Etats-Unis d’Amérique / USA
Worldcorruption.info
Lors
de
l’invasion
du
KOWEIT
en
1991,
les
Etats
Unis
étaient
alors
sous
la
Présidence
du
Texan
(Rép.)
Georges
H.W.
BUSH.
Richard
Bruce
(Dick)
CHENEY
(Rép.)
était
alors
secrétaire
à
la
Défence,
et
c’est
lui
qui
a
lancé
l’opération
“Tempête
du
Désert”
contre
les
troupes
de
Saddam
HUSSEIN.
Dick
CHENEY
est
ensuite
devenu
vice-Président
des
USA,
sous
la
Présidence
du
plus
lamentable
président
des
Etats-
Unis,
Georges W. BUSH.
Lors
de
l’extinction
des
puits
pétrolifères
au
KOWEIT,
diverses
sociétés
américaines
étaient
actives
dont
HALLIBURTON
qui
selon
WIKIPEDIA
a
contribué
à
l’extinction
et
au
blocage
de
725
puits
au
Koweit.
Pourtant,
HALLIBURTON
n’a
pas
figuré
sur
la
liste
des
sociétés
établie
par
la
KPC.
Comme
la
totalité
des
puits
éteints
et
bolqués
était
de
1’164
unités
selon
extrait
Etat
du
KOWEIT
,
on
peut
en
déduire
que
les
coûts
pour
le
traitement
de
quelque
469
puits,
qui
ont
bien
évidemment
été
indemnisés,
ont
tout
simplement
été
détournés...
Alors
qui
ont
été
les
bénéficiaires
?
HALLIBURTON
qui
ne
figure
pas
sur
la
liste
KPC
et
qui
a
pourtant
été
active
au
KOWEIT,
ou
les
Gouvernements
sous
couverture
d’HALLIBURTON
?
Ces
montants
ne
comprennent
pas
le
produit
de
la vente des systèmes pour 2 à 3’000 milliards USD en 1992.
Rappelons
que
Joseph
FERRAYÉ
avait
fait
une
offre
de
USD
30
million
/unité
pour
l’extinction
et
le
blocage
des
puits
et
qu’il
a
été
écarté
des
négociations
parce
que
les
pays
de
la
coalition
ont
voulu
multiplier
le
coût
par
2.6.
Dès
lors,
469
puits
à
30
mio
*
2.6
=
36’582’000’000
de
dollars
et
pour
la
totalité
des
1’164
puits
:
USD
90’792’000’000
à
la
charge
de
la
population
iraquienne
au
travers
du
programme
de
l’ONU
“Pétrole
contre
nourriture”...
Comme
Secrétaire
Défense,
Dick
CHENEY
était
le
Commandant
en
Chef
des
troupes
américaines,
après
le
Président.
Les
groupes
d’intervention
étaient
donc
assurément
sous
son
autorité
et
ce
n’est
certainement
pas
un
hasard
s’il
a
été
nommé
à
la
Présidence
de
HALLIBURTON
en
1995,
société
qui
a
obtenu
de
gros
contrats
en
IRAK
en
2003.
Ce
n’est
pas
un
hasard
non
plus
s’il
est
devenu
vice-Président
des
Etats
Unis
de
2001
à
2009
après l’élection de Georges W. BUSH.
La
DEA
(D
rug
E
nforcement
A
dministration)
qui
dépend
directement
du
Service
Fédéral
de
la
Justice
est
dirigée
par
un
Administrateur
désigné
par
le
Président.
Le
Département
fédéral
de
la
Justice
est
dirigé
par
le
Procureur
général,
qui
lui-même
est
membre
du
Cabinet
présidentiel.
Les
membres
du
cabinet
sont
nommés
par
le
président
puis
présentés
au
Sénat
des
États-Unis
pour
avis
et
consentement
(advice
and
consent,
termes
utilisés
dans
la
Constitution,
procédure
par
laquelle
le
Sénat
approuve
et
confirme
cette
nomination
ou
la
rejette,
par
un
vote
à
la
majorité
simple).
Si
la
nomination
est
approuvée,
le
nouveau
membre
du
cabinet
prête
serment,
reçoit
le
titre
de
secrétaire (Secretary), puis débute son mandat.
William
BAAR
était
du
20
novembre
1991
au
20
janvier
1993,
procureur
général
des
Etats-Unis.
C’est
donc
de
lui
que
dépendait
la
DEA,
sous
la
Présidence
de
Georges
H.
W.
BUSH
lors
de
la
première escroquerie des royalties FERRAYÉ.
La
DEA
a
joué
un
rôle
primordial
lors
du
transfert
des
fonds
escroqués
depuis
1991,
puisque
le
sceau
de
la
DEA
était
apposé
sur
tous
les
ordres
de
virements,
pour
échapper
au
organes
de
surveillance
officiels
des
Etats.
Le
responsable
du
crime
précité
était
Partick
DAWSON
,
alias
Dave
ROWE,
qui
était
le
chef
de
la
DEA
pour
la
France
et
résidait
alors
à
Gland
en
Suisse.
Il
avait
été
condamné
en
Suisse
pour
activités
financières
illégales
et
blanchiment
d’argent,
avant
de
reprendre
son
rôle
au
sein
du
complot
en
1996
après
la
levée
des
séquestres par le
Procureur général genevois Bernard BERTOSSA.
Il
est
intéressant
de
relever
que
Donald
RUMSFELD
qui
avait
été
Secrétaire
d’Etat
à
la
Défense
sous
la
Présidence
de
Gérald
FORD,
et
le
sera
à
nouveau
sous
la
Présidence
de
Georges
W.
BUSH,
figurait
au
RC
CH-020.3.900.058-8
comme
Administrateur
de
la
Société
suisse
ABB
Asea
Brown
Boveri
Ltd
Zürich
de
1991
à
1993
au
moment
de
la
première
escroquerie
des
royalties
provenant
de
l’extinction
des feux au KOWEIT et de la vente des systèmes, avant le séquestre de 1996.
Présidence Bill CLINTON
Bill
CLINTON
(Démoc.)
a
été
Président
de
1993
à
2001
et
c’est
sous
sa
présidence
que
la
plus
grande
partie
des
royalties
FERRAYÉ
ont
été
escroquées
après
la
levée
du
séquestre
en
1995,
puis blanchies.
Janet
REMO
occupait
le
poste
de
Procureur
général
des
Etats-Unis
du
12
mars
1993
au
20
janvier
2001,
sous
la
Présidence
de
Bill
CLINTON
et
c’est
dès
lors
d’elle
que
dépendait
la
DEA.
Rappelons
à
ce
titre
que
toutes
les
transactions
relatives
à
l’escroquerie
des
royalties
ont
été
réalisées
en
DOLLARS
et
qu’à
ce
seul
titre,
les
Etats-Unis
qui
non
seulement
n’ont
pas
veillé
aux
transferts
touchant
à
leur
monnaie,
ont
au
surplus
laissé
exécuter
les
transfers
en
question
grâce
à
la
DEA
et
se
sont
ainsi
faits
complices
de
l’escroquerie.
Les
USA
portent
une
très
lourde
responsabilité
envers
les
bénéficiaires
légaux
des
royalties
escroquées.
Sur
plainte
du
29
janvier
1996
déposée
par
Joseph
FERRAYÉ
et
rédigée
par
les
Avocats
genevois
Marc
BONNANT
et
Dominique
WARLUZEL
,
après
que
Daniel
LEVAVASSEUR
ait
retrouvé
l’ensemble
des
comptes
sur
lesquels
les
montants
des
royalties
avaient
été
transférés
-
il
s’agissait
de
centaines
de
milliards
de
dollars
à
travers
le
monde
-
les fonds ont été séquestrés.
André
SANCHEZ,
Président
de
BCS
Finance
SA
à
Sion
puis
Fribourg
(Suisse)
était
partie
à
la
convention
de
séquestr
e
du
12
janvier
1996
et
avait
été
chargé
de
faire
déposer
l’acceptation
et
l’offre
irrévocable
de
cession
des
droits
litigieux
dès
réception
des
fonds
qui
devaient
lui
être
transmis.
Lorsque
André
SANCHEZ
a
pris
conscience
que
la
convention
n’était
pas
respectée
et
que
les
fonds
étaient
détournés,
il
a
menacé
ses
partenaires
de
les
dénoncer.
En
décembre
1996,
Joseph
FERRAYÉ
a
fait
l’objet
d’une
tentative
d’assassinat
par
les
responsables
de
la
DEA.
C’est
en
décembre
1996
que
Bill
CAMPBELL
,
chef
de
la
DEA
à
l’époque
dont
William
H.
WEBSTER
était
le
mentor,
a
demandé
à
FERRAYE
de
contacter
Patrick
DAWSON
,
chef
DEA
Fance,
qui
voulait
le
rencontrer
pour
lui
remettre
des
documents.
Le
rendez-vous
a
été
fixé
pour
le
lendemain
à
Paris,
dans
les
bureaux
de
la
DEA,
entrée
rue
de
la
Boëtie,
à l’arrière de l’Ambassade des Etats-Unis.
FERRAYE
en
a
informé
son
avocat
Cyril
ABECASSIS
qui
a
souhaité
l’accompagner.
ABECASSIS
et
FERRAYE
sont
donc
allés
ensemble
à
la
DEA
où
ils
ont
été
r
eçus
par
DAWSON
qui
a
contraint
Cyril
ABECASSIS
à
attendre
dans
une
pièce
attenante.
Durant
près
de
quatre
heures,
Patrick
DAWSON
a
posé
toutes
sortes
de
questions
pour
savoir
si
FERRAYE
détenait
des
pièces
qui
le
citaient
lui
chef
de
la
DEA
France
ou
qui
impliquaient
la
DEA.
A
l’issue
de
cet
interrogatoire, DAWSON a congédié les deux hommes et a refusé de s’entretenir avec l’avocat.
En
ressortant
de
la
DEA,
Cyril
ABECASSIS
a
conduit
FERRAYE
chez
deux
de
ses
amis
avocats
juifs
à
Paris.
L’entretien
commun
a
duré
environ
deux
heures,
après
quoi
les
amis
d’ABECASSIS
ont
souhaité
s’entretenir
seuls
avec l’avocat
A
son
retour,
l’avocat
de
FERRAYE
avait
la
mine
déconfite
!
Le
personnage
avait
totalement
changé,
ses
propos
antérieurs
avaient
disparu
et
ABECASSI
S
avait
compris
que
son
seul
moyen
de
traiter
ce
dossier
était
de
se
rallier
malgré lui aux escrocs pour recevoir sa part.
C’est
donc
malgré
lui,
que
Cyril
ABECASSIS
a
rejoint
le
complot
que
conduisait
Marc
BONNANT,
contre
lequel
qui
il
nourrissait
pourtant
un
besoin
de
vengeance
évident
et
qu’au
surplus
il
aurait
voulu
faire
condamner.
Marc
BONNANT
lui
avait
piqué
sa
femme
et
pour
un
«
cocu
»,
devoir
se
soumettre
ensuite
à
celui
qui
l’avait
cocufié
lui
était insupportable, raison pour laquelle ABECASSIS, se sentait si mal.
Suite
à
cet
entretien
à
Paris,
FERRAYE
s’est
souvenu
qu’il
avait
entendu
à
plusieurs
reprises
que
le
détournement
de
ses
fonds,
suivait
également
la
filière
juive,
sans
connaître
encore
les
activités
du
«
gouvernement
mondial
–
Bilderberg etc. ».
Lors
d’un
entretien
qui
a
eu
lieu
en
novembre
2001
entre
FERRAYE
et
Tullio
PONZI
(ami
de
William
WEBSTER),
ce
dernier
a
confié
à
FERRAYE
qu’il
avait
eu
connaissance
de
sa
rencontre
avec
DAWSON
à
la
DEA
à
Paris
et
en
a
décrit
les
détails,
particulièrement
l’entrée
secondaire
située
rue
de
la
Boëtie
où
l’attendait
DAWSON
.
PONZI
a
confirmé
que
ce
jour
là,
cette
entrée
avait
été
libérée
spécialement
pour
la
venue
de
FERRAYE,
qu’il
n’y
avait
aucun
témoin
et
que
si
FERRAYE
n’avait
pas
été
accompagné
de
son
avocat
ABECASSIS,
il
ne
serait
jamais
ressorti des bureaux de la DEA.
PONZI
a
aussi
révélé
à
FERRAYE
lors
du
même
entretien,
que
lorsqu’il
a
été
entendu
à
deux
reprises
par
Bill
CAMPBELL
à
l’Ambassade
des
Etats-Unis
à
Berne,
en
décrivant
la
pièce,
que
leur
conversation
était
transmise
en
directe
au
siège
de
la
CIA
aux
USA…
Ces
révélations
de
Tullio
PONZI
font
de
Patrick
DAWSON,
alias
Dave
ROWE, un assassin en puissance et de Bill CAMPBELL son commanditaire.
Comme
on
l’a
vu
plus
haut,
c’est
Bill
CAMPBELL
qui
a
envoyé
FERRAYE
chez
DAWSON
et
ceci
après
que
CAMPBELL
se
soit
senti
menacé
par
l’intervention
des
escrocs
VENEAU
et
CARDI
qui
corrompaient
des
fonctionnaires
de
la
DEA.
Cette
situation
est
corroborée
par
la
lettre
du
5
septembre
1996
de
William
J.
CAMPBELL
,
chef
de
la
DEA
à
Berne,
à
la
Police
fédérale
Suisse.
Dans
cette
lettre,
William
J.
CAMPBELL
fait
une
déclaration
contraire
à
celle
qu’il
avait
faite
le
7
février
1996
quand
il
affirmait
à
FERRAYE,
avoir
remis
tous
les
comptes
bancaires
à
Gérard
CRAUSAZ
Inspecteur
N°
S8205
de
la
police
financière
de
Genève,
pour
le
Procureur
KASPER-ANSERMET.
Lors
d’un
entretien
téléphonique
le
8
février
1996
avec
FERRAYÉ,
Gérard
CRAUSAZ
avait
effectivement
confirmé
avoir
reçu
les
comptes
bancaires
par
l’entremise
de
Bill
CAMPBELl.
Dans
son
courrier
du
5
septembre
1996,
CAMPBELL
veut
manifestement
cacher
son
implication
et
soulève
des
interrogations pour masquer sa propre participation au détournement et au blanchiment des royalties.
L’ère
CLINTON
est
marquée
d’un
autre
fait
important
qui
semble
démontrer
que
la
corruption
de
la
plus
grande
puissance
mondiale,
s’est
propagée
tant
au
niveau
économique
que
politique
et
militaire, jusqu’à la Présidence.
Money Plane
Marc
RICH
était
né
à
Anvers
(Belgique)
le
18
décembre
1934
au
sein
d’une
famille
juive
émigrée
aux
USA
durant
la
guerre.
Son
vrai
nom
était
Marcell
David
REICH.
Il
cumulait
les
nationalités
américaine,
espagnole,
israélienne,
belge
et
suisse.
Il
habitait
le
Canton
de
ZUG
en
Suisse.
Spécialisé
dans
le
commerce
de
matières
premières,
Marc
RICH
avait
fondé
les
sociétés
Marc
RICH
SA,
devenues
plus
tard
GLENCORE-XSTRATA
basées
également
à
ZUG.
La
“
Liste
des
sociétés suisses
”
dans lesquelles il était enregistré, donne une idée de l’étendue de son influence économique.
Marc
Rich
a
bâti
une
grande
partie
de
sa
fortune
en
contournant
l'embargo
sur
l'Iran
établi
à
la
suite
de
la
prise
d'otages
de
l'ambassade
des
États
Unis
en
Iran,
le
4
novembre
1979
à
Téhéran.
Il
fut
pour
cela
poursuivi
et
condamné
aux
États-Unis
pour
violation
d'embargo.
Le
19
septembre
1983,
un
grand
jury
fédéral
américain
l'accuse
de
plus
de
60
chefs
d'inculpation
:
fraude,
commerce
avec
l'ennemi,
etc.
Cette
condamnation
aurait
pu
lui
valoir
jusqu'à
325
années
de
prison
.
Mais
elle
a
été
prononcée
par
contumace,
Marc
RICH
s'étant
enfui
en
Suisse.
Celle-ci
a
refusé
l'extradition
demandée
en
1984
par
les
États-Unis.
Marc
Rich
y
installe
le
siège
de
ses
sociétés,
à
ZUG.
De
1983
à
2001,
Marc
RICH
figure
sur
la
liste
des
Dix
Fugitifs
les
plus
recherchés
du
FBI.
C’est
sur
demande
du
4
décembre
2000
du
Président
de
UBS
Pierre
DE
WECK
que
Marc
RICH
a
obtenu
le
“Pardon présidentiel” de Bill CLINTON.
Le
20
janvier
2001,
quelques
heures
avant
que
Bill
CLINTON
quitte
la
présidence,
un
de
ses
derniers
actes
officiels
a
été
de
gracier
Marc
RICH
.
Cette
amnistie
présidentielle
a
déclenché
un
scandale,
amplifié
lorsque
l'on
a
appris
que
Denise
RICH,
ex-épouse
de
l'homme
d'affaires,
avait
fait
des
dons
d'un
million
de
dollars
au
Parti
démocrate
et
à
la
fondation
des
Clinton.
Lors
d'une
audience
du
Congrès
afin
de
déterminer
si
le
pardon
a
été
accordé
en
échange
de
ses
contributions,
Denise
RICH
a
invoqué
le
cinquième
amendement
de
la
Constitution
des
Etats-Unis,
qui
interdit
au
gouvernement
le
pouvoir de contraindre un Citoyen à s'auto incriminer.
En
avril
2013,
dans
le
cadre
de
“Offshore
leaks”
concernant
le
scandale
de
l’évasion
fiscale,
certains
dossiers
financiers
dévoilés
ont
démontré
que
Denise
RICH
avait
dissimulé
en
avril
2006,
USD
144
millions
aux
Îles
COOK
dans
le
Pacific
sud,
sous
la
forme
d’une
fiducie
dans
un
Learjet
60
et un yacht de 157 pieds appelé le “Lady Joy”.
Secrétaires d’Etat
Christopher
WARREN
et
Madeleine
ALBRIGHT
ont
été
les
deux
secrétaires
d’Etat
sous
la
Présidence
de
Bill
CLINTON.
Le
Département
d’Etat
aux
Etats-Unis
est
le
Département
exécutif
fédéral
chargé
des
relations
internationales.
Il
est
donc
l’équivalent
d’un
ministère
des
affaires
étrangères
dirigé
par
le
Secrétaire
d’Etat
qui
fait
partie
du
Cabinet
Présidentiel
,
un
organe
exécutif
à
la
disposition
du
président
des
États
Unis
et
qui normalement agit comme une structure de conseil de la présidence.
Christopher
WARREN
a
été
en
fonction
du
20
janvier
1993
au
17
janvier
1997.
Il
avait
succédé
à
James
Addison
BAKER
III
qui
avait
occupé
la
fonction
sous
la
Présidence
BUSH
du
20
janvier
1989
au
23
août
1992,
soit
la
première
période
de
l’escroquerie des royalties depuis le Koweit.
Le
9
février
1993,
Madeleine
ALBRIGHT
a
été
nommée
Ambassadrice
américaine
aux
Nations
Unies
par
le
Président
Bill
CLINTON,
avec
r
ang
au
Cabinet
Présidentiel.
Nous
connaissons
aujourd’hui
le
rôle
capital
qu’ont
joué
les
Nations
Unies
dans
le
blanchiment
des
royalties
FERRAYÉ
et
on
comprend
ainsi
mieux
pourquoi
l’Ambassadrice
avait
accès
au
“Cabinet”...
Madeleine
ALBRIGHT
a
été
nommée
Secrétaire
d’Etat
par
le
Président CLINTON, le 5 décembre 1996 et fût investie le 23 janvier 1997.
En
2001
à
la
fin
du
mandat
CLINTON,
Madeleine
ALBRIGHT
créa
l'Albright
Group,
un
cabinet
de
conseil
en
stratégie
internationale
basé
à
Washington,
D.C.
Elle
compta
Coca-Cola,
Merck,
Dubai
Ports
World
et
Marsh
&
McLennan parmi ses clients.
En
2003,
elle
accepta
une
place
au
Conseil
des
Directeurs
du
New
York
Stock
Exchange.
En
2005,
ALBRIGHT
décida
de
ne
pas
solliciter
un
second
mandat,
suite
aux
conséquences
du
scandale
Grasso,
dans
lequel
le
président
du
Conseil
des
directeurs
de
la
NYSE,
Dick
Grasso,
perçut
pour
son
départ
une
indemnité
de
187,5
millions
de
dollars,
avec une gouvernance faible du Conseil dans lequel Albright siégeait...
Présidence Georges W. BUSH
Georges
W.
BUSH
(Rép.)
a
succédé
à
Bill
CLINTON
en
janvier
2001
et
a
présidé
les
Etats-Unis
jusqu’en
2009.
Il
avait
été
élu
deux
fois
au
poste
de
Gouverneur
du
Texas.
Sa
présidence
est,
entre
autres,
marquée
par
les
attentats
du
11
septembre
2001,
par
les
déclenchement
des
guerres
en
AFGHANISTAN et en IRAK et par le “PATRIOT ACT”, puis par la crise des subprimes.
Trois procureurs ont pu pratiquer leurs idées tortionaires sous l’ère BUSH :
John ASHCROFT
01.02.2001 - 20.01.2005
Alberto GONZALES
03.02.2005 - 17.09.2007
Michael B. MUKASEY
09.11.2007 - 20.01.2009
John
ASHCROFT
a
été
à
l’origine
du
Patriot
Act
(qui
autorise
entre-autres
les
recours
à
la
torture)
après
les
attentats
du
11
septembre
2001.
Son
recours
systématique
à
la
menace
terroriste
pour
justifier
ses
décisions
politiques
au
risque
de
restreindre
les
libertés
civiles
ont
fini
par
le
rendre
lui-même
suspect
d'arrières
pensées
électorales.
Il a fini par être le symbole et la référence des groupes anti-BUSH.
Alberto
GONZALES
a
été
à
l'origine
du
décret
présidentiel
autorisant
le
recours
aux
tribunaux
militaires
pour
juger
les
suspects
de
terrorisme,
de
l'argumentaire
juridique
utilisé
pour
empêcher
le
Congrès
d'avoir
accès
aux
documents
préparatoires
aux
lois
sur
l'énergie
et
l’environnement
et
de
la
mise
en
place
du
Patriot
Act
dont
il
fut
un
des
premiers
défenseurs.
Il
a
été
Impliqué
dans
plusieurs
affaires
politiques
comme
l'une
liée
à
l'éviction
de
procureurs
fédéraux
en
2006,
perçue
comme
une
purge
politique
ou
une
autre
sur
son
rôle
supposé
dans
un
vaste
programme d'écoutes illégales.
Michael
B.
MUKASEY
Il
avait
été
nommé
juge
fédéral
à
New
York
par
Ronald
REAGAN
en
1987
où
il
a
exercé
durant
19
ans
avant
de
retourner
dans
le
privé.
C’est
lui
qui
a
jugé
les
dix
prévenus
de
l’attentat
du
World
Trade
Center
en
1993
et
qui
a
mené
la
procédure
judiciaire
concernant
les
attentats
du
11
septembre
2001.
Il
a
été
un
fervent
défenseur
du
Patriot
Act.
Lors
de
son
audition
par
le
Sénat,
MUKASEY
a
refusé
de
s'exprimer
sur
la
légalité
de
la
simulation
de
noyade
contre
les
suspects
de
terrorisme,
dénoncée
par
ses
détracteurs
comme
des
actes de torture.
Les
liens
de
la
famille
BUSH
et
de
la
famille
BEN
LADEN
qui
géraient
leur
patrimoine
respectif
au
travers
du
Groupe
CARLYLE,
vont
être
utilisés
pour
démontrer
que
le
réseau
financier
de
BEN
LADEN
a
probablement
été
utilisé
pour
escroquer
et
blanchir
les
royalties
FERRAYÉ
et
que
les
attentats
du
11
septembre
2001
ne
sont
peut-être
pas étrangers à cette affaire.
William
WEBSTER
cité
plus
haut,
ancien
chef
de
la
CIA
et
du
FBI
aurait
déclaré
à
son
ami
Tullio
PONZI
que
Jean-
Marie
GHISLAIN
Président
de
WILDROSE
et
de
EVERTON
Enterprise
Ltd,
deux
sociétés
coquilles
mises
en
place
par
ERNST
&
YOUNG
par
conventions
avec
FERRAYÉ
pour
lui
escroquer
les
royalties,
apparaissait
dans
le réseau de blanchiment de Oussama BEN LADEN
.
Si
l’on
sait
qu’au
moment
des
attentats,
plus
de
4’000
procédures
étaient
en
cours,
en
lien
avec
des
archives
qui
se
trouvaient
dans
les
murs
du
World
Trade
Center
et
que
ces
procédures
allaient
immanquablement
mettre
en
lumière
les
auteurs
des
crimes
liés
à
l’escroquerie
FERRAYÉ,
la
thèse
du
complot
initié
par
les
plus
hauts
dirigeants
de
l’Etat, devient alors plus que plausible !.
Cela
compris
et
en
regard
de
l’absence
totale
d’éthique
et
de
morale
de
Georges
W.
BUSH
il
n’est
pas
improbable
que
les
instigateurs
de
l’attentat
du
11
septembre
2001
ne
soient
pas
ceux
qui
ont
été
désignés,
mais
qu’ils
puissent
se
trouver
dans
les
plus
hautes
instances
de
l’Etat.
N’oublions
pas
que
des
centaines
de
millards
étaient
en
jeu
(il
était question de 2’000 à 3’000 milliards en 1992, soit le double au moins 10 ans plus tard).
Autre
fait
intrigant,
le
CREDIT
SUISSE,
l’une
des
banques
limpliquées
dans
l’escroquerie
des
royalties,
occupait
des
bureaux
pour
80
personnes
dans
les
tours
du
World
Trade
Center.
Or
le
11
septembre
2001,
il
n’y
avait
aucun
employé
CREDIT SUISSE présent à leur place de travail, la banque ayant “organisé” une séance à l’extérieur...
L’onglet
Historique
/
Sociétés
écrans,
donne
un
aperçu
plus
complet
des
implications
BUSH
/
BEN
LADEN
dans
cette
affaire.
L’implication
de
Pierre-Olivier
SARKOZY,
frère
du
président
français
déchu,
qui
avait
été
cadre
d’UBS
et
de
CREDIT
SUISSE
avant
de
gérer
un
fonds
de
plus
de
USD
500
milliards
dans
le
Groupe
CARLYLE,
laisse
songeur, etc.
Donald
H.
RUMSFELD
et
Robert
GATES
ont
été
tous
deux
Secrétaires
à
la
Défense
sous la Présidence de
Georges W. BUSH.
Comme
décrit
plus
haut,
Donald
RUMSFELD
figurait
au
RC
CH-020.3.900.058-8
comme
Administrateur
de
la
Société
suisse
ABB
Asea
Brown
Boveri
Ltd
Zürich
de
1991
à
1993
au
moment
de
la
première
escroquerie
des
royalties
provenant
de
l’extinction
des
feux
au
KOWEIT
et
de
la
vente
des
systèmes,
avant
le
séquestre
de
1996.
Il
siégeait
à
ce
moment
là
aux
côtés
de
Percy
Nills
BARNEVIK
,
Josef
ACKERMANN,
Stephan
SCHMIDHEINY,
David
de
PURY,
Helmut
MAUCHER, etc.
La liste des liens d’influence
est représentative.
Or,
après
la
levée
des
séquestres
des
royalties,
au
moment
où
il
a
fallu
faire
transiter
les
capitaux
par
la
DEA
pour
les
blanchir,
Donal
H.
RUMSFELD
apparaît
à
nouveau
dans
une
autre
société
ABB,
le
RC
CH-020.3.021.615-2
de
New
ABB
Ltd
Zürich
dans
laquelle
il
a
été
Administrateur
du
28
juin
1999
au
11
mai
2001
comme
on
vient
de
le
voir,
là
encore
aux
côtés
de
Percy
Nills
BARNEVIK
.
L'article
«How
well
control
techniques
were
refined
in
KUWAIT»
transcrit
par
«
comment
les
techniques
de
contrôle
des
Puits
ont
été
perfectionnées
au
KOWEIT»:
du
magazine
WORLD
OIL
de
mai
1992,
qui
a
été
écrit
par
Larry
FLAK,
ingénieur
qui
a
coordonné
les
travaux
des
extinctions
des
puits
du
19
mars
au
15
novembre
1991,
décrit
les
caractéristiques
techniques
des
nouveaux
systèmes,
mais
les
attribue
à
ABB
VETCO
GRAY,
dont
le
PDG
n’est
autre
que
Percy
BARNEVIC...
L’article
dit
qu’
ABB
VETCO
GRAY,
qui
a
dirigé
l'atelier
mécanique
de
KOWEIT
Oil
Company
à
Ahmadi,
a
été
capable
de
réaliser
des
procédés
géométriques.
Dès
ce
moment,
FLAK
rentre
techniquement
dans
la
description
des
caractéristiques techniques des nouveaux systèmes appartenant à FERRAYE...
Quant
à
Robert
GATES,
il
était
Directeur
de
la
CIA
du
6
novembre
1991
au
20
janvier
1993,
(successeur
de
William
WEBSTER)
au
moment
de
l’escroquerie
des
royalties
avec
la
complicité
de
la
DEA,
une
complicité
dans
laquelle le responsable pour la France
Patrick DAWSON,
et son supérieur
Bill CAMPBELL
ont été très actifs.
Robert
GATES
a
aussi
été
Secrétaire
d’Etat
à
la
Défense
sous
la
Présidence
de
Georges
W.
BUSH
et
celle
de
Barack OBAMA jusqu’au 30 juin 2011. Il avait succédé à Donald H. RUMSFELD.
Il
n’est
pas
inutile
d’ouvrir
une
parenthèse
et
de
faire
état
ici
des
liens
du
Président
déchu
Nicolas
SARKOZY
avec
la
CIA...
En
1976,
la
mère
de
Nicols
SARKOZY
s’est
remariée
avec
Frank
G.
WISNER,
directeur
général
de
la
CIA
chez
lequel
Nicolas
SARKOZY
a
fait
plusieurs
séjours.
Cette
situation
indique
sans
doute
possible
l’implication
active
de
la
CIA
et
de
la
DEA
dans
l’escroquerie
par
le
Gouvernement
français,
des
royalties
sur
les
brevets
FERRAYÉ
avec
la
complicité
de
la
CIA.
Voir onglet Etats / France / Présidentielle - Portrait SARKOZY)
En
outre,
Pierre-Olivier
SARKOZY,
frère
du
président
français
déchu,
qui
avait
été
cadre
d’UBS
et
de
CREDIT
SUISSE
avant
de
gérer
un
fonds
de
plus
de
USD
500
milliards
dans
le
Groupe
CARLYLE,
laisse
songeur
,
etc.
Secrétaires d’Etat
Colin
POWELL
a
été
Chef
d’Etat-major
des
armées
de
1989
à
1993
et
a
donc
conduit
les
troupes
américaines
et
alliées
lors
de
l’opération
“Tempête
du
Désert”
au
KOWEIT.
Il
est
devenu
le
65
e
Secrétaire
d’Etat
avec
entrée
au
“Cabinet
Présidentiel,
du
20
janvier
2001
au
26
janvier
2005.
Il
a
été
l
’auteur
de
preuves
controversées
sur
l’existence
d’armes
chimiques
en
IRAK,
pour
justifier
l’entrée
en
guerre
des
Etats
Unis.
Le
dossier
cité
par
Colin
POWELL
avait
été
fourni
par
l'administration
britanique
de
Tony
BLAIR
qui reconnaîtra dès le 7 février 2003 des "gaffes" assurément volontaires dans le dossier.
Avant
d’être
Secrétaire
d’Etat,
Condoleezza
RICE
avait
fait
partie
de
plusieurs
conseils
d'administration,
dont
celui
du
pétrolier
Chevron.
Elle
était
ainsi
une
actrice
majeure
au
KOWEIT
en
1991.
Dès
l'entrée
en
fonction
de
George
W.
BUSH
en
janvier
2001,
elle
est
devenue
sa
conseillère
à
la
sécurité
nationale,
fonction
qu'elle
a
occupée
jusqu'en
2005.
Le
16
novembre
2004,
elle
fut
nommée
par
le
Président,
quelques
jours
après
la
réélection
de
celui-ci,
au
poste
de
Secrétaire
d'État,
après
la
démission
de
Colin
POWELL.
En
avril
2009,
le
Sénat
des
États-Unis
a
révélé
que
Condoleezza RICE
avait autorisé l'utilisation de
méthodes de tortures musclées.
Présidence Barack Hussein OBAMA
Il est temps pour vous Monsieur, de quitter la Maison Blanche
Bar
ack
Hussein
Obama
II
(Démoc.)
est
entré
en
fonction
comme
44
e
Président
des
Etats
Unis
d’Amérique
le
20
janvier
2009.
Il
avait
été
préalablement
Sénateur
de
l’Illinois de 1997 à 2004 et Sénateur des Etats-Unis pour l’Illinois de 2005 à 2008.
Rien
avant
son
soutien
à
Hillary
CLINTON
lors
de
la
Présidentielle,
contrairement
à
ses
prédécesseurs,
ne
nous
permettait
de
faire
le
lien
entre
Barack
OBAMA
et
l’escroquerie
des
royalties
FERRAYÉ,
même
s’il
aurait
été
naïf
de
penser
que
l’accession
au
poste
de
1er
Citoyen
du
monde
est
possible
sans
avoir
des
casseroles
cachées dans les placards.
Un
bémol
toutefois
contrariant
a
été
la
nomination
d’Hi
ll
ary
CLINTON
comme
Secrétaire
d’Etat,
en
regard
de
l’activité
machiavélique
du
Président
CLINTON
et
de
son
Gouvernement
dans
l’escroquerie
et
le
blanchiment
des
royalties
FERRAYÉ.
Arriviste
confirmée,
sans
éthique
ni
morale,
Hillary
CLINTON
aurait
certainement
été
une
parfaite
secrétaire
d’Etat,
mais
durant
la
présidence
de
Georges
W.
BUSH.
John
KERRY
a
succédé
à
Hillary
CLINTON,
mais
comme
membre
de
la
Loge
Franc-Maçonne
Sculls
and
Bones
(1966)
il
ne
peut
certainement
pas
être
plus
crédible
que
ne
l’a
été
Georges
W.
BUSH membre de la même loge depuis 1968.
Il
reste
maintenant
moins
de
deux
ans
au
Président
OBAMA
pour
redonner
aux
Etats-Unis
leur
prestige
et
en
faire
à
nouveau
une
puissance
économique
et
politique
respectée
dans
le
monde,
mais
une
telle
reconstruction
qui
ne
pourra
être
basée
que
sur
des
valeurs
morales
fortes
qui
ne
s’arrêteront
pas
aux
hypocrites
“God
bless
America” de Georges W. BUSH
vont nécessiter des capitaux gigantesques.
Et
c’est
dans
ce
contexte
que
l’Administration
OBAMA
pourrait
jouer
son
rôle
capital
dans
la
prise
de
contrôle
de
l’économie
financée
par
les
royalties
FERRAYÉ.
Remettre
cette
puissance
économique
en
mains
de
Citoyens
à
qui
elle
appartient
et
montrer
au
monde
qu’escroquer
des
biens
qui
appartiennent
à
autrui
conduit
“directement
à
la
case
Prison,
sans
passer
par
le
start,
sans
toucher
de
prime”
pour
reprendre
l’expression
bien
connue
du
jeu
de
“Monopoly”.
La
Procureur
général
des
Etats-Unis
Loretta
LYNCH
était
en
fonction
sous
la
Présidence
OBAMA.
La
Procureur
LYNCH
a
forgé
sa
carrière
entre-autres
en
travaillant
sur
plusieurs
cas
de
corruption
politique
impliquant
le
Goubernement
de
Brookhaven,
New-York.
De
1998
à
1999,
elle
était
la
Cheffe
adjointe
du
Procureur
général
des
Etats-Unis
dans
le
distric
de
l’Est
et a dirigé le bureau de Brooklyn.
Le
dossier
MONEY
PLANE
nous
démontre
aujourd’hui
qu’elle
a
été
active
dans
l’escroquerie
et
le
blanchiment
des
royalties
FERRAYÉ
et
le
blanchiment
par
la
FED
de
milliers
de
milliards
de
dollars
au
travers
de
la
Mafia
RUSSE.
Rappelons
que
c’est
à
elle
qu’ont
été
adressées
les
plaintes
des
13
mai
2015
et
13
octobre
2016
et
qu’elle
n’y
a donné aucune suite, confirmant ainsi sa complicité !
Le
bureau
de
Loretta
LYNCH
a
poursuivi
le
Député
républicain
Michael
GRIMM
et
les
démocrates
Pedro
ESPADA
Jr.
et
William
Boyland
Jr.
Elle
a
enquêté
sur
les
titres
hypothécaires
vendus
par
Citigroup
qui
a
conduit
à
un
règlement
de
USD
7
milliards
et
a
été
impliquée
dans
les
accords
contre
HSBC
relevant
de
la
loi
sur
les
violations
du
secret bancaire dont l’issue a été un règlement de USD 1.2 milliard.
La
confirmation
de
la
nomination
de
Loretta
LYNCH
a
été
la
plus
longue
de
l’histoire
des
Etats-Unis
pour
la
nomination
d’un
Procureur
Général,
suite
à
des
oppositions
républicaines
dont
le
Président
du
Sénal
Chuck
GRASSLEY.
Il
était
alors
qestion
de
reproches
sur
le
rôle
de
Loretta
LYNCH
en
1999
-
alors
qu’elle
était
Procureur
à
New
York
-
dans
le
cadre
d’un
règlement
de
USD
1.9
milliard
dans
lequel
était
condamée
HSBC
pour
blanchiment
d’argent.
A
noter
que
Loretta
LYNCH
a
été
membre
du
Conseil
d’Administration
de
la
Federal
Reserve
Bank
of
New
York.
La
nouvelle
Procureur
général
des
Etats-Unis
semble
donc
avoir
le
baggage
utile
pour
combattre
le
crime
organisé
entre-autres
par
le
système
bancaire.
Il
devient
urgent
que
le
secret
bancaire
suisse
doit
disparaître,
tout
comme
les
paradis
fiscaux
où
qu’ils
soient
sur
la
planète,
y
compris
au
DELAWARE
et
des
signes
clairs
doivent
être
donnés
dans
ce
sens.
Ces
intruments
de
la
finance
n’ont
pas
été
mis
en
place
pour
la
seule
évasion
fiscale,
mais
surtout
pour
permettre
au
Crime
organisé
de
pratiquer
son
commerce
en
toute
impunité.
Et
Dieu
sait
si
les
banquiers
sont
en
tête
du
crime
organisé
en
question
!
Tous
les
banquiers
qui
ont
contribué
à
cette
escroquerie
et
qui
gèrent
aujourd’hui
quelque
USD
30’000’000’000’000
provenant
des
2’000
à
3’000
milliards
de
la
vente
des
systèmes
en
1992,
doivent
restituer
l’économie
financée
par
la
totalité
de
ce
qu’ils
ont
escroqué
et
ils
doivent
tous
être
traduits
en
justice.
Il
en
est
de
même
des
réviseurs
ERNST
&
YOUNG,
KPMG,
DELOITTE,
PRICEWATERHOUSE,
ARTHUR
ANDERSEN
(qui
exerce
maintenant
en
Suisse
sous
le
nom
de
ALH
Plano
AG
Zürich),
BDO,
etc.
Les
Agences
de
notation
financière
STANDARD
&
POORS,
MOODY’s,
FITCH
RATINGS,
etc.
ne
doivent
pas
non
plus
échapper
à
la
Justice,
L’économie
mondiale
doit
être
conduite
par
des
capitaines
d’entreprises
qui
sauront
la
faire
évoluer
au
service
des
Citoyens.
Le
temps
où
les
populations
sont
les
esclaves
du
capital
est
définitivement
révolu
et
la
mise
en
lumière
de
cette
titanesque
escroquerie
peut
changer
le
cours du monde.
Implication
des
Etats-Unis
d’Amérique
dans
l’escroquerie
et
le
blanchiment
des
royalties FERRAYE
Marc RICH
Pierre de WECK / UBS
JJohn ASCROFT
Alberto GONZALES
Michael B. MUKASEY
Bill CAMPBELL
Donald H. RUMSFELD
Robert GATES
Warren Christopher
Albright Madeleine
James BAKER
BAKER KOWEIT 22.04.1991
Colin POWELL
Condoleezza RICE
Nicolas SARKOZY
Frank WISSNER
Il a trahi les attentes des Peuples du Monde entier !
En soutenant Hillary CLINTON, Michèle et Barack OBAMA ont démontré leur soutien à la corruption.
Nicolas SARKOZY
Franck WISNER
William
Hedgcock
Webster,
né
le
6
mars
1924,
est
un
juriste
et
avocat
américain,
actuel
président
du
conseil
du
département
américain
de
la
Sécurité
intérieure
(Homeland
Security).
Précédemment,
il
fut
le
troisième
directeur
du
Federal
Bureau
of
Investigation
(FBI)
entre
1978
et
1987
puis
directeur
de
la
Central
Intelligence
Agency (CIA) de 1987 à 1991.
Ancien
juge
fédéral,
il
parvint
à
la
direction
de
la
CIA
en
raison
de
la
réussite
des
coups
portés
aux
familles
de
la
mafia
de
New
York
lorsqu'il
était
directeur
du
FBI
sous le président Jimmy Carter.
Le
juge
Webster
est
le
seul
Américain
à
avoir
été
successivement directeur du FBI puis de la CIA.
Extrait de Wikipedia
Si
l’on
en
croit
les
révélations
de
l’homme
d’affaires
américain
Tullio
Ponzi
à
Joseph
Ferrayé,
l’escroquerie
des
royalties
ne
serait
pas
étrangère
à
la
décision
prise
par
l’administration
américaine
d’envahir
l’
IRAK
en
2003,
comme
la
preuve
lui
en
fut
donnée,
lorsqu'
un
affidé
de
William
Webster,
pour
se
crédibiliser,
l’avertit
plus
de
deux
mois
avant,
de
la
date
secrètement
fixée
pour
l’entrée
en
guerre
officielle
des
Etats-Unis
en
Irak,
à
savoir le 19 mars 2003.
Michel
VENEAU
était
sensé
être
un
exécutant
sous
le
contrôle
de
Daniel LEVAVASSEUR.
Le
notaire
genevois
Pierre
MOTTU
chargé
de
l’établissement
des
conventions,
voulait
désigner
Michel
VENEAU
(ancien
policier
RIPOUX
au
service
du
gouvernement
français),
en
remplacement de WILDROSE et de
LEVAVASSEUR.
Devant
l’opposition
ferme
de
FERRAYE
qui
n’avait
aucune
confiance
en
VENEAU,
MOTTU
s’est
mis
à
crier
comme
putois
!
Vu
l’obstination
de
FERRAYE,
LEVAVASSEUR
a
calmé
le
jeu
en
demandant
à
MOTTU
d’établir
l’acte
authentifié
à
son
nom,
mais
en
précisant
qu’il
pouvait
substituer
à
sa
place
toute
personne
de
son
choix,
tout
en
restant
solidaire.
A
cette
condition,
FERRAYE
a
accepté
de
signer,
puisqu’il
avait
confiance en LEVAVASSEUR.
Ce
document,
par
la
mention
«
solidaire
»
est
l’une
des
causes
qui
a
été
l’élément
déclencheur
de
l’assassinat
de
Daniel
LEVAVASSEUR.
Dans
la
cassette
pré-enregistrée
par
André
SANCHEZ
avant
son
assassinat
le
15
mai
2001,
il
révèle
les
manipulations
financières
dont
il
était
l’objet.
Il
dit
entre
autres
:
«
Ils
(pour
parler
de
MOTTU
et
consorts)
m’ont
baladé
pour
me
faire
tenir
momentanément
ma
langue
sur
les
manipulations
auxquelles
ils
se sont livrés depuis un certaintemps […]
Il
y
a
une
grande
association
dans
ce
dossier
mais
je
ne
sais
pas
jusqu’à
quel
niveau
je
suis
au
courant;
un
Prince
koweïtien
(AL
SABAH
Ahmad
Nasser)
dont
il
y
a
aussi
la
photocopie
de
son
passeport dans le dossier VENEAU.
Je
me
suis
rendu
compte
qu’ils
manipulaient
les
comptes
(royalties
des
systèmes
FERRAYE)
de
clients
dont
ils
avaient
le
mandat
et
dont
ils
ont
des
procurations
(que
MOTTU
a
fait
signer
à
FERRAYE),
notamment
le
compte
Pauli
et
accessoirement
le
compte
Drop
et
ne
voulant
pas
continuer
sur
cette
lancée,
je
suis
allé les voir. […]
Je
sais
que
notamment
M.
VENEAU
et
M.
Dave
ROWE
(surnom
de
Patrick
DAWSON
–
Chef
de
la
DEA
France)
ont
soi-disant
d’énormes relations dans le milieu américain. Etc.”
Après
son
intervention
contre
Joseph
FERRAYÉ
à
paris
en
décembre
1996,
on
est
en
droit
de
penser
que
Patrick
DAWSON
n’est
pas
étranger
à
l’assassinat
d’André
SANCHEZ.
Sa
proximité
avec
la
CIA
et
William
H.
WEBSTER
a
certainement
aidé
les
Autorités
judiciaires
suisses
à
refuser
d’entrer
en
matière
sur
l’instruction
de
l’aspect
financier
qui
avait
conduit
à
l’assassinat d’André SANCHEZ.
Lorsque
pour
la
première
fois
Joseph
FERRAYÉ
a
entendu
parler
de
la
filière
juive,
il
n’avait
aucune
idée
des
activités
du
gouvernement
mondial
–
Bilderberg
etc..
Ceci
ne
lui
a
été
révélé
que
le
12.02.2002
par
Ernest
BACKES
,
un
des
fondateurs
de
CEDEL
CLEARSTREAM
(SWIFT),
auteur
du
livre
REVELATION
$
et
qui
était
aussi
le
3e
responsable
de
CLEARSTREAM à un moment donné.
Lorsque
pour
la
première
fois
Joseph
FERRAYÉ
a
entendu
parler
de
la
filière
juive,
il
n’avait
aucun
idée
des
activités
du
gouvernement
mondial
–
Bilderberg
etc..
Ceci
ne
lui
a
été
révélé
que
le
12.02.2002
par
Ernest
BACKES
,
un
des
fondateurs
de
CEDEL
CLEARSTREAM
(SWIFT),
auteur
du
livre
REVELATION
$
et
qui
était
aussi
le
3e
responsable
de
CLEARSTREAM à un moment donné.
Ce
même
8
février
1996,
KASPER-ANSERMET
et
Me
Marc
BONNANT
qui
avait
rédigé
la
plainte
du
29
janvier
1996
au
nom
de
FERRAYÉ
et
qui
n’avait
pas
encore
fomenté
le
complot
contre
l’Inventeur,
ont
eux
aussi
confirmé
avoir
saisi
tous
les
documents
bancaires,
les
décisions
de
séquestre
des
comptes,
les
conventions,
les
ordres
de
virements
signés
par
tous
les
contrevenants
et
il
a
ajouté
qu’il
avait
saisi
même
les
disques
durs
des
ordinateurs
comportant
tous
les
documents établis par le Notaire genevois Pierre MOTTU.