
la
finance
c’est
rendre
impuissants
les
dominants
et
rééquilibrer
les
forces,
donnant
sa
chance
au
changement.
D’ailleurs,
en
exemple, tout le monde est tombé d’accord qu’en coupant les ressources financières des terroristes, on les vaincra.
Mais
s’il
en
est
conscient,
le
dissident,
actif
ou
simple
commentateur,
ne
connaît
pas
les
mécanismes
qui
permettent
cette
domination,
la
finance
étant
une
bouteille
à
encre
ardue.
Qui
plus
est,
le
dissident
moyen
pense
que
la
finance
c’est
une
affaire
de
riches
et
s’en
détourne
en
se
pinçant
le
nez.
Rien
n’est
moins
vrai,
puisque la finance s’attaque in fine à la masse des pauvres
et les maintient dans cette condition.
Je
vais
décrire
ici
un
seul
mécanisme
pour
qu’on
comprenne,
mais
c’est
le
mécanisme
de
base,
essentiel,
par
lequel
la
finance
nous
tient.
Ce
n’est
pas
le
seul,
mais
sans
ce
mécanisme
nous
ne
serions
absolument
pas
asservis
par
la
finance.
En
comprenant
ce
mécanisme,
vous
allez
toucher
du
doigt
comment
la
finance
nous
manipule
et
amasse
ses
gains
énormes,
ce
qui
leur
donne
les
moyens
d’exercer
leur
domination
sur
nous.
Vous
comprendrez
aussi
comment
faire
cesser
cet
incroyable
privilège,
même
si
on
pourra
seulement
limiter
partiellement les dégâts qui sont déjà en route.
Première étape, la crise de 1929
La
création
de
la
Réserve
Fédérale
Américaine
le
23
Décembre
1913
a
été
une
première
date
essentielle.
Il
aura
fallu
16
ans
pour
que
l’empire
de
la
finance
porte
sa
première
attaque
d’envergure
en
utilisant
son
arme
secrète,
la
manipulation
des
t
aux
d’intérêt
et
plus
précisément
leur
hausse,
leur
baisse
et
leur
hausse
de
nouveau
.
Entre
1913
et
1927,
ces
taux
sont
restés
normaux,
5
½
%
début
1927.
Ces
taux
ont
été
diminués
très
vite
et
ramenés
à
1
½
%
en
1929,
puisque
les
USA
ont
été
assez
fous
pour
laisser
à
un
organisme
privé,
la
FED,
le
droit
d’augmenter
ou
de
diminuer
les
taux
d’intérêt.
Le
résultat
:
Cette
baisse
des
taux
a
entraîné
un
appétit
féroce
pour
le
risque
des
investisseurs.
Retenez
ce
principe
immuable
:
Quand
les
taux
d’intérêts
baissent
fortement,
les
investisseurs ont un goût immodéré du risque
.
La
bourse,
suite
à
cette
baisse
extraordinaire
des
taux
d’intérêt,
a
grimpé
de
40%
en
quelques
semaines
et
les
gens
se
sont
endettés
en
empruntant
sur
marge
pour
acheter
des
actions
et
participer
à
la
curée.
C’est
là
qu’à
partir
de
1929
la
Réserve
Fédérale
augmente
ses
taux
d’intérêt.
Je
reprends
ici
des
passages
à
une
étude
descriptive
à
laquelle
j’avais
collaboré
à
l’époque,
et
qui
décrit
la
crise
de
1929
de
long
en
large.
Il
est
primordial,
autant
pour
les
commentateurs
intéressés
par
l’histoire
que
pour
ceux
qui
veulent
comprendre
la
pire
escroquerie de tous les temps
qui se prépare
,
de bien comprendre la crise de 1929.
L’appétit pour le risque disparaît, les investisseurs vendent en panique leurs stocks.
Le
krach
de
1929
est
une
crise
économique
globale,
boursière,
puis
financière,
enfin
industrielle
qui
se
déroula
à
la
Bourse
de
New
York
entre
le
24
octobre
et
le
29
octobre
1929,
mais
qui
n’atteindra
ses
abîmes
que
dans
les
années
qui
suivent.
Cet
événement
marque
le
début
de
la
Grande
dépression
,
la
plus
grande
crise
économique
du
XX°
siècle,
qui
frappa
successivement
toutes
les
économies
mondiales
à
l’exception
de
la
Russie
soviétique,
laquelle s’était « isolée » économiquement depuis la révolution de 1917.
Tout
commence
par
la
création
d’une
bulle
spéculative
vers
1927.
La
bulle
est
amplifiée
par
le
nouveau
système
d’achat
à
crédit
d’actions,
qui
depuis
1926
est
permis
à
Wall
Street.
Les
investisseurs
peuvent
ainsi
acheter
des
titres avec une couverture de seulement 10 %.
Le système marche « ainsi » :
•
Plus le taux d’emprunt est bas, plus les gens empruntent.
•
Plus ils empruntent, plus ils investissent en bourse.
•
Plus ils investissent en bourse, plus la bourse monte.
•
Ils
revendent
donc
à
terme
pour
solder
leur
compte
et
leur
bénéfice
est
toujours
au
rendez-vous.
Du
moins
si
tout continue à tourner ainsi.
Suivant ce système tout dépend donc de deux choses :
•
Le taux d’emprunt doit rester bas.
•
Le taux de croissance de la bourse doit rester haut.
Si un des deux paramètres ne suit pas, le système s’effondre.
En
avril
1929,
les
taux
d’intérêts
augmentent.
Immédiatement
la
bourse
se
met
à
stagner.
Tout
ceux
qui
spéculent
en
empruntant
sont
obligés
de
vendre
pour
payer
leurs
emprunts.
La
vente
des
actions
précipite
les
cours
vers
le
bas.
La
boule
de
neige
est
enclenchée.
La
confiance
dans
le
système
n’est
donc
plus
«totale»,
mais
le
phénomène
reste
marginal
et
connu
de
quelques
rares
initiés.
Plus
grave
est
le
manque
de
liquidité
dans
le
monde
« réel », ce qui va avoir deux conséquences :
•
Une
hausse
des
taux
d’intérêts
est
nécessaire
pour
alimenter
«
normalement
»
le
financement
de
l’économie
réelle,
une
économie
«
réelle
»
qui
se
porte
«
mal
»
dans
ce
marché
boursier
faussé
par
un
phénomène
d’asphyxie
(les
capitaux
disponibles
accourent
à
la
Bourse
plutôt
que
vers
l’économie
«réelle»).
L’augmentation du taux permet de rétribuer normalement l’investissement « sain ».
•
Une
hausse
du
taux
d’intérêt
est
«
mortelle
»
pour
la
spéculation,
puisque
le
spéculateur
doit
emprunter
la
quasi-totalité
de
ses
actions,
ce
qui
lui
revient
avec
l’augmentation
des
primes,
à
une
fortune.
Il
devient
de
plus
en
plus
difficile
donc
d’emprunter
pour
spéculer,
car
quand
il
faudra
faire
le
bilan
:
prix
de
vente
moins
prix d’achat et coût de l’emprunt, le solde risque d’être négatif.
Quelques
jours
avant
le
krach
(les
18,
19
et
23
octobre
29),
les
premières
ventes
massives
de
titres
ont
lieu.
Ce
ne
sont
alors
encore
que
de
simples
prises
de
bénéfices,
mais
elles
commencent
à
entraîner
les
cours
à
la
baisse.
Le
jeudi
24
octobre
(Jeudi
noir
ou
Black
Thursday)
marque
la
première
vraie
panique.
Le
matin,
il
ne
se
trouve
presque
pas
d’acheteurs,
quel
que
soit
le
prix,
et
les
cours
s’effondrent.
à
midi,
l’indice
Dow
Jones
a
perdu
22,6
%,
et
une
émeute
éclate
à
l’extérieur
du
New
York
Stock
Exchange,
après
que
les
gardes
du
bâtiment
et
la
police
ont
empêché
des
actionnaires
d’entrer.
Par
un
effet
de
dominos,
c’est
l’ensemble
de
la
Bourse
qui
s’effondre,
et
la
chute
de
1930
à
1932
est
supérieure
à
celle
de
l’année
1929.
Le
8
juillet
1932,
l
e
Dow
Jones
tombe
à
41,22,
son
plus bas niveau depuis sa création en 1896.
Parmi les effondrements spectaculaires : 1929-1932 :
•
U.S. Steel passe de 262 dollars à 22
•
General Motors passe de 1075 dollars à 40
•
General Electric passe de 1612 dollars à 154
Le Dow Jones perd, dans cet intervalle, 89% de sa valeur.
La valeur virtuelle de l’argent envolé s’élève à 72 milliards de dollars.
La catastrophe est complète et va frapper successivement 3 cibles :
•
La bourse,
•
Les banques,
•
Les entreprises
La
perte
de
confiance
due
à
la
crise
boursière
affecte
à
la
fois
la
consommation
et
les
investissements
lors
des
mois suivant le krach.
Les
investisseurs
qui
ont
spéculé
en
empruntant
ne
peuvent
plus
rembourser.
Sans
leurs
remboursements,
les
banques
ne
peuvent
plus
alimenter
le
commerce
et
l’industrie.
Les
entreprises
sont
donc
acculées
à
la
fois
par
le
manque de clientèle et le manque de liquidités. Les entreprises commencent elles aussi à être en difficulté.
Les
banques
sont
coincées
par
leurs
deux
clients
et
partenaires
habituels
(les
spéculateurs
et
les
entreprises)
qui
s’avèrent « insolvables ».
La
fermeture
des
petites
banques
fait
paniquer
l’homme
de
la
rue
qui
veut
retirer
ses
avoirs
du
système
bancaire,
lequel
s’effondre
sous
cette
demande
brutale.
Pour
passer
de
la
bourse
à
la
banque,
il
aura
fallu
quelques
mois.
Il
faudra
encore
quelques
mois
pour
que
la
catastrophe
se
fasse
durement
ressentir
dans
l’industrie
et
le
commerce
qui jusque là tourne encore « vaille que vaille ».
L’absence
de
liquidités
et
donc
le
manque
de
clientèle
durable
fait
fermer
les
entreprises
et
précipite
des
millions de personnes au chômage
,
ce qui à son tour fait diminuer le pouvoir d’achat global de la population.
Une
tentative
de
redressement
de
l’économie
américaine
sera
amorcée
par
le
New
Deal
en
1933,
mais
une
rechute
se
produit
en
1937.
Ce
n’est
qu’avec
l’entrée
des
états-Unis
dans
la
Seconde
Guerre
mondiale
fin
1941
que
le
pays
se
redresse
durablement.
Les
indices
boursiers
ne
reprendront
des
valeurs
comparables
à
celles
précédant
la
crise
de
1929
que
vingt-cinq
ans
plus
tard
(le
pic
du
3
septembre
1929
est
dépassé
le
23
novembre
1954).
Le Greenspan put
Le
terme
«
put
»
se
réfère
à
une
technique
des
options
financières,
et
c’est
le
terme
choisi
par
les
analystes
pour
décrire
la
stratégie
de
Greenspan.
Alan
GREENSPAN
(mais
de
quelle
origine
est-il
celui-là
?)
est
l’ancien
patron
de
la
Réserve
Fédérale
Américaine.
Il
baisse
les
taux
d’intérêt
à
un
niveau
ridiculement
bas
jusqu’en
1999,
puis
il
les
remonte
abruptement
et
donc
les
investisseurs
vendent
en
panique.
Cela
occasionne
la
crise
du
Nasdaq
en
2000,
qui
passe
de
5500
à
1500.
En
faisant
cette
stratégie
en
tout
point
conforme
à
celle
de
1929,
que
les
analystes
nombreux
et
non
dupes
appellent
le
Greenspan
put,
la
bulle
éclate.
L’élite
hégémonique
rachète les actions qui ont chuté à bas coût.
Le Bernanke put
Ben
BERNANKE(de
quelle
origine
est-il
celui-là
aussi
?)
devient
le
patron
de
la
FED
après
Greenspan.
Les
taux
d’intérêt
sont
quasiment
à
zéro
entre
2008
et
2015.
Éclate
la
crise
des
«
subprime
»
et
le
crash
de
2008.
L’élite
hégémonique
rachète
une
fois
encore
les
actions
de
toutes
les
bourses,
elles
ont
chuté
de
37%
au
Canada,
55%
aux
US,
75%
dans
les
pays
émergents.
Troisième
siphonage
(1929-1932,
Nasdaq
2000,
Crise
2008-2009).
Avec
ces
3
crises,
créées
de
façon
délibérée,
voulue
et
coordonnée
par
la
banque
centrale,
l’élite
a
engrangé
40
Trillions
de
dollars,
soit
40,000
milliards
de
dollars
.
Cet
argent
alimente
autant
le
complexe
militaro-
industriel
que
les
armements,
paie
les
complicité
au
plus
haut
niveau
politique,
assiste
aveuglément
ISRAËL.
La Janet YELLEN transition entre le put et le call
Arrive
Janet
YELLEN
(mais
de
quelle
origine
est-elle
celle-là,
encore
?)
il
y
a
quelques
mois,
à
la
tête
de
la
FED.
Maintenant
il
convient
de
réitérer
les
trois
épisodes
précédents
qui
ont
si
bien
marché
pour
l’élite
(1929-
1932, Nasdaq 2000, Crise 2008-2009).
Avec
des
épisodes
de
cinéma
total
soigneusement
entretenus
et
mis
en
scène
comme
un
psychodrame
déchirant,
va
commencer
probablement
dans
les
semaines
qui
viennent
une
hausse
des
taux
d’intérêts
par
la
FED.
On
est
donc
au
point
crucial
qui
va
affecter
la
finance
planétaire.
Cette
hausse
va
décourager
les
spéculateurs
qui
vont
revendre
en
panique
leurs
actifs,
c’est
à
dire
leurs
actions
et
leurs
obligations,
mais
aussi
les
objets
d’art
et
l’immobilier.
Ça va s’étaler entre 2016 et 2020.
Ce
qui
se
prépare
en
ce
moment
est
le
plus
grand
vol
par
transfert,
de
nos
poches
à
celles
de
la
cabale
(KABBALE) & des Khazars, et aussi aux gouvernements.
Comprenez le mécanisme.
Les vols vont porter :
1-
De
nos
poches
ou
des
poches
des
investisseurs
avec
pour
origine
les
bourses
(60,000
milliards
de
dollars)
et
la
dette
(obligations
de
9
fois
supérieures
à
la
bourse).
Cet
argent
va
aller
dans
la
poche
des
banquiers
et
des
Khazars.
2-
De
la
poche
des
épargnants
avec
le
système
de
bail-ins
,
qui
va
aller
dans
la
poche
des
banquiers
et
aussi
des
gouvernements.
Les
gouvernements
rembourseront
leur
dette.
Par
exemple
la
France
doit
2,000
milliards
d’euros,
mais
les
épargnes
des
Français
représentent
12,000
milliards
d’Euros.
En
saisissant
une
partie
soit
près
de
25%,
le
gouvernement
aura
épuré
sa
dette
et
pourra
recommencer
à
zéro.
Les
montants
volés
seront
colossaux. Voilà le mécanisme :
La
dette
(par
des
obligations)
a
été
vendue
pendant
les
8
dernières
années
(2008-2015)
à
des
taux
anémiques,
jusqu’à 0%. Prenons l’exemple et disons que l’obligation est de 100 et elle porte intérêt à .5% ou même moins.
Les
banques
centrales
vont
progressivement
augmenter
les
taux
directeurs
(taux
courts)
de
0%
à
4
ou
4.5%,
moyennes
annuelles
depuis
1913.
Ce
qui
veut
dire
que
le
prix
des
obligations
existantes
(pas
les
nouvelles
qui
vont
porter
intérêt
à
4%)
va
chuter
de
4%-.5%
par
an
sur
10
ans
ou
plus
soit
50%
et
plus
en
composant. La manip d’avoir descendu les taux d’intérêt à zéro pour les remonter permet le mécanisme.
Quand
les
anciennes
obligations
perdent
de
la
valeur
par
rapport
aux
nouvelles,
la
majorité
des
investisseurs
a
pour
habitude
de
les
vendre
avec
décote.
Elles
seront
donc
vendues
à
100%
moins
50%
de
leur
valeur
nominale
soit
50.
Et
il
y
en
a
pour
540,000
milliards
de
dollars.
Les
pertes
des
investisseurs
seront
de
la
moitié,
et
ces
obligations
vont
être
rachetées
par
la
cabale
et
les
Khazars.
Ça
aura
deux
effets
:
d’une
part
elle
vont
diminuer
leur
expositions
aux
dettes,
et
surtout
elles
auront
acheté
50
ce
qui
en
vaudra
100
dans
les
années
à
venir
car
ils
rebaisseront alors les taux une fois leur manip effectuée.
Pareil
pour
les
60,000
milliards
des
bourses,
achetées
la
moitié
par
eux
et
revendues
au
prix
fort
quelques
années
plus
tard.
Mais
ce
coup
sur
les
bourses
ils
nous
l’ont
fait
souvent
comme
les
explications
précédentes
l’ont
montré,
en 1929, et plus récemment en 2000 et 2008.
Il
faut
que
vous
preniez
la
mesure
des
bénéfices
empochés
par
les
Khazars.
280,000
milliards
de
dollars
avec
ce
coup.
Pour
comparaison
avec
toutes
les
arnaques
qu’ils
nous
ont
faites
depuis
1913
c’est
40,000
milliards qu’ils nous ont extorqués.
Évidemment
ils
peuvent
faire
ça
en
toute
impunité,
puisque
ce
sont
eux
qui
impriment
avec
les
QE
(Quantitative
Easing - Monnaies de singe) et eux qui décident de combien et quand augmenter ou diminuer les taux.
Conclusion :
La
même
stratégie
qui
a
été
mise
en
œuvre
avec
grand
succès
en
1929,
soit
une
hausse
des
taux
suivie
d’une
forte
baisse
des
taux
et
ensuite
encore
une
hausse
des
taux,
a
été
réutilisée
à
l’identique
en
1999
(Nasdaq)
en
2008
(crise),
et
elle
est
sur
le
point
d’être
rééditée
,
mais
cette
fois-ci
à
un
degré
dix
fois
supérieur.
À
l’époque
ce sont les actions qui ont été touchées, ici ce sont
aussi les obligations (9 fois le volume des actions).
Malheureusement
le
mal
est
déjà
fait
puisque
la
phase
hausse
des
taux
suivie
d’une
baisse
des
taux
est
terminée.
Qui
que
ce
soit,
et
même
si
on
ôte
à
la
Réserve
Fédérale
son
privilège
de
dicter
les
taux,
devra
augmenter les taux car l’économie est asphyxiée.
Comme
des
bœufs
qu’on
mène
à
l’abattoir,
la
plus
grande
arnaque
financière
depuis
l’aube
de
l’humanité
va
frapper
et
va
aller
crescendo
dans
les
4
à
5
ans
à
venir.
Elle
est
inévitable.
Les
spéculateurs
et
les
investisseurs
seront
les
premiers
touchés,
certains
seront
ruinés
mais
on
s’en
fiche
bien
sûr.
Par
contre
la
contagion à l’économie réelle engendrera un chômage pire que dans la crise de 1929.
Algarath