Béchir SEBEI c-VAUDOISE Assurances
Worldcorruption.info
Gerhard ULRICH fait la
lumière sur le régime de
l’oligarchie occulte de la
franc-maçonnerie et de ses
clubs de services (Rotary,
Lions Club, Kiwanis, etc.),
qui dirigent le système
judicaire actuel et les
pouvoirs politiques.
Le citoyen qui passe à la
moulinette de la machine
judiciaire bien huilée, ressent
instinctivement qu’il est
Victime d’un complot. Mais il
est incapable de le prouver,
car le système cultive
soigneusement la non
transparence. Si une telle
personne invoque l’aide des
politiciens, on se débarrasse
d’elle sous prétexte du dogme
de la séparation des pouvoirs.
Les dogmes ont toujours
servi à asservir les peuples.
L’auteur de ces révélations
observe depuis 16 ans le
dysfonctionnement judiciaire,
archivant systématiquement
les résultats dans sa base de
données, devenue
volumineuse. A l’opposé
d’autres critiques du régime,
il s’est montré jusqu’à
présent prudent concernant
ses attaques au sujet de la
Franc-maçonnerie. Il était
conscient que ses
connaissances de ce qui se
passe dans nos prétoires,
étaient assez modestes.
Cependant, la persévérance
et un travail continu lui
permettent aujourd’hui de
rejoindre la position de
Marc-Etienne BURDET
sur le sujet
Le dossier de la Victime Béchir
SEBEI démontre une fois de
plus les conséquences des
coups protés aux Victimes
par les Francs-Maçons qui
occupent les sièges du
pouvoir judiciaire.
Leur activité crasse en faveur
de leurs “Frères” de Secte,
contribue à mettre les
justiciables dans des
situations insoutenables.
Pour les Victimes judiciaires,
il est peine perdue de vouloir
prouver à leurs bourreaux
qu’elles sont dans leur bon
droit... C’est seulement en
démontrant à l’Opinion
publique que les magistrats
détracteurs sont indignes et
ne sont pas légitimés à
exercer leurs fonctions que
les choses changeront !
Nous lançons un
APPEL AU PEUPLE
POUR METTRE FIN À
CETTE TYRANNIE !
BernLeaks
La Vaudoise assurances
Affaire de corruption ayant profité à l’assureur
Gerhard ULRICH
Frank
TIÈCHE
Daniel
PACHE
Mathias
KELLER
Dominique
JAUNIN LUCIANI
Aleksandra
FAVROD
CONCLUSIONS
Un
accident
sur
un
chantier
d’AAX,
survenu
le
22.01.08
à
Lausanne,
a
causé
l’invalidité
de
Béchir
SEBEI,
père
de
famille
ruiné,
suite
à
une
farce
judiciaire
du
stéréotype
vaudois.
Le
bureau
d’architectes
AAX
était
assuré
en
responsabilité
civile
par
la
Vaudoise
ASSURANCES,
à
qui
cette
corruption
judiciaire
a
joliment
profité
(
1.5
mio
de
CHF
de
prétentions
civiles
économisées).
Si
SEBEI
avait
été
assuré
auprès
de
la
SUVA,
la
mafia
judiciaire
vaudoise
aurait
eu
à
faire
à
elle
comme
partie
durant
ce
procès.
Difficile
d’imaginer
que
la
SUVA
se
serait
laissée
rouler
aussi
facilement dans la farine.
Le
magouilleur
en
chef
dans
cette
affaire
est
le
«juge»
COLELOUGH.
Il
est
franc
maçon.
Il
est
par
conséquent
logique
de
déduire
que
ce
crime
judiciaire
a
été
commis
en bande organisée par le réseau occulte des frères maçonniques
Voici
la
cordée
des
hommes
de
loi
vaudois
ayant
œuvré
aux
dépens
de
Béchir
SEBEI
(marqué
en
bleu
pour
les
multirécidivistes
en
matière
de
corruption
=
liens
activés):
•
le «juge» VD
Philippe COLELOUGH
•
les procureurs Dominique
JAUNIN LUCIANI
et
Franz MOOS
•
les
«juges»
cantonaux
VD
Aleksandra
FAVROD
,
Bertrand
SAUTEREL
et
Marc PELLET
•
le «juge» fédéral vaudois
Christian DENYS
•
les avocats
Frank TIÈCHE
,
Daniel PACHE
et
Mathias KELLER
MOOS
,
COLELOUGH
,
SAUTEREL
,
PELLET
et
DENYS
ont
un
casier
de
crimes
judiciaires
très
chargé.
Ils
couvrent
notamment
la
corruption
dans
le
canton
de
Vaud.
Ces
criminels
en
robe
noire
doivent
être
envoyés
devant
un
Tribunal
pour
être
mis
face
à
leurs
responsabilités.
Leurs
fortunes
doivent
être
confisquées
afin
de
dédommager Béchir SEBEI et leurs autres victimes
La cordée de magistrats vaudois francs-maçons criminels
cités plus haut :
L’analyse de cette farce judiciaire du stéréotype vaudois
Béchir
SEBEI
(né
en
1955,
naturalisé
Suisse)
possédait
une
entreprise
de
plâtrerie
peinture
à
Lausanne.
Fin
2007,
le
bureau
d’architectes
AAX
,
agissant
en
qualité
d’entreprise
générale
pour
la
réfection
de
l’immeuble
sis
à
l’avenue
de
France
1
à
Lausanne,
a
adjugé
les
travaux
de
plâtrerie-peinture
à
l’entreprise
de
SEBEI
pour
un
montant de CHF 444'818.65, TVA incluse (
pièce 1
).
Les
employés
et
architectes
André
ROCHAT
(associé
d’AAX
et
responsable
du
chantier)
et
Ana
Filipa
FERREIRA
CARDOSO
HUGONNET
(seule
Administratrice
et
associée
de
la
société,
selon
le
RC,
main
droite
de
André
ROCHAT,
affectée
à
la
réfection à l’avenue de France 1) étaient responsables de la sécurité du chantier.
Cette
dernière
dirigeait
et
coordonnait
sur
place
les
activités
des
divers
corps
de
métier.
AAX
possédait
une
assurance responsabilité civile à la VAUDOISE ASSURANCES (
pièce 2
).
Le
22.01.2008,
à
10
h,
Béchir
SEBEI
entamait,
en
accord
avec
les
instructions
reçues,
des
travaux
dans
un
appartement
au
2ème
étage.
Puisqu’il
faisait
sombre
dans
la
pièce,
il
a
voulu
placer
un
éclairage.
Hélas,
le
plancher
avait
été
enlevé
la
veille
(
pièce
14
)
et
une
couche
de
marin
(une
sorte
d’isolant,
ressemblant
à
une
chape)
restait
entre
les
solives.
Sous
le
poids
de
SEBEI,
la
couche
de
marin
instable
a
cédé
et
il
a
fait
une
chute
de
3.4
m
sur
le
sol
du
1er
étage
(10h38
?).
Il
fut
transféré
d’urgence
à
l’hôpital
(le
CHUV,
pièce
3
).
Suite
à
cet
accident,
il
vit
aujourd’hui
avec
des
séquelles
qui
ne
lui
permettent
plus
de
reprendre
son
activité
professionnelle.
En
tant
qu’indépendant
professionnel,
il
n’était
pas
assuré
auprès
de
la
SUVA
pour
les
risques
d’accident
et
n’avait
qu’une
assurance
maladie
couvrant
les
soins
dus
aux
accidents.
Sans
la
protection
de
la
SUVA,
SEBEI
est
devenu
la
proie
idéale
de
la
mafia
judiciaire
vaudoise.
Ce
père
de
famille,
ayant
3
enfants
à
charge,
est
aujourd’hui financièrement aux abois.
Le
19.02.08,
avec
presque
1
mois
de
retard,
l’agent
0208
de
la
Police
de
la
Ville
de
Lausanne,
NICOLIN,
a
écrit
son
rapport
(
pièce
4
).
Curieusement,
ce
rapport
ne
fut
pas
adressé
au
juge
d’instruction,
bien
que
les
accidents
graves
sur
chantiers
doivent
être
poursuivis
d’office.
Ce
laxisme
a
permis
aux
responsables
du
chantier
de
modifier
l’état
du
lieu
de
l’accident,
avant
toute
enquête.
Les
photos
prises
lors
de
ce
constat
policier
ont
disparu,
on ne sait pas où.
Le
11.06.2008,
Me
Alain
VOGEL,
mandaté
par
Béchir
SEBEI,
a
requis
auprès
du
juge
de
paix
de
Lausanne
l’établissement
d’un
constat
d’urgence
(
pièce
5
).
Dûment
mandaté
par
le
juge
de
paix,
l’expert
Michel
BALITZER
s’est
rendu
sur
les
lieux
de
l’accident
le
17.06.08.
A
ce
moment-là,
le
lieu
de
l’accident
avait
déjà
été
modifié.
Confronté
à
cette
situation,
et
en
toute
logique,
l’expert
s’est
entretenu
sur
place
avec
le
lésé,
SEBEI,
et
avec
2
responsables
du
chantier,
ROCHAT
et
FERREIRA
CARDOSO
HUGONNET
(
pièce
6
).
Il
a
opté
essentiellement
pour
la
version
telle
que
décrite
par
SEBEI,
car
c’était
la
seule
version
plausible
lui
permettant
d’établir
son
constat d’urgence.
Secoué
par
ce
qui
lui
était
arrivé,
le
blessé
a
déposé
sa
plainte
pénale
seulement
le
11.08.08.
L’affaire
fut
attribuée
à
la
juge
d’instruction
Dominique
JAUNIN
LUCIANI.
Elle
a
décidé
le
14.08.2008
d’instruire
l’affaire
en la forme sommaire...
Les aiguillages pour une enquête bâclée étaient mis en place
(
pièce 7
).
Les interrogatoires des protagonistes commencèrent un an après l’accident et eurent lieu aux dates suivantes :
12.01.09 – l’architecte ROCHAT, responsable du chantier pour AAX (
pièce 8
)
12.03.09 – le lésé, Béchir SEBEI (
pièce 9
)
25.05.09 – le maçon
Manuel DA CUNHA de l’entreprise DENTAN ayant enlevé le plancher en question,
sur demande d’Ana Filipa FERREIRA CARDOSO HUGONNET
(
pièce 10
)
25.05.09 – l’architecte Ana Filipa FERREIRA CARDOSO HUGONNET, affectée à la surveillance des
travaux (
pièce 11
)
25.05.09 – Roland Ingold, patron de la charpenterie du même nom (
pièce 12
)
16.07.09 – Fethi HAMDI, employé de Béchir SEBEI (
pièce 13
)
24.08.09 – Alireza LASHGARI, employé charpentier d’Ingold (
pièce 14
)
La
«
juge
»
d’instruction
Dominique
JAUNIN
LUCIANI
a
donc
traîné
pendant
une
année
avant
de
terminer
ces
interrogatoires.
Bien
que
les
contradictions
récoltées
permettent
facilement
de
reconnaître
les
mensonges
de
ROCHAT,
FERREIRA
CARDOSO
HUGONNET
et
DA
CUNHA
sur
la
base
des
déclarations
des
autres
personnes
interrogées,
la
«
juge
»
d’instruction
n’a
plus
rien
instruit
pendant
les
4
années
suivantes,
ignorant
les
requêtes
d’instruction
du
plaignant.
La
requête
insistante
d’ordonner
une
expertise
judiciaire
fut
tout
simplement
ignorée.
La
seule
mission
de
la
«
juge
»
était
de
laisser
traîner
le
dossier.
DA
CUNHA
avait
avoué
avoir
enlevé
le
plancher,
mais
prétendait
avoir
cloué
des
panneaux
de
coffrage
sur
les
solives.
De
plus,
il
aurait
averti
les
ouvriers
de
SEBEI
du
danger
et
leur
aurait
dit
de
ne
pas
travailler
à
cet
endroit.
Pourtant,
si
des
panneaux
de
coffrage
avaient
vraiment
été
cloués
solidement
sur
les
solives,
un
tel
avertissement
n’avait alors pas de sens.
Il s’agit d’une contrevérité.
Photo
prise
par
FERREIRA
CARDOSO
HUGONNET
juste
après
l’accident,
montrant
le
trou,
causé
par
la
chute
de
SEBEI,
qu’elle
a
versé
au
dossier
judiciaire.
Pour
induire
la
justice
en
erreur,
la
date
de
la
photo
a
été
coupée
et
elle
a
ajouté
à
l’envers
en-bas
à
gauche la fausse date manuscrite du 31.05.07
Ana
Filipa
FERREIRA
CARDOSO
HUGONNET
est
allée
jusqu’au
mensonge
selon
lequel
SEBEI
aurait
déclaré
aux
policiers
intervenus
sur
le
chantier,
avoir
enlevé
lui-même
des
panneaux
de
coffrages
protecteurs
du
sol
(situation
que
seuls
DA
CUNHA
et
elle
avaient
imaginée...).
Même
le
«
juge
»
Philippe
COLELOUGH
dira
que
c’est
chronologiquement
une
impossibilité,
puisque
SEBEI
a
été
évacué
par
les
secours
avant
l’arrivée
des
flics.
Lors
de
son
interrogatoire,
ROCHAT
a
prétendu
que
le
plancher
original
était
encore
en
place
juste
avant
l’accident. Ceci contredit les déclarations de toutes les autres personnes interrogées.
Le
25
mai
2009,
FERREIRA
CARDOSO
HUGONNET
a
déclaré
que
le
plancher
n’avait
pas
été
enlevé.
Avec
la
photo
truquée
ci-dessus,
elle
a
ensuite
insinué
que
le
plancher
avait
été
renouvelé
une
demi-année
auparavant
et,
lors
du
procès
en
janvier
2015,
elle
s’est
finalement
alignée
sur
la
version
de
DA
CUNHA
selon
lequel
celui-ci
aurait
fixé
des
panneaux
de
coffrage
après
avoir
enlevé
le
plancher
(
pièce
23
,
page
9
in
medio).
Elle
a
aussi
déclaré
le
25.05.2009
que
le
plancher
se
trouvait
sur
les
solives
(
pièce
11
,
en
page
1
in
fine),
pour
se
contredire
un
moment
plus
tard.
Questionnée
pour
savoir
comment
le
plâtrier
SEBEI
aurait
pu
fixer
les
rails
métalliques
sur
les
solives
en
cet
état,
elle
prétendait
soudain
que
le
plancher
se
trouvait
à
cet
endroit
entre
les
solives
(
pièce
11
,
page
2
in
initio).
On
constate
que
cette
dame
a
changé
de
version
en
s’adaptant
aux
failles.
Aucun homme de loi impliqué n’a voulu voir ce tissu de mensonges !
Le
témoignage
du
charpentier
LASHGARI
est
déterminant.
Il
a
témoigné
être
entré
dans
la
pièce
en
question
à
08h30
le
22.01.2008
(le
jour
de
l’accident)
et
avoir
constaté
que
le
plancher
avait
été
enlevé
par
le
maçon
DA
CUNHA.
En
professionnel
aguerri,
il
a
marché
sur
les
solives
pour
prendre
ses
mesures
selon
les
instructions
de
FERREIRA
CARDOSO
HUGONNET.
Avant
de
quitter
le
chantier,
il
a
averti
la
direction
des
travaux
du
danger
existant
dans
cette
pièce.
Manifestement,
la
faute
du
plancher
enlevé
incombe
à
DA
CUNHA
et
a
fortiori à FERREIRA CARDOSO HUGONNET et à son supérieur ROCHAT.
Entre
le
21.06.2012
et
le
16.09.2014,
le
défenseur
de
SEBEI,
l’avocat
Frank
TIÈCHE,
a
entrepris
6
démarches
dociles
pour
aviser
les
«enquêteurs»
que
le
dossier
prenait
un
«
retard
inquiétant
»
(pièces
15
–
20).
Dès
le
22.05.2013,
le
«
procureur
»
Franz
MOOS
était
aux
commandes
pour
laisser
traîner
le
dossier
encore
plus
longtemps.
Enfin,
le
28.10.2014,
MOOS
a
rédigé
l’acte
d’accusation
contre
les
architectes
ROCHAT
et
FERREIRA
CARDOSO
HUGONNET
pour
lésions
corporelles
graves
par
négligence
et
violation
des
règles
de
l’art
de
construire
par
négligence
(
pièce
21
).
Il
a
volontairement
oublié,
avec
préméditation,
d’inculper
le
démolisseur
DA
CUNHA.
Cet
acte
d’accusation
est
un
chef-d’œuvre
d’instruction
bâclée.
Il
ne
contient
aucun
repère
horaire
du
déroulement
des
activités
le
jour
de
l’accident.
Le
procès
fut
fixé
pour
la
période
allant
du
06
au
12.01.2015
(à
10
jours
de
la
prescription).
Les
débats
auraient
dus
êtres
présidés
par
le
juge
Thomas
DE
MONTVALLON.
Il
s’est
récusé,
ne
voulant
pas
toucher
à
une
affaire
qu’on
avait
laissée
pourrir
à
ce
point.
Le
«
juge »
Philippe COLELOUGH
n’a pas hésité à mener à bien ce cas manifeste de corruption.
Le
11
décembre
2014,
COLELOUGH
a
annoncé
à
l’avocat
TIÈCHE
que
le
témoin
clé
LASHGARI
serait
absent,
étant
à
l’étranger.
Son
client
devait
se
déterminer
dans
les
12
heures.
Soit
il
renonçait
à
ce
témoin,
soit
il
optait
pour
le
renvoi
de
l’audience
et
tombait
dans
la
prescription
(
pièce
22
).
La
mafia
judiciaire
vaudoise
avait
manœuvré
pour
ne
laisser
à
SEBEI
que
le
choix
entre
peste
et
choléra.
Jusqu’à
ce
point,
«
le
retard
inquiétant
»
pouvait
s’expliquer
à
la
rigueur
par
le
Olé-Olé
habituel
des
Vaudois.
A
partir
de
là,
on
peut
légitimement
présumer
qu’
il
s’agissait
d’un
coup
monté,
car
TIÈCHE
a
renoncé
à
ce
témoin,
sans
l’accord
de
son
client.
COLELOUGH
avait
préparé
d’autres
surprises.
Pendant
l’audience,
il
a
annoncé
que
les
témoins
DA
CUNHA
et
INGOLD
ne
s’étaient
pas
présentés
non
plus.
Il
a
interrompu
la
séance,
soi-disant
pour
aller
téléphoner
depuis
son
bureau,
pour
revenir
ensuite
annoncer
hypocritement
l’échec
de
ses
téléphones
aux
témoins.
Quand
SEBEI
protesta
vivement
du
fait
de
l’absence
de
DA
CUNHA,
le
«
procureur
»
MOOS
gueula
à
son
tour
que
DA
CUNHA
n’était
nullement
un
prévenu
,
mais
un
simple
témoin.
Evidemment,
MOOS
avait
tout
manigancé
dans
ce
sens.
Par
contre,
COLELOUGH
a
généreusement
permis
aux
accusés
d’assigner
un
expert
de
complaisance
et
des
témoins
sans
rapport
avec
l’accident,
pour
meubler les débats
.
Aux
plaidoiries,
MOOS
a
laissé
tomber
les
accusations
«
au
bénéfice
du
doute
»,
assisté
par
les
avocats
Daniel
PACHE
(pour
ROCHAT)
et
Mathias
KELLER
(pour
FERREIRA
CARDOSO
HUGONNET),
suivi
dans
cette
trahison
par
le
défenseur
de
SEBEI,
l’avocat
Frank
TIÈCHE.
La
farce
judiciaire
était
jouée
et
le
même
12.01.2015,
Philippe
COLELOUGH
,
probablement
le
juge
suisse
le
plus
corrompu,
a
rédigé
son
jugement
de
49
pages
de
fausses
«
vérités
»
procédurales
perverses
(
pièce
23
),
approuvé
par
la
suite
par
copier/coller
le
20.04.2016
(arrêt
de
38
pages
de
fausses
«
vérités
»
procédurales
Coleloughiennes)
reprises
par
les
«
juges
»
cantonaux
VD
Aleksandra
FAVROD
,
Bertrand
SAUTEREL
et
Marc
PELLET
selon
la
pièce
24
.
qui
avaient
rejeté
toutes
les
requêtes
d’instruction,
déjà
sabotées
par
le
trio
JAUNIN
LUCIANI
/MOOS/COLELOUGH.
Aucun
de
ces
«
lérudits
»
ne
s’est
étonné
que
le
premier
juge
n’ait
pas
cherché
à
établir
un
déroulement
chronologique
des
faits
le
jour
de
l’accident.
Ce
cas
confirme
une
fois
de
plus
mon
expérience:
se
désintéresser
de
la
chronologie
du
déroulement
d’un
crime/délit
est
le
standard
chez
les
Vaudois
qui
leur
permet d’agir criminellement en toute impunité...
Le
recours
au
Tribunal
fédéral
fut
saboté
par
le
«juge»
fédéral
vaudois
Christian
DENYS
,
qui
a
prétexté
que
la
victime
de
cette
corruption
judiciaire
n’aurait
pas
prouvé
sa
ruine
matérielle
pour
bénéficier
d’une
procédure
judiciaire
gratuite.
C’est
aberrant
car
l’indigence
du
recourant
était
attestée
d’office
par
le
jugement
de
COLELOUGH
et
par
l’arrêt
des
«
juges
»
cantonaux,
donc
par
les
pièces
que
les
juges
fédéraux
étaient
censés
examiner.
DENYS
a
condamné
SEBEI
à
payer
CHF
4'000
d’avances
de
frais
par
ordonnance
6B_566/2016
du
21.07.16
(
pièce
25
).
Précisons
que
le
Tribunal
fédéral
rend
ses
arrêts
en
règle
générale
sans
avoir
reçu
d’acompte.
Evidemment,
le
grugé
n’a
pas
pu
payer
cette
somme
donnant
à
DENYS
l’excuse
inexcusable de déclarer ledit recours irrecevable par ATF 6B_566/2016 du 03.10.16 (
pièce 26
).
L’auteur
a
observé
que
le
Tribunal
fédéral
a
adopté
ce
procédé
abominable
aux
dépens
d’autres
victimes
matériellement
ruinées
par
des
accidents
graves.
Ce
phénomène
établit
la
dégénérescence
de
nos
Institutions !
Echanges de correspondance avec le Directeur général de la Vaudoise Assurances :
Gerhard ULRICH
, Dissident suisse
Avenue de Lonay 17
1110 Morges
021 801 22 88 catharsisgu@gmail.com
M. Philippe HEBEISEN
Directeur général VAUDOISE ASSURANCES
Avenue de Cour 41
1007 Lausanne
Copies :
Aux hommes de loi Philippe COLELOUGH, Dominique JAUNIN LUCIANI,
Frank TIÈCHE, Daniel PACHE, Mathias KELLER, Franz MOOS,
Aleksandra FAVROD, Bertrand SAUTEREL, Marc PELLET, Christian DENYS
cc:
Béchir SEBEI, chemin des Eterpeys 11, 1010 Lausanne 077 927 49 78 appolitique@gmail.com
Concerne :
La mafia judiciaire vaudoise
Cher Monsieur HEBEISEN,
Ci-joint, je vous soumets pour information mon projet de publication sur Internet :
Affaire de corruption ayant profité à la VAUDOISE ASSURANCE
Tous
les
justiciables
ont
le
droit
de
montrer
leur
dossier
judiciaire
à
une
tierce
personne.
C’est
ce
qu’a
fait
Monsieur SEBEI.
Cependant,
mon
projet
de
publication
de
son
dossier
n’engage
que
son
auteur
Gerhard
ULRICH
sur
le
plan
du
droit pénal. M. SEBEI n’y est pour rien.
Evidemment,
le
titre
projeté
et
son
contenu
ne
peuvent
que
vous
déplaire
en
tant
que
dirigeant
de
La
VAUDOISE
ASSURANCES.
C’est
pour
cette
raison
que
je
vous
offre
l’opportunité
de
compléter
ce
projet
par
votre
son
de
cloche. Vos commentaires seront incorporés dans la publication à venir.
Outre
la
hard
copie,
je
joins
la
version
virtuelle
sur
la
clé
USB
ci-jointe.
Cela
vous
permettra
de
visionner
toutes
les
pièces
du
dossier
et
de
vous
renseigner
sur
les
personnalités
peu
fréquentables
de
notre
justice
malade
qui
se
sont
mouillées
dans
cette
affaire
(leurs
noms
sont
activés
en
bleu
–
les
liens
vous
amènent
à
l’évaluation
de
ces protagonistes).
En fait, je projette de mettre ce dossier en ligne sous un joli nom de domaine, par exemple
www.VAUDOISE.org ou www.je-suis-vaudoise.com
Veuillez
donc
me
faire
parvenir
votre
prise
de
position
d’ici
au
10.05.2017,
car
la
mise
en
ligne
de
ce
dossier
ne
tolère aucun retard.
Si
vous
désirez
acquérir
la
maîtrise
du
portail,
vous
devez
faire
vos
offres
à
M.
SEBEI,
étant
le
propriétaire
du
dossier.
Quant
à
moi,
mes
efforts
pour
faire
écrouler
le
système
judiciaire
actuel
irrémédiablement
dégénéré
sont purement bénévoles, dans l’intérêt public.
Au
plaisir
de
pouvoir
vous
annoncer
prochainement
la
mise
en
ligne
du
futur
portail
du
Web
Premium,
et
en
attendant
vos
commentaires
d’ici
au
10.05.2017,
je
vous
présente,
cher
Monsieur
HEBEISEN,
mes
sentiments
distingués
Gerhard Ulrich
Dissident suisse
Annexe :
Affaire de corruption ayant profité à la VAUDOISE ASSURANCE
(Projet en hard copie et sur clé USB)
Réponse
de
Philippe
HEBEISEN,
le
surlendemain.
On
notera
l’absence
de
toute
empathie
pour
la
victime
de
la
corruption de la Vaudoise Assurances. HEBEISEN écrit sans état d’âme :
Sûr
et
certain,
HEBEISEN
est
membre
du
Rotary
ou
du
Lions
Club,
et
en
tant
que
membre
de
cette
secte
secrète, il soigne les façades de do-gooders.
Réplique:
Complément
de Marc-Etienne BURDET
Défenseur
et
bénéficiaire
à
50
%
du
produit
de
l’escroquerie
et
blanchiment
des
royalties
FERRAYÉ
(+
de
3’000 milliards de dollars en 1991).
Quelques précision sur le Groupe VAUDOISE Assurances :
Paul-André SANGLARD
Philippe HEBEISEN
Président du Conseil d’Adm.
Directeur général
ROTARY
ROTARY
Les sociétés du Groupe VAUDOISE :
Vaudoise Assurances Holding SA CH-550.0.091.601-6
Mutuelle Vaudoise Société coopérative CH-550.0.091.233-2
Vaudoise Générale Cie d'Assurances CH-550.1.004.930-7
Vaudoise Vie CH-550.1.005.089-4
Fondation financement de la Caisse de pension Vaudoise Assurances CH-550.0.092.814-7
Caisse de pension Vaudoise Assurances CH-550.0.152.229-0
Paul-André SANGLARD
est
en
outre
vice-Président
de
la
Banque
Cantonal
vaudoise
CH-550.1.000.040-7,
qui
est
partenaire
des
Retraites Populaires vaudoises
CH-550.0.051.645-4.
Le
Groupe
VAUDOISE
Assurances
a
procédé
au
nettoyage
de
ses
Registres
du
Commerce
accessibles
sur
le
Site
Internet
vaudois.
C’est
ainsi
qu’ont
disparus
certains
administrateurs
du
Groupe
VAUDOISE,
liés
directement
à
l’escroquerie
et
au
blanchiment
des
royalties
FERRAYÉ
que
je
défends
et
dont
je
suis
bénéficiaire à 50 %.
Je
ne
cite
là
que
l’une
des
principale
actrice
active
dans
cette
escroquerie
de
milliers
de
milliards
de
dollars
en
1991
et
1992,
en
la
personne
de
Martine
BRUNSCHWIG-GRAF
,
qui
était
alors
Conseillère
d’Etat
à
Genève
quand
le
Canton
encaissait
plus
de
CHF
22
millions
de
Droits
de
timbres
sur
les
conventions signées par Joseph FERRAYÉ. Voir le mémoire -
pièce 167
page 4.
On
comprend
mieux
pourquoi,
par
courrier
du
24
août
2005
,
Martine
BRUNSCHWIG-GRAF
considérait
ma
plainte
(et
non
une
dénonciation
puisque
je
suis
partie
à
la
procédure)
dénuée
de
tout
fondement...
Elle
a
donc
engagé
directement
la
responsabilité
de
l’Etat
de
Genève
dont
la
mise
en
faillite
n’est
qu’une
histoire de temps si des arrangements ne sont pas négociés.
Martine BRUNSCHWIG-GRAF
(
PLR
) est membre du
ROTARY
.
Elle a siégé au Conseil d’Etat genevois de 1993 à 2005, après avoir été Députée.
Elle
était
en
outre
vice-Présidente
de
la
Fondation
WILSDORF
CH-660.0.033.945-4
(propriétaire
de
ROLEX)
aux
côté
du
Président
et
Notaire
Pierre
MOTTU,
membre
du
PLR
et
du
ROTARY
,
mais
aussi
et
surtout
auteur
des
conventions
qui
ont
permis
d’escroquer
les
royalties
citées
plus
haut.
Voir
les
dossiers
suivants,
tous
en
lien
avec
l’escroquerie et le blanchiment des royalties :
Royalties - Historique
/
Escroquerie des brevets
/
Sociétés écrans
Panama-Papers
SwissLeaks - HSBC
Money Plane
Marc Bonnant
Corruption suisse
FedPol
(Police fédérale)
Michael Lauber
(Procureur de la Confédération)
Giroud Vins
Dans
les
liens
de
LA
VAUDOISE
Assurances
au
préjudice
de
Béchir
SEBEI,
il
est
impératif
de
relever
également
le
fait
que
le
Président
du
Groupe
Paul-André
SANGLARD
est
aussi
vice-Président
de
la
Banque
Cantonal
vaudoise
.
Il
dispose
donc
de
liens
d’influence
évidents
auprès
de
leur
partenaire
les
Retraites
Populaires
vaudoises.
Or,
on
peut
relever
au
RC
de
la
société
précitée,
l’inscription
en
date
du
20
mars
2007,
de
Mme
Patricia
COLELOUGH
,
qui
n’est
autre
que
l’ex
épouse
du
«
juge
»
vaudois
Philippe
COLELOUGH
ex
«
juge
»
cantonal.
Il est aisé d’en déduire que les magouilles et autres crimes économico-politico-judiciaires, se traitent en famille !
J’ai
l’intime
conviction
-
et
elle
vaut
bien
celle
du
voyou
complice
de
criminels
qui
occupe
le
siège
de
Procureur
général
du
Canton
de
Vaud
-
que
LA
VAUDOISE
Assurances
a
contribué
massivement,
au
même
titre
que
la
Banque
Cantonale
vaudoise
dirigée
par
le
CREDIT
SUISSE
,
au
blanchiment
des
royalties
FERRAYÉ.
Voir
aussi
Convention Mossack Fonseka
/ (
Panama-Papers
).
Dès
lors,
je
forme
d’ores
et
déjà
mes
réserves
civiles
solidairement
contre
tous
les
intervenants
dans
cette
escroquerie et blanchiment, à l’encontre de l’ensemble des sociétés du Groupe VAUDOISE et de ses réviseurs.
Mes
responsabilités
civiles
s’étendent
solidairement
également
à
tous
les
acteurs
membres
des
Conseils
d’administration
et
membres
des
Directions
respectives.
La
responsabilité
solidaire
des
royalties
escroquées,
est
estimée
actuellement
à
plus
de
CHF
30’000
milliards
de
francs.
Cette
valeur
sera
bien
entendu
adaptée
en
cas
de sous-estimation.
Les offices de cotations - bien que complices - seront informés de ce qui précède.
Compte
tenu
du
Crime
judiciaire
dont
il
est
Victime
et
du
fait
qu’il
ne
pourra
pas
faire
valoir
ses
Droits
tant
et
aussi
longtemps
que
le
pouvoir
judiciaire
vaudois
sera
en
main
d’une
Mafia
criminelle
contrôlée
par
la
Franc
Maçonnerie,
Béchir
SEBEI
dépose
également
par
l’intermédiaire
de
ce
Site,
ses
réserves
civiles
contre
tous
les
intervenants qui ont violé ses Droits et contre l’Etat de Vaud.
Les
Clubs
de
services
(
ROTARY
,
LIONS
Club,
KIWANIS,
etc.
obligent
leurs
membres
à
prêter
le
même
serment
secret
sur
leur
vie,
que
les
Loges
maçonniques.
Ces
Clubs
ont
soumis
aux
mêmes
règles
secrètes
que
la
Franc-Maçonnerie
et
ne
sont
en
définitive
qu’une
branche
anticonstitutionnelle
inférieure
de
la
Secte satanique.
Translation is coming soon
Signification de la lettre “G” en Franc-Maçonnerie
Pour
dissimuler
leur
appartenance
au
Satanisme,
certains
Francs-Maçons
tentent
de
tromper
l’Opinion
publique
en
laissant
croire
que
le
“
G
”
au
centre
du
compas
et
de
l’équerre,
signifierait
“God”.
Il
n’en
est
rien
et la définition réelle semblerait plutôt être
“
G
éométrie”
!
Des
érudits
tel
que
Jules
Boucher,
nous
signale
dans
ses
écrits,
que
rien
ne
prouve,
je
cite
:
«
que
cette
lettre
G
n'existait
pas
déjà
du
temps
de
la
FM
Opérative,
dont
L'origine
elle
n'est
pas
anglaise.
Dès
lors
on
ne
voit
pas
pourquoi
l'idée
de
Dieu
(
G
od
)
se
trouverait
insérée
au 2° degré en association avec l'étoile Flamboyante ».
Elle
y
apparaîtrait
même
comme
une
«
incohérence
»
,
comme
une
«
redondance »
, selon ce que cette dernière représente ».
Même avis de la part d'Edouard E. Plantagenet qui écrit :
«
Les
anciens
rituels
donnent
à
la
lettre
«
G
»
le
sens
fondamental
de
«
G
éométrie
».
Ils
le
justifient
en
faisant
observer,
avec
raison,
que
de
tous
temps
la
géométrie
a,
objectivement
et
subjectivement,
été
considérée comme base essentielle de l'initiation maçonnique.
D'autre
part
cette
science
étant
la
cinquième
de
celles
dans
lesquelles
le
Maçon
«
doit
observer
sa
foi
»,
elle
s'apparente
étroitement
avec
l
'étoile
Flamboyante
et
devient
ainsi,
par
définition,
la
science
spécifique
de
l'Initié
au
second
degré.
Extrait de Ledifice.net
L’étoile flamboyante